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Les enfants de d'Hara tome 3 sur 5
EAN : 9791028106744
144 pages
Bragelonne (11/03/2020)
4.13/5   31 notes
Résumé :
Traqués par la Déesse d'Or, capable de les espionner à travers les yeux de tous les résidents du Palais du Peuple - excepté les détenteurs du don -, Richard et Kahlan décident de partir pour la Forteresse du Sorcier. Là-bas, en Aydindril, ils pourront compter sur l'aide des Soeurs de la Lumière et sur les défenses surnaturelles de l'ancien fief de Zedd - car la menace des Carnassiers de la Haine est plus présente que jamais.
Hélas, même les plans les mieux co... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
Troisième tome de cette troisième série des interminables aventures de Richard et Kahlan, le désert des supplices, n'est pas le meilleur roman de Terry Goodking.

Le format est ici ramassé et très court (moins de 150 pages). le lecteur pourrait se dire qu'il a droit à un condensé d'action et de bonnes idées... Hélas, c'est loin d'être le cas ici. Richard et Kahlan devaient prendre la sliph pour se rendre à la Forteresse du Sorcier. Leurs plans ont été contrariés et les voilà confrontés à une nouvelle menace qui va occuper tout le roman (et probablement davantage).

L'entrée en matière sera longue, le lien avec l'intrigue mettra du temps à se révéler et pendant le reste du temps, nous devons composer avec un style qui ne cesse de s'alourdir avec des expressions redondantes, des dialogues qui retardent l'action sans apporter grand-chose de constructif, des imprévus qui ralentissent l'histoire principale et pour couronner le tout de longues digressions et rappels du passé qui demeurent la plupart du temps inutiles.

Sa lecture achevé, le roman donne l'impression d'être un entre deux : il nous même d'une contrariété à une autre, sans que l'intrigue n'évolue véritablement. Tout cela est long, peu constructif, malgré quelques séquences d'action lacées ici pour retenir l'attention du lecteur, sans faire bouger les choses.

Assistons-nous au crépuscule de la série ? La réponse semble des plus évidentes, mais hélas, les adeptes auront du mal à laisser tomber Richard et Kahlan après ce dénouement…
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Le 17 septembre 2020, un grand auteur de fantaisie mourrait, laissant derrière lui de nombreux fans meurtris. Auteur célèbre de multiples best-seller, notamment avec sa saga L'épée de vérité, Terry Goodkind avait enchanté des millions de lecteurs à travers le monde. Perdus sans leurs héros mythiques Richard Rahl et Kahlan Amnell, les fans avaient réclamé une suite, et l'auteur avait répondu à l'appel. La série Les enfants de d'Hara vit alors le jour, et se terminera au tome numéro cinq, que l'auteur a pu terminer avant de rejoindre le Gardien du royaume des morts. Cette chronique, outre le fait de donner un avis sur le tome trois de cette saga, rend également hommage à un homme incroyable et à un auteur non moins exceptionnel, qui aura marqué la fantaisie à sa manière, et qui restera dans le coeur de ses fans à tout jamais.

Le désert des supplices nous plonge dans le quotidien terrible des Mord-Siths, ces femmes impitoyables à l'éducation violente, dévouées à leur seigneur. L'auteur nous avait caché cette facette de leur apprentissage. Contrairement aux deux autres tomes, qui mettaient en scène de nouveaux magiciens et ennemis, ce livre nous étonne par ses singulières révélations, concernant un univers que l'on pensait connaître mais qui ne cesse de nous surprendre. L'auteur se renouvelle et nous accroche encore plus profondément à son monde.

Le désert des supplices nous rappelle également à quel point le système de magie créé par Terry Goodkind, s'avère complexe. le personnage de Richard Rahl se lance dans des explications géniales, laissant tous ses camarades de route pantois. le raisonnement du jeune homme, ses réflexions et ses mimiques nous font sourire. Un fan de la première heure se rappellera les instants intenses de L'épée de vérité, durant lesquels Richard soliloquait, alors seulement compris, quoique, par son grand-père extravagant Zeddicus Zu'l Zorander.

Intelligent, courageux, téméraire et juste, Richard Rahl reste le héros typique d'heroic-fantasy que l'on adore suivre, et qui nous émeut. Il trouve toujours les bons mots d'encouragement, les bonnes paroles de consolation et les expressions idéales pour pardonner et avancer. L'un des passages du roman les plus extraordinaires le met en scène : ses pouvoirs font des ravages, tuant et brisant nombre d'ennemis. Terry Goodkind chante la magie, la poétise et la rend encore plus sublime qu'elle ne l'est déjà. le lecteur est littéralement happé par la scène grandiose et épique qui se joue devant ses yeux déjà conquis. Ces pages distribuent du divertissement à l'état pur.

Ce tome trois traîne quelque peu en longueur, notamment dans ses scènes d'action qui s'enchaînent à tour de rôle. Kahlan en fait les frais, et survit à une terrible chute qui aurait dû la tuer. Terry Goodkind s'amuse à exagérer les traits de ses personnages, les rendant toujours plus beaux et plus forts, et capables de vaincre tous les dangers qui croisent leur chemin. La Mère Inquisitrice nous éblouit par sa force de caractère, sa détermination et son courage. Avec Richard, ils forment décidément un couple héroïque de haut vol, que la Déesse d'Or combat en vain. Alors que Kahlan peine à rester à la surface d'une eau noire et puante, emplie d'insectes répugnants, le lecteur s'inquiète et panique avec elle, en proie à des visions dégoûtantes. La scène dure, dure et dure encore, jusqu'à ce que son mari vienne enfin la délivrer.

La scène finale n'épargne pas les lecteurs. Violence, sang à perte de vue, torture, hurlements, menaces, monstres… Tous les éléments se réunissent pour former une vision d'horreur, et nous donner envie de lire la suite. Comme à son habitude, l'auteur nous promet de belles aventures et clôt son histoire avec panache. L'intrigue principale avance lentement dans ce tome. Cet aparté fait tout de même plaisir, et nous rapproche des Mord-Siths, souvent reléguées en arrière-plan. le nouvel ennemi fait écho à une figure du passé redoutée : il nous rappelle le diabolique seigneur Darken Rahl, le père de Richard, qui régnait sans partage avant d'être assassiné par son fils. le désert des supplices rend également hommage au Palais du Peuple, un bâtiment extraordinaire à l'architecture riche et variée, et aux grands pouvoirs insoupçonnés.

Le désert des supplices constitue un labyrinthe magique complexe. Méfiez-vous des surprises cachées derrière chaque porte, et des monstres invisibles attirés par vos dons…

[Je publie des chroniques littéraires sur lavisqteam.fr et celle de ce roman est présente au lien suivant : http://www.lavisqteam.fr/?p=52044

J'ai mis la note de : 18/20]
Lien : http://www.lavisqteam.fr/?p=..
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Donc. Point histoire : Il faut fuir la golden goddess, mais comme Kalhan est enceinte, pas de voyage magique. Donc pour organiser le départ, il faut des chevaux. Ok : jusque la…

SAUF QUE la super guerrière ultra entraînée est vaincue et kidnappée quelque part dans les écuries. Ok.

On a donc un nouveau gros méchant : le sorcier-qui-torture-des-gens-dans-des-souterrains-magiques.

Une caricature de fantasy aléatoire ? Peut-être. Mais c'est un vrai plaisir ! Lu en à peine quelques heures, certes, mais la couverture annonce « novella » donc je suppose que j'étais prévenue !

Mais c'est exactement ce que je voulais pour une bonne soirée : oui c'est évident, pas vraiment grandiose ni surprenant, mais c'est parfait. Les clichés tombent bien et s'enchaînent à merveille !

Le méchant est tellement méchant, le roi est devenu tellement plus courageux de savoir sa femme enceinte, c'est un brin sexiste, mais on a des super guerrières (peut etre un peu amoureuses du roi mais j'ai arrêté de compter).

Parfois c'est le plaisir de la littérature de genre : un univers inconnu et pourtant tellement familier, cest rassurant parfois une histoire qui se déroule selon les codes !
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150 pages pour replonger dans l'horreur, et laisser nos héros dans une situation désespérée. Un nouvel ennemi apparaît dès que la situation semble s'améliorer, on se demande où il se cachait avant et pourquoi il ne s'est pas manifesté plus tôt.
Bref encore un récit qui utilise toutes les vieilles ficelles et pourtant cela se lit avec intérêt mais c'est vraiment trop court et le parti pris de clôturer le livre dans un suspens insoutenable est énervant.
Et pourtant on attend la suite !
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critiques presse (1)
Syfantasy
31 mars 2022
L’intrigue principale avance lentement dans ce tome. Cet aparté fait tout de même plaisir, et nous rapproche des Mord-Siths, souvent reléguées en arrière-plan.
Lire la critique sur le site : Syfantasy

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