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3,76

sur 1198 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Quelle lecture fastidieuse et pénible. Il faudrait tout analyser pour peut-être en apprécier la valeur profonde. Finir les presque 200 pages avec la même description que celle d'avant lecture, qui est aussi celle de tout le monde, c'est que cette lecture ne m'a rien apportée. Trop complexe, trop riche de références qui me manquent, trop alambiquée, et toutes ces interventions de troupes, sorcières, choeurs chantants. Trop de trop. Et donc écrire au final le même résumé que si je n'avais rien lu, et qui fait l'histoire connue de Faust : il s'ennuie, il pense voir tout vu, lu, vécu, etc. Il veut savoir encore et encore. Il donne son âme au diable qui lui promet d'autres découvertes qui vont enfin le divertir. Jusqu'à l'amour. Mais qui pactise avec le Diable connait sa fin pense-t-on, mais, mais, mais... Et encore si c'était clair, mais non, beaucoup reste flou ! Ça c'est fait et ne m'y reprendra pas. Au suivant.
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Chef d'oeuvre de la littérature allemande, à peu près aussi connu que le célèbre Candide de Voltaire, Faust est d'une lecture difficile pour un néophyte du XXIème siècle.

Il s'agit d'une pièce de théâtre pour le moins étrange, car elle n'est pas découpée de manière habituelle, pour nous autres habitués dès l'enfance au séquençage traditionnel d'un Corneille, d'un Racine ou encore d'un Molière. Il s'agit ici plutôt de chapitres que de scènes. L'ambiance est chaque fois différente et parfois c'est à ce demander s'il s'agit bien de théâtre.

L'histoire en elle-même est, osons le mot, prévisible, cousue de fil blanc et n'étonnera personne. le plus important est ailleurs : le cheminement qui est proposé pur arriver jusque là. Et de ce côté-là, il faudra s'accrocher. Les personnages sont nombreux tout comme les références et la symbolique. Il faudra être calé pour apprécier pleinement cette oeuvre. L'approche est donc particulièrement difficile avec une édition qui n'offre aucun commentaire ni aucune aide.

Outre cet côté hermétique, l'auteur nous propose une démarche qui met en scène Méphistophélès et opte pour une coloration que l'on pourrait aujourd'hui qualifier de fantaisiste (sorcière, nuit de Walpurgis…) qui pourrait ravir les adeptes de fantasy.

En somme voici un chef d'oeuvre, qui parlera aux initiés et qui devra être apprécié à sa juste valeur. Mieux vaut pour cela opter pour une édition (très) enrichie.
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N'ayant jamais lu une oeuvre de Goethe, je découvre cet auteur classique par cette pièce que sa réputation précède et qui dormait dans ma bibliothèque depuis nombre d'années. Malheureusement, je suis passée complètement à côté... Ma lecture a été pour le moins laborieuse et je reconnais que le livre me tombait des mains. le style lyrique, le sujet ne m'ont ni touchée ni intéressée. Je ne remets pas en question la qualité intrinsèque de cet ouvrage. Mais en tout cas il ne correspond aucunement à la lectrice que je suis.
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je n'ai pas du tout aimé cette lecture.

Si mon résumé n'en dit pas beaucoup plus que ce qu'une culture littéraire commune permet d'avoir, c'est malheureusement parce que je ne vois pas quoi ajouter.

J'ai été destabilisée par le fait que ce soit une pièce de théâtre. Certes ce ne doit pas être évident de lire ce genre de support mais j'ai trouvé particulièrement énervant que le lecteur indique à chaque fois le nom du personnage qui va parler et aussi le décor, les didascalies.

J'ai eu du mal à accrocher pour la première partie, un peu trop orientée sur un débat philosophico-théologique et la deuxième partie m'a paru complètement mièvre : j'ai ressenti un trop grand décalage entre ces deux textes. Je ne me suis également pas attaché aux personnages principaux : que ce soit le diable, Faust ou Margaret, tous m'ont paru plutôt idiots, dans leurs actes et aussi dans les dialogues.

Je reviens sur le lecteur. Je n'avais pas fait attention quand j'ai coché ce titre lors de l'opération masse critique et quand j'ai réçu le CD, je me suis dit : "oh non pas lui...". J'avais déjà fait une première expérience peu concluante avec ce lecteur, la deuxième ( et ce sera aussi probablement la dernière) me conforte dans mon opinion. Ce lecteur surjoue : d'abord il exagère les tonalités liées aux émotions, qu'elles soient positives ou négatives, ensuite il fait des voix différentes, c'est vraiment flagrant pour les femmes qui du coup ont l'air de parfaites cruches.

Je suis partagée entre l'envie d'essayer en papier car la traduction de cette édition est de Gérard de Nerval ou de laisser complètement de côté cette lecture.
Lien : http://vivelesbetises2.canal..
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Le Faust de Goethe...que dire... Peut être simplement que j'ai poussé un gros ouf ! en arrivant au bout. Je ne comprends pas l'engouement académique concernant cette "oeuvre". Pour m'expliquer, je pars sur une évidence, j'ai aimé le fond, l'idée, mais j'ai détesté la forme.
Pour le fond je valide, le questionnement existentiel, la quête de la connaissance, l'introspection du monde, les considerations sur tout et sur rien, la nature humaine, le beau, le bien, le mal, la religion, la politique...je m'arrête là car la liste est inépuisable tant l'oeuvre est riche. le Dr Faust m'a rappelé le Pr Einstein sur bien des comparaisons et je ne nie pas l' incroyable talent de visionnaire de l'auteur.
Oui mais seulement voilà, Faust n'est pas une création originale de l'auteur puisqu'il s'est inspiré d'un mythe existant. Bon soit, passons.
Ce qui m'a rebutée, la forme. En un mot, je dirais:bazardesque !
Une pièce de théâtre truffée de références bucoliques, l'air du Romantisme à l'état pur. Autant vous dire que les vertes prairies, les étoiles et les ruisseaux aux eaux pures on en soupe du début à la fin.
Ensuite l'utilisation à outrance de la symbolique. A la base j'apprécie les références à la mythologie, aux légendes et au folklore. Mais l'excès et les associations douteuses occultent le but recherché. Ici j'ai eu l'impression que l'auteur a pris une marmite, a versé tous les ingrédients à portée de main sans soucis des accords de notes, a assaisonné à la sauce poétique et a servi le tout sans prendre la peine d'y goûter. le résultat: lourd et indigeste. En art de la décoration intérieure le mot parfait aurait été:kitsch.
Voilà, j'ai quand même relevé quelques beaux passages ici et là, mais cela reste trop mince pour accorder plus d'une étoile.
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