la femme était née pour tenter l’homme et, si possible, le rendre fou, le faire sortir du droit chemin et l’abandonner après avoir aspiré toute sa sève avec son vagin.
j’ai une vue plongeante sur le décolleté de la femme. Au moindre mouvement, ses seins s’élèvent jusqu’au plafond et ses jambes font frissonner le tissu de sa jupe. « Elle ne se rend pas compte, me dis-je. Allez, bouge, bientôt je vais tout voir. »
Peut-on faire confiance à un homme qui ne se déplace même pas pour assister aux obsèques de sa mère ?
Si les noces donnent lieu à des interrogatoires, ce n’est pas le cas des funérailles.
Les noms de mes camarades sont suspendus à mon grand âge comme de faibles lumières.