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Un peu déçue, je l'admets. En acquérant cette biographie, je m'attendais à ce que ce récit se passe sur la vie de Victoria dont je sais peu de choses si ce n'est son amour profond pour son mari et sa nombreuse progéniture qui a rempli toutes les cours d'Europe. le récit est effectivement sur la vie de Victoria mais uniquement sur ses premières années. Cela n'enlève rien à de l'intérêt. J'avoue avoir apprécié de lire les débuts difficiles de la reine, sa relation compliquée avec sa mère, Sir Conroy, le scandale autour de Flora Hastings, etc. Pour autant je trouve que là où le bât blesse c'est dans la relation de la jeune reine avec son premier ministre Lord Melbourne. Plutôt qu'une relation père-fille, l'auteure a choisi de développer une pseudo-romance qui occupe plus des trois-quarts du roman... et qui éclipse quelque peu le prince Albert même si la fin du livre permet qu'il rentre en grâce... Un choix osé- quoique peut-être pas en voyant les écrits de l'auteure et l'édition. Pour autant, cela m'a gêné, d'autant que si l'objectif était de faire une belle romance, Daisy Goodwin avait déjà un bon matériau de base avec l'union Victoria-Albert.

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Vive la Reine d'Angleterre !
Vive la Reine Victoria !
Et surtout vive mon coup de coeur inattendu !
Je partais franchement à reculons. Je me suis lancée pour un challenge Babelio. Et encore une fois je peux lui dire merci de me projeter hors des sentiers battus. J'ai tellement kiffé ma lecture que j'ai foncé pour agrandir ma longue PAL des autres romans de Daisy Goodwin. Et je compte aussi regarder la série. En une lecture, l'auteure a fait une adepte de plus.
Qu'ai-je aimé dans ce roman historique ? Sa manière douce et agréable de raconter l'intronisation compliquée de la Reine Victoria. On constate très vite sa difficulté de cette jeune femme à se faire respecter en tant que Souveraine. Si jeune et avec des grandes responsabilités. Une jeune femme de 18 ans qui découvre abruptement la vie mais aussi l'amour. L'auteure propose une biographie très romancée, légère, je le reconnais mais j'en ressors quand même en apprenant des choses essentielles sur le Royaume Unis.
L'auteure a l'art et la manière de nous embarquer doucement mais sûrement dans cette époque. On ressent parfaite l'environnement particulier de l'époque. J'ai hâte de lire la suite non traduite de la relation particulière Albert/Victoria… Très émue par ce couple qui s'aimait vraiment à l'époque où les mariages étaient arrangées. Je ne spoile pas c'est l'histoire d'Angleterre qui le dit…
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4/5
Aussitôt reçu aussitôt lu. J'ai passé un très bon moment de lecture avec ce roman historique retraçant les jeunes années de la reine Victoria. On est en 1837 Alexandrina Victoria vient d'avoir 18 ans lorsqu'elle est sacrée reine de Grande-Bretagne et d'Irlande. Dès lors elle surprend tout le monde par son caractère et son indépendance d'esprit.
Daisy Goodwin se focalise davantage ici sur les intrigues amoureuses.
De son roman se dégage une certaine frivolité et une joie de vivre, Victoria était une bonne vivante, elle aimait le champagne et les gourmandises.
Même si on la suit dans le roman sur 3 ans, ce qui est une toute petite partie de son règne qui dura 63 ans, on assiste à une réelle évolution du personnage et ça m'a beaucoup plu. Dans le roman mais davantage dans la série télé, on assiste à la complexité de sa position et on la voit sous plusieurs facettes : adolescente, reine, femme, mère, impératrice.

Ce fut une très bonne lecture, j'ai adoré suivre la reine Victoria dans ses jeunes années de règne, cependant le style n'est pas du tout recherché. L'auteure a écrit ce roman en même temps que le script de la série TV du même nom diffusée sur Netflix.
Elle fait le portrait d'une reine capricieuse et sotte parfois mais qui apprend de ses erreurs. Elle souhaite par-dessus tout s'affirmer et être prise au sérieux. Elle veut s'affranchir de l'influence de Lord Conroy son beau-père et du contrôle qu'a exercé sa mère sur elle toute sa vie.
Entre amours contrariés, initiation au pouvoir et intrigues de cour, c'est un bon gros pavé qui fait le job, sans que ce soit époustouflant.
L'auteure arrive à donner vie à une reine pleine de charmes, en se basant sur des lettres et correspondances de la reine Victoria. Daisy Goodwin a un master en histoire, on suppose donc que les références historiques sont justes.
J'ai adoré ce roman, tout comme la série télé sur Netflix qui est très bien réalisée et dont l'actrice Jenna Coleman interprète une Victoria glamour et pétillante.

Ce que j'ai le plus aimé :
► une lecture fluide, visuelle
► au coeur de la royauté anglaise et des intrigues amoureuses, on adore !
► le contexte historique

Ce que j'ai moins aimé :
► un manque de style, un récit peu travaillé littérairement parlant

Est-ce que je vous le conseille ?
J'ai passé un super moment de lecture, alors oui je vous le conseille car il permet de découvrir la reine Victoria dans ses premières années de règne.

Lien : https://marie-loves-books.bl..
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Comment cette jeune femme qui se savait vouée à devenir reine et à gouverner la Grande Bretagne et l'Irlande est devenue la grande reine que l'on connaît.
Daisy Goodwin nous retrace de façon romancée la jeunesse d'Alexandrina devenue la reine Victoria à l'âge de 18 ans. le roman s'arrête avant son mariage avec le prince Albert.
L'autrice explique qu'elle a écrit ce roman en même temps que le scénario de la série qui porte le même nom. Si vous voulez donc savoir ce qu'il se passe ensuite il vous faut donc regarder la série.
Ce roman se laisse facilement lire. L'écriture est fluide et nous suivons avec plaisir ce petit bout de femme, même si parfois elle peut taper sur les nerfs. Nous faisons également connaissance avec la mère de Victoria, ses oncles, ses cousins, ses bienveillantes dames de compagnie et bien entendu le seduisant premier ministre Lord Melbourne. Tout ce petit monde nous fait passer un agréable moment.
Moi qui adore les romans historiques, notamment lorsqu'il s'agit de la royauté anglaise, j'ai pris un réel plaisir à lire ce livre. Il est dans la lignée des romans de la grande Philippa Gregory.
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Je suis une passionnée d'histoire, mais ça, vous commencez à le savoir. Ce que vous ne savez peut-être pas, c'est que je suis une passionnée de Period Drama, à savoir de « drames en costumes » et bien entendu, j'ai mes petites préférences pour certaines époques ou certains personnages. Entre autres la reine Victoria et bien entendu, je suis une fervente adepte de la série télévisée éponyme britannique. Mais saviez-vous que c'est ce roman qui a aidé à bâtir une partie de la première saison de la série ?

Cela étant dit, j'aimerai souligner que l'auteur de ce roman l'a écrit en s'appuyant sur les lettres de la reine et sur ses journaux intimes. Mais tout comme la série Victoria (un petit bijou que je vous conseille fortement), il existe bel et bien une partie qui a été romancée. Laquelle, je n'en sais rien. Mais cette documentation poussée donne lieu à un roman riche et intéressant, qui nous éclaire sur certains moments de la vie de la reine comme l'affaire Flora Hastings.
Lien : http://www.mespetitscarnets...
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Alexandrina Victoria monte sur le trône d'Angleterre à tout juste 18 ans.

C'est une jeune fille qui depuis sa naissance a mené une existence solitaire, sans amies, sous le joug de sa mère, elle-même manipulée par son amant Sir John Conroy qui comptait bien gouverner l'Angleterre à travers Alexandrina.

Aussi, dès que celle-ci devient reine elle prend le nom de Victoria et se libère de l'emprise de sa mère. Elle décide d'emménager à Buckingham qu'elle rebaptisera Buckingham Palace où elle installera sa mère dans une aile du bâtiment opposé à celle qu'elle occupera.

Victoria est une petite reine d' 1m47 mais avec un caractère bien trempé. Elle va vouloir régner à sa façon mais en se référant toujours à son premier ministre Lord Melbourne.

On va donc suivre les premiers mois de son règne où elle va commettre quelques impairs mais qui vont lui permettre de mûrir et elle va aussi s'apercevoir qu'une reine ne peut pas toujours faire ce qu'elle veut et qu'il faut se plier à certains protocoles surtout quand il s'agit de sentiments.

Elle va aussi devoir se battre pour conserver sa couronne convoitée par ses proches

J'ai adoré ce livre c'est un vrai coup de coeur. J'ai aimé le style d'écriture, l n'y a pas de lenteur tout s'enchaîne parfaitement, les pages se tournent vite, on veut savoir ce qu'il va se passer et comment Victoria va pouvoir se sortir de certaines situations.

Je tiens aussi à saluer le travail de l'autrice qui a fait des recherches sur le journal intime de Victoria et sur des lettres qu'elle a écrites.

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Je ressors avec un avis mitigé de ma lecture. Je ne m'attendais pas que l‘auteure donne une place centrale à une pseudo-romance avec lord Melbourne, le premier ministre de la toute jeune reine. Et si cela peut-être présenté avec certitude. Certes l'on peut comprendre l'attachement réciproque que les deux personnages ont pu avoir, certes l'auteure aborde quelques faits marquants de cette partie de règne, mais je m'attendais à quelque chose de plus historique de moins romancé.
Pour autant, cela a aiguisé ma curiosité et c'est en recherche sur la toile que j'ai appris ce qui me manquait. Dans cette tranche vie, la jeune Victoria passe pour une gamine un peu capricieuse, superficielle, tout en faisant montre parfois de caractère. Sa relation avec Albert son futur époux dont on dit quelle sera follement amoureuse, en fait état et se trouve bien peu développé.
Le récit se laisse lire aisément, la plume est fluide et agréable. L'auteure aurait écrit le scénario d'une série à partir de ce roman et il semble qu'elle soit mieux que le livre.
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Nous sommes en 1838 et Alexandrina Victoria vient d'apprendre qu'elle est l'unique héritière au trône d'Angleterre. Un an plus tard et seulement âgée de 19 ans, elle se voit couronnée et devient reine de Grande-Bretagne et d'Irlande. le pays découvre une reine jeune, fougueuse, têtue et moderne pour son époque, n'hésitant pas à tout réformer pour laisser une trace de son nom dans L Histoire en dépit de ce que les gens pensent et des moqueries à son sujet. Mais Victoria (le nom qu'elle choisira d'adopter durant son règne) a vécu une enfance et une adolescence stricte, loin de ce milieu masculin de la politique dont elle ne connaît rien et doit tout apprendre de zéro. Pour la conseiller elle peut compter sur Lord Melbourne, premier ministre mais surtout ami qui devient rapidement son secrétaire privé. Mais Victoria qui n'a pas l'habitude des hommes se surprend à éprouver une attirance pour cet homme qui a quarante ans de plus qu'elle et qui lui évoque sans doute la figure paternelle qui manque à sa vie puisqu'elle n'a pas de père. Une relation platonique démarre entre eux au grand dam de sa mère qui rêve d'un mariage arrangé pour sa fille avec son cousin Albert. Victoria ne veut rien savoir de ce dernier et c'est ainsi que démarre ses premières années de règne ...



J'ai frôlé le coup de coeur avec ce roman qui se penche sur le tout début du règne de Victoria. Une jeune femme attachante aussi petite de par la taille que grande de par le coeur qui a toujours voulu prendre ses décisions et ne pas suivre celles des hommes. J'ai été émue de voir à quel point on a tenté de lui mettre des bâtons dans les roues à ses débuts, son entourage proche, toxique (dont la maman elle-même manipulée par un homme), essayant à tout prix de la caser avec son cousin qu'elle détestait et son entourage moins proche la critiquant ouvertement sur son physique et ses décisions. La scène où on lui met une couronne trop grande sur la tête (car prévue pour un homme) m'a vraiment fait mal au coeur et la manière dont elle a rebondi n'en était que plus admirable ! Si vous aimez les grands destins de femme n'hésitez pas ! Pour ma part j'aurais aimé connaître la suite puisqu'elle finit par se décider entre Lord Melbourne et le prince Albert mais je ne spoile pas haha.



J'ai souligné quelques petites longueurs par moments et je trouve dommage que les mots et expressions en allemand n'aient pas été traduits (ça ne m'a pas posé problème mais ça pourra le poser à quelqu'un qui ne les comprends pas), mais vraiment je chipote.
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J'avais lu différents avis sur ce livre et j'ai voulu me faire le mien. Si j'ai bien aimé cette lecture, j'en ressors plus que mitigée et au final pas vraiment convaincue.

J'ai eu l'impression de lire une romance historique améliorée, plutôt qu'un roman sur Victoria.

Productrice de la série éponyme, Daisy Goodwin a écrit ce livre en même temps que la première saison de la série et ça se ressent. Je n'ai pas vu la série, mais j'ai ressenti le côté télévisuel dans ce livre.

Je regrette vraiment que l'accent ait été mis sur les premiers émois amoureux de la jeune reine que finalement sur les intrigues de cour, sur les courtisans et sur la "mécanique" de la monarchie anglaise.

Il y avait tant de possibilités, de points de vue à adopter pour traiter ces premières années de règne de Victoria, Daisy Goodwin a choisi d'en faire un "remake" amélioré des jeunes années d'une reine (avec Romy Schneider), plutôt que de traiter le sujet de façon plus sérieuse.

Il ne faut donc pas s'attendre à apprendre quoi que ce soit avec ce livre, cela reste très léger sur le fond, même si c'est une lecture agréable.

En bref: sans plus !
Lien : http://l-evasion-par-la-lect..
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Daisy Goodwin retrace les premières années de règne de la reine Victoria dans ce roman éponyme. La jeune femme accède au trône à l'âge de dix-huit ans alors qu'elle ne connaît rien du monde et n'entend rien à la politique, en raison de l'isolement dans lequel elle a grandi. Elle s'attache rapidement à Lord Melbourne, le Premier Ministre qui deviendra aussi son conseiller, et même plus encore…

J'ai beaucoup réfléchi à la façon dont j'allais rédiger cette chronique, pourtant même encore, je ne sais pas comment la débuter. Je dirais que j'ai été gênée par certains partis pris de l'auteur. Que Victoria ait eu des sentiments amoureux pour Lord Melbourne, pourquoi pas, après tout, même s'il n'y a pas de preuves concrètes à ce sujet, mais c'est surtout le traitement d'Albert qui m'a dérangée.

De ce que je me souviens avoir lu à l'époque où j'avais fait quelques recherches personnelles sur la reine Victoria, et encore aujourd'hui en me référant à sa page Wikipédia (même si j'ai conscience que ce n'est pas une source forcément fiable), il me semble qu'elle a toujours témoignée une certaine préférence et inclination pour Albert, or dans ce roman, elle oscille d'abord entre indifférence et mépris à son égard.

C'est donc la romance platonique entre Victoria et son cher « Lord M » qui prédomine pendant la majeure partie du livre. Une romance que j'aurais pu adorer (et que j'ai adoré, au fond de moi) si elle n'avait pas été basée sur des faits réels. Je ne pouvais pas feindre de ne pas savoir comment aller s'achever leur idylle, et surtout, je me suis inquiétée de ne pas voir Albert pointer le bout de son nez avant la dernière centaine de pages du roman.

Craintes qui se sont hélas révélées fondées. En l'espace de cinq jours, la Victoria de Daisy Goodwin nous offre un retournement de jupon magistral. Il suffit de deux frôlements de peau, d'une valse et de quelques oeillades échangées entre les piques désagréables qu'ils se lancent pour que Victoria et Albert se pâment d'amour l'un pour l'autre. Oublié Lord M ! Tellement oublié que je crois même avoir laissé échapper une insulte à l'intention de Victoria lors d'une certaine scène…

Quant au personnage d'Albert en lui-même, il ne rend pas davantage crédible ce brusque revirement. La description « d'homme mécanique » qu'en fait Lord M ne pourrait lui convenir davantage. Il est antipathique, moralisateur, et surtout, il ne fait pas le poids comparé à la plupart des autres personnages masculins, qu'il s'agisse de Lord M, de son propre frère Ernst, du grand-duc Alexandre ou encore de l'attentionné Lord Paget. Même le chien Dash aurait été un meilleur prétendant, à mon goût…

Pire, j'ai trouvé que l'auteur forçait sur le pathos avec l'histoire de la mère d'Albert. Non, plus exactement, tout est forcé dans cet amour naissant, parce qu'après plus de trois cent pages passées à succomber au charme de Lord Melbourne, il fallait bien rectifier le tir pour recoller à la réalité historique.

D'ailleurs, quoique j'aie moi-même cédé à l'inclination pour ce séduisant Lord M au fil de ma lecture, j'ai aussi regretté que la romancière ait décidé d'en faire un personnage foncièrement bon, dévoué à sa reine et à son pays, et droit dans ses bottes. Là encore, je me trompe peut-être, mais de ce que j'en ai lu auparavant, je n'ai pas l'impression qu'il ait été blanc comme neige, mais plutôt qu'il n'hésitait pas à manoeuvrer lui aussi Victoria dans le sens de ses propres intérêts, ce qui n'est pas le cas ici. Ici, il est vraiment parfait… contrairement à Albert.

Au final, le seul aspect de ce roman auquel j'aurai totalement adhéré, c'est la relation ambiguë entre Victoria et sa mère, qui oscille entre affection et rancune. On ne peut qu'être agacé par la confiance aveugle que la duchesse de Kent accorde à sir Conroy, et en même temps touché par sa volonté de protéger sa fille envers et contre tout. Elles sont l'une comme l'autre très maladroites, et l'auteur réussit à nous montrer combien elles auraient pu être proches sans cet homme pour semer la discorde entre elle.

Victoria est donc un livre qui se lit vite et agréablement, mais voilà, j'ai vraiment eu du mal à accrocher à la plupart des choix de Daisy Goodwin. Pour cette raison, je ne suis pas tentée de regarder la série, et je vais plutôt revisionner pour la énième fois l'adaptation cinématographique avec Emily Blunt.
Lien : https://leslecturesdecyrligh..
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