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L'Épée de vérité tome 11 sur 16

Jean-Claude Mallé (Traducteur)
EAN : 9782352944614
576 pages
Bragelonne (25/03/2011)
3.99/5   403 notes
Résumé :
Sombrant dans les ténèbres, proches d'êtres accablés par le mal, les personnes encore libres sont impuissantes face à l'avènement d'un nouveau monde sauvage, alors que Richard fait face à la culpabilité de connaître ce qu'il doit laisser arriver.

Seul, il doit porter le poids d'un péché qu'il n'ose pas confesser à la seule personne qu'il aime... et qu'il a perdue.

La conclusion tant attendue ! Les hommes et les femmes libres sombrent pe... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (33) Voir plus Ajouter une critique
3,99

sur 403 notes
Autant être honnête tout de suite, c'est avec le sentiment d'avoir une corvée à terminer que j'ai entamé la lecture de ce tome. Dans un élan d'enthousiasme au vu des premiers livres de la série, j'ai acheté tous les livres qu'il me manquait d'un seul coup. Allant de déception en déception au fur et à mesure de ma lecture, je n'ai pas eu le courage d'entamer le final. C'est donc un an plus tard que je me décide à en finir.

L'histoire commence avec un rappel de 400 pages dans lesquelles il ne se passe absolument rien. Deux petits évènements viennent troubler cette tranquillité. Six recupère la troisième boîte d'Orden : elle se téléporte dans la forteresse imprenable depuis le début de la série, prend la boîte, et se retéléporte dans son domaine. Tout ça en une page et demi. Bon. S'ensuit quelques pages plus loin une scène d'anthologie dans laquelle Nicci, la Maîtresse de la mort, et une Mord-Sith, experte dans l'art de la torture, dissertent sur la couleur idéale de la robe de nuit de Nicci : blanche ou rose ? La question ne sera pas vraiment tranchée. le deuxième évènement est la capture de Nicci : trois soeurs de l'obscurité pénètrent dans le palais des Rahl, imprenable depuis le début de la série, capturent Nicci et s'en vont. Tout ça en deux pages. Bon.

Que contiennent donc les 396 pages restantes ? Exactement la même chose que dans les tomes précédents : on disserte de la théorie de la magie, on rappelle que l'Ordre n'est pas particulièrement réputé pour sa bonté, on reçoit des cours de morale, dans des dialogues interminables qui n'apportent strictement rien au récit. On a aussi droit à des matches de Ja'la en intégralité, avec explication des règles et des tactiques utilisées. Arrivé là, on se félicite que Goodkind ait promis que "L'ombre d'une inquisitrice" clotûrerait la série, parce qu'on le sent capable de continuer comme ça pendant une dizaine de livres. Point positif à noter, il semble avoir finalement laissé de côté les scènes de torture et de violence.

Dans les 300 dernières pages, l'histoire avance enfin. Kahlan y reçoit notamment son presque-viol traditionnel. L'intrigue n'est pas mauvaise en soi, mais le rythme était tellement lent et poussif dans les tomes précédents qu'on a l'impression que les évènements sont précipités et bâclés : pour rattraper la longue attente, il fallait mettre la barre très haut. Ceci dit, j'ai trouvé la fin de l'intrigue plutôt intéressante et bien pensée. Je finis la série sur une note assez positive, d'autant que je m'attendais à un naufrage complet.

L'histoire de cette saga aura été assez chaotique : les premiers tomes avaient leurs défauts et ne révolutionnaient pas le genre, mais étaient vraiment agréables à suivre. Tout s'est gâté après le sixième volume. Je me demande encore ce qui a poussé l'auteur à abandonner le monde qu'il avait créé pour s'en servir comme tribune pour sa philosophie de comptoir et sa mauvaise propagande politique.
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Je ne prends pas toujours la peine de critiquer les livres de cette saga mais là je ne peux me résoudre à rester sans voix. La fin de cette lecture m'a terriblement perturbée (dans le bon sens du terme). Que ce soit à travers les tactiques de jeu du Ja'La, que ce soit dans la lutte face à l'ordre impérial mené par Jagang le Juste, que ce soit dans les recherches contre les Carillons et la Chaîne des flammes, le message fort de ce livre est sans conteste celui de la valeur de la vie ; chaque vie est unique et mérite d'être vécue : c'est le Credo de ce livre et en particulier de Richard, notre héro préféré. En parlant de Richard, je trouve que l'auteur, Terry Goodkind, a développé là un personnage exceptionnel et très riche, presque réel. Je suis impressionnée par le travail d'écriture qui a conduit à le rendre si vivant : chacune de ses réactions semblent lui coller comme un gant, j'ai l'impression, à ce 11e tome de connaître ce personnage comme si j'avais moi même vécu ce qu'il a vécu. Un autre personnage que j'affectionne particulièrement est Nicci : alors que la majeure partie de sa vie est restée dans la flou de l'idéologie de l'Ordre impérial, grâce à Richard qui lui a ouvert les yeux, mais surtout grâce à sa volonté propre, elle a su se remettre en question et accepter de reconsidérer la valeur de sa vie. Sa force de caractère est admirable et une bonne leçon pour les coeurs brisés. Alors qu'elle est très amoureuse de Richard, elle pense avant tout à son bonheur à lui, et est d'une loyauté sans faille à son égard. Dans le tome précédent le Fantôme du Souvenir, elle nous confiait au travers de ses pensées que "pour donner un sens à sa vie, l'amitié pouvait suffire lorsqu'elle était de cette qualité".
Je finirai cette critique par quelques mots de notre fameux Richard, qui semble si bien effleurer une belle vérité du doigts : "exister dans un vaste univers pendant l'équivalent d'une seconde à l'échelle cosmique, voilà le cadeau que nous fait la vie. Cette fête éphémère est la seule que nous aurons jamais, et sa fin est écrite dans les étoiles. Après notre mort, L Univers continuera, indifférent à notre disparition. Mais tant que nous sommes présents, nous appartenons à cette immensité, et notre vie est liée à toutes les autres. Chacun de nous a eu la chance de recevoir ce magnifique cadeau qui n'appartient qu'à lui. On peut offrir sa vie si on en a envie, mais nul n'a le droit de nous la prendre. C'est la leçon à tirer de tout ce que nous avons dû traverser.
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Ainsi s'achève le cycle de l'Epée de Vérité... Enfin presque...
Il y a maintenant 10 tomes que Richard est devenu Sourcier de Vérité et après avoir combattu l'Ordre Impérial sur près de 9 tomes, enfin c'est le grand dénouement. En tant que final de la saga, j'attendais beaucoup de ce tome ; Goodkind a passé du temps à tisser un univers riche et vivant, habité de personnages passionnés et passionnants... Des rebondissements, il y en a eu ! Richard et ses amis ont croisé plus d'un ennemi mais, cette fois-ci, c'est THE ennemie dont ils doivent (enfin !) venir à bout : Jagang et son Ordre Impérial.
Encore une fois, l'auteur m'a transporté dans son univers et je suis restée assez scotchée en attendant de voir comment cela allait se terminer et surtout, si Richard et Kahlan allaient enfin se retrouver (au bout de trois tomes où la belle était amnésique et où personne ne se souvient d'elle, il y a de quoi être impatient !). Rien de bien étonnant dans le dénouement de l'intrigue, on pouvait s'y attendre depuis le début en réalité. J'ai apprécié cette fin "simple" pour Jagang, car très symbolique : au final, il n'était qu'un simple personne incarnant le Mal parmi d'autres, et il disparait de manière assez insignifiante...
Cependant, ce tome ne m'aura pas complétement comblé. J'ai parfois eu l'impression que ce 11ème tome était une sorte de "fourre-tout" où l'auteur a rassemblé tous les détails de ses précédentes intrigues pour nous faire découvrir, tadam ! que finalement, ils ne servaient pas vraiment à ce que l'on pensait ! Temple des Vents, Carillons, Chaîne des Flammes, magie d'Orden... Secouez tout ça et vous créerez une intrigue presque originale ! Je me suis sentie larguée par moments dans les méandres des théories concernant la magie. L'auteur a peut-être voulu donner un véritable socle intellectuel à cette manifestation, mais ça manquait de limpidité à mon goût...
Un peu déçue par la fin de Six également, trop rapide et bâclée selon moi, surtout vu tout le tintamarre que l'on nous a fait sur sa puissance. Quitte à ramener ce personnage (très intéressant toutefois), autant soigner les choses.
Au terme de ce tome, je me suis dit que l'intrigue aurait peut-être pu être close depuis belle lurette. Cependant, j'ai toujours le même plaisir à suivre les aventures de Richard, Kahlan, Cara et tous les autres. le style de Goodkind reste simple mais efficace et agréable. Dommage que ce soit là la fin...
... Ha non ! C'est vrai... Il y a un douzième tome auquel s'attaquer maintenant....
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Encore une suite à couper le souffle, "L'Ombre d'une Inquisitrice" clos à la fois le chapitre sur la Chaîne de Flammes et la longue série de la guerre contre l'Ordre Impérial.

Après avoir découvert que sa femme est prisonnière de Jagang, Richard est parvenu à s'infiltrer dans le camp ennemi : prisonnier, il est en même temps recruté comme joueur de Ja'la, le Jeu de la vie, et va tout faire pour se retrouver face à l'équipe de l'Empereur. Il a su se faire repérer par Kalhan, qui ne le reconnaît pas mais sent au plus profond d'elle-même qu'il est là pour elle.
Mais tout ne se résume pas au danger encouru par nos deux héros dans ce camp ennemi, car la magie est menacée de disparition, et la liberté risque d'être balayée par la haine de l'Ordre...

Les personnages sont toujours aussi intéressants. Kalhan continue à tuer ses gardes au petit bonheur la chance en leur volant leurs armes, ni vu ni connu ; c'est l'une des choses que j'ai préféré dans ce personnage totalement perdu dans l'inconnu. Par contre, je l'ai trouvée par moments un peu ennuyante avec ses espoirs concernant le seigneur Rahl : Est-ce qu'il m'aime ? S'il est venu jusqu'ici, c'est sûrement pour moi, mais pourquoi un tel homme s'intéresserait à une personne aussi insignifiante que moi ? etc. On comprend qu'elle ait besoin de savoir, on comprend ce qu'elle ressent, mais parfois ça devient un peu pesant.
Richard est toujours aussi fantastique. J'aime bien sa manière de fonctionner, à l'instinct. Et j'ai adoré les parties de Ja'la jouées par son équipe, en particulier la finale, grandiose.
Autre personnage dont j'ai envie de parler, et dont je n'ai pas suffisamment parlé mais que j'aime beaucoup : Nicci. Ancienne Soeur de l'Obscurité, ancienne défenseur de l'Ordre, elle a su remettre en question toute son éducation, tout ce en quoi elle croyait pour se libérer du joug de la haine, guidée par l'amour de la liberté de Richard. Amoureuse de ce dernier, elle n'hésite pourtant pas à tout faire pour qu'il retrouve Kalhan. Selon moi, c'est l'un des personnages qui méritent le plus d'être enfin heureux. J'ai eu vraiment peur pour elle au cours de ce tome, j'ai vraiment eu de la peine à certains moments, ce qui lui arrive est... cruel, triste.

On a beaucoup de renvois au premier tome au cours de ce livre-ci. Les boîtes d'Orden ont été remises en jeu, les deux joueurs étant une des Soeurs de l'Obscurité et Richard. Seul l'un des deux va pouvoir invoquer ce terrible pouvoir. Cela va nous permettre de comprendre des choses qui se sont déroulées par le passé, et dont l'explication aura un impact capital sur l'ouverture des boîtes. C'est un des (nombreux) éléments de ce onzième tome que j'ai grandement apprécié : un retour aux source, au début de l'histoire, à notre découverte du Nouveau Monde et de ses héros.
La fin est surprenante et bien menée. L'auteur nous écrit comme une explication de la création de notre monde à nous, c'est-à-dire un monde sans magie. J'ai trouvé cela plutôt original, particulièrement intéressant.

Une intrigue menée d'une main de maître, un onzième tome haut en rebondissements et en émotions. Notre coeur palpite quand nos personnages favoris sont en mauvaise posture, et nous sommes soufflés lorsque des événements totalement imprévus surviennent pour nous surprendre, toujours et encore.

Bien que la série sur l'Ordre Impérial s'achève ici, la série de "L'Epée de Vérité" n'est pas encore terminée, Terry Goodkind nous a concocté encore quelques tomes qui, je l'espère, seront tout aussi palpitants que ceux que nous avons pu lire jusqu'à présent.
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Ca y'est, c'est la fin, this is the end, é finito... Snif.... En tout cas, l'épée de vérité restera pour moi ma saga préférée, celle qui m'aura le plus inspiré, celle qui m'aura le plus nourri de fantastique, de magie et de créatures en tout genre.
Bon, avant de verser ma petite larme, je vais quand même faire la critique de ce dernier tome.

ATTENTION SPOILER!!

Ce dernier tome ressemble beaucoup au précédent, et ça m'a gêné. En effet, mes attentes étaient tellement grandes que j'ai été un peu déçu. J'aurai préféré plus d'actions, plus de révélations chocs, et même quelques traîtrises surprenantes...
Au lieu de cela, on a eu droit à la même chose que depuis le début de la série, à savoir Richard et Kahlan qui souffrent et qui sont séparés.
Tant qu'à clôturer une bonne fois pour toute les points négatifs de ce tome (et de passer aux points positifs), je tiendrai juste à dire une chose : c'est quoi ces ellipses à n'en plus finir??!! C'est vrai, Terry Goodkind ne nous avait pas habitués à occulter autant de passages importants dans ses tomes! A chaque chapitre, il s'écoule un mois (je caricature à peine) ! du coup, on a une impression que l'auteur a bâclé la fin, qu'il s'est dit : "Vite, vite, je finis car je n'ai plus d'idées! ". Cet aspect temporel a beaucoup entravé ma lecture, car j'étais plutôt habitué à lire une histoire se déroulant en temps réel (avec quelques ellipses intelligentes). Ici, on se croirait dans un fast food ! Mais je c'est un restaurant cinq étoiles que j'aurais préféré !
Bref, outrepassé ma frustration, il y a quand même un aspect que j'ai littéralement adoré : le tournoi de Jah'la. Je ne suis pas très fan en général des sports collectifs, mais j'aime beaucoup les valeurs qu'ils véhiculent. Et là, Terry Goodkind a tiré parti de ces valeurs pour miner de l'intérieur l'ordre impérial. du pur génie, j'ai envie de dire !
Quant à la fin, je suis d accord avec les critiques, c'est un peu rapide. Mais cependant, ça fonctionne plutôt bien, et le lecteur est surpris. Je ne m'attendais vraiment pas à ce que l'ordre soit banni dans un monde parallèle. La morale est très forte, puisqu'elle montre que Richard n'est pas aussi cruel que ses ennemis (personnellement, j'étais persuadé qu'il allait prendre le contrôle des boîtes d'Orden et tuer tous les soudards). le fait que tous les piliers de la création s'en aillent est également extrêmement intelligent. Ca m'a rassuré, parce que dans les derniers tomes, je n'arrêtais pas de me dire : "Mais s'ils restent, ils éradiqueront la magie pour toujours !". Eh bien Non ! Terry a pensé à tout. Il a même pensé à clôturer sa saga sur un long travail qu'il avait mis en place durant tous les tomes : la transformation des Mord Siths. Et quoi de plus beau que de finir par le mariage de Cara?

Bon, ça y'est je verse ma petite larme^^. Cette série magnifique va me manquer. Mais à ce qu'il paraît, une suite est déjà en route. Enfin je dis ça, je dis rien...
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critiques presse (1)
Elbakin.net
14 juin 2011
Il est tout de même incompréhensible qu’arrivé si loin, après plus de dix tomes derrière lui, Terry Goodkind fasse preuve d’un tel étalage de faiblesses formelles. [...]
Comme dans le cas d’un Eragon, certains doivent bien y trouver sincèrement quelque chose.
Nous aurons essayé. Encore et encore. Sans jamais trouver.
Lire la critique sur le site : Elbakin.net
Citations et extraits (36) Voir plus Ajouter une citation
Les idées corrompues se complaisent dans les ténèbres où de misérables fanatiques tentent de les imposer aux autres à grand renfort d'intimidation et de violence. C'est ça que tu appelles la foi, empereur ? Et bien, tu vois juste ! Les croyances sont immanquablement à l'origine des massacres, des pillages et des guerres de conquête. La raison, par sa nature même, est un rempart contre de telles ignominies. Seule la foi est assez aveugle pour justifier les pires exactions.
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Exister dans un vaste univers pendant l'équivalent d'une seconde, à l'échelle cosmique, voila le cadeau que nous fait la vie. Cette fête éphémère est la seule que nous aurons jamais; et sa fin est écrite dans les étoiles. Après notre mort, l'Univers continuera, indifférent à notre disparition. Mais tant que nous sommes présents, nous appartenons à cette immensité, et notre vie est liée à toutes les autres. Chacun de nous a eu la chance de recevoir ce magnifique cadeau qui n'appartient qu'à lui. On peut offrir sa vie, si on en a envie, mais nul n'a le droit de nous la prendre.
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L'amour sincère est une réaction à ce que nous apprécions chez les autres. C'est une réponse affective à la passion de la vie que nous sentons chez autrui.
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-Les défenseurs de la vérité cherchent sans cesse la clarté, Jagang... Les idées corrompues se complaisent dans les ténèbres où de misérables fanatiques tentent de les imposer aux autres à grand renfort d'intimidation et de violence. C'est ça que tu appelles la foi, empereur ? Eh bien, tu vois juste ! Les croyances sont immanquablement à l'origine des massacres, des pillages et des guerres de conquête. La raison, par sa nature même, est un rempart contre de telles ignominies. Seule la foi est assez aveugle pour justifier les pires exactions.
Commenter  J’apprécie          20
Du premier au dernier, tous les hommes qui se dirigeaient vers le centre du terrain arboraient de bizarres peintures de guerre sur le visage, mais aussi sur la poitrine, les épaules et les bras. On eût dit qu'ils avaient été marqués au rouge par le Gardien du royaume des morts en personne.
Kahlan remarqua que les dessins du premier homme de file - le marqueur, supposa-t-elle - étaient légèrement différents. De plus, deux éclairs jumeaux lui barraient le visage. Partant de chaque tempe, les étranges figures ondulaient au-dessus de ses joues, la pointe venant titiller le côté de ses mâchoires carrées.
Ce spectacle donna la chair de poule à Kahlan.
Enchâssés dans les circonvolutions des éclairs, deux yeux gris au pouvoir hypnotique regardaient fièrement le monde.
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