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Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Suis arrivée , péniblement , à la 71 ème page.

Dès le début ai trouvé cela un peu "spécial" et m'interrogeais sur ce qui allait suivre.

J'ai eu l'impression de plonger dans un abîme de réflexions confuses, incohérentes et cela m'a complètement déroutée.

Absurde à souhait, en ce qui me concerne.

Ai eu l'impression d'être trimballée, comme :
" la poussière qui tourbillonne dans un rai de lumière .... "

Trop confus pour moi, écriture exaspérante et biscornue.

J'abandonne !
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j'ai lu les différentes critiques laissées sur le site par mes amis lecteurs, car je l'avoue humblement, je n'ai vraiment rien compris a ce livre. hermétisme total. Irritation du fait, frustration même. Samuel Beckett, par comparaison, me parle, me touche, me fait sourire, me donne mal au ventre, m'angoisse. Même si je pense ne pas tout saisir (d'où les plaisirs de la relecture)!!
Ce livre, cet auteur? (je ne pense pas refaire une nouvelle tentative) marque sans doute ma limite dans l'absurde.
Alors que je cachais encore mes excès de sébum, un vieil homme(sage), m'avait dit :"le plus difficile dans la lecture, c'est de tourner les pages".
Cette fois, c'était facile...
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Il m'est difficile d'appréhender « Cosmos » comme un glissement vers la folie, l'irréalité ; dans ce domaine L'écume des jours de Boris Vian m'a beaucoup plus parlé. de même pour la folie qui s'insinue dans l'esprit et pousse au meurtre, la scène où Meursault commet son crime sur la plage dans L'étranger de Camus me paraît également beaucoup plus pertinente que les pages où Witold se dit qu'il doit pendre Léna. J'ai eu beaucoup de mal à lire ce livre, décousu et répétitif.
J'ai sans doute loupé quelque chose, mais je ne comprends pas ce livre comme reflétant l'irréalité du monde, comme « une sorte de récit policier », ou bien « un essai d'organiser le chaos », ces grilles de lecture ne me satisfont pas du tout. Encore une fois, j'ai sans aucun doute loupé quelque chose. La seule manière pour moi de sauver cette lecture, de comprendre ce livre, est de l'interpréter comme un récit de magie noire. Selon moi, Witold succombe à un sort, un charme, lorsqu'il est en présence de l'oiseau noir pendu. Un sorcier aura placé l'oiseau là, à cet effet. Dès lors, l'esprit de Witold est influencé par ce maléfice et amené à commettre le Mal. C'est la lutte de l'esprit de Witold contre l'ensorcellement qui lui fait percevoir des « anomalies ». le puissant sort qui envoûte Witold lui fait commettre le meurtre d'un chat, assassinat minimisé « ce n'est qu'un animal ». Puis, Witold envisage le meurtre de Léna, mais il est loin de l'oiseau pendu et de son influence maléfique. le sortilège ayant perdu de sa force, Witold ne mettra pas son funeste projet à exécution. Reparti loin de l'influence de l'oiseau, à Varsovie, le mauvais sort qui habitait Witold disparaît complètement et il retrouve une vie parfaitement normale. Mon interprétation permet de comprendre la fin très rapide du livre qui, autrement, paraît non seulement bâclée, mais incompréhensible.
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C'est le genre de roman que j'aurais peut-être aimé -ou en tout cas apprécié de connaître- en faisant mes études mais qui aujourd'hui m'inspire plutôt de la répulsion.
Peut-être qu'il faut une âme de naturaliste pour y trouver un intérêt à l'âge adulte ou bien ressentir une révolte libertaire jusqu'au-boutiste.
Dans Cosmos, la fiction se mord la queue avec délectation, le lecteur un peu moins. Les mots sont absurdes, les échanges dérisoires ce qui se traduit par une relation au monde souvent glauque.
On sent chez le narrateur / auteur un refoulement de la question homosexuelle ce qui se traduit par l'obsession d'un baiser lesbien et d'une mise à mort masculine.
L'auteur semble assez fier de mettre à nu ce combat entre Eros et Thanatos mais cette mise en scène est surtout pédante car bien trop intellectualisée.
Il y a sans doute un enjeu d'écriture important. Malheureusement, malgré beaucoup de compassion pour Gombrowicz, on peut quand même se demander si le lecteur doit être pris à témoin des déchets de la psyché.
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