Ce deuxième recueil de
Manuel Gonzalez Prada reprend les thèmes abordés dans son fameux Paginas Libres publié en 1894 où il critique la politique sociale de son pays, proposant une société modernisée fondée sur l'élément central du prolétare.
Horas de lucha, clairement anarchiste, se distingue cependant par son caractère satirique et ne consacre aucune page à la littérature, contrairement à Paginas Libres. Face au détournement du système représentatif et à la violence du capitalisme soutenu par l'Etat, il juge légitime la violence révolutionnaire.
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