>
Critique de Sea
Neuilly Brûle t-il ?
Laurent Chalumeau
7/10
Une chronique sympa, libre.
Neuilly Brûle t-il ? Mon premier Chalumeau.
Il y a la couverture et le titre, bien pensé tout cela, Antoine et son acolyte José avec leur regards « de fous ». Désolé pour la familiarité. Mais ces deux là ils ont accompagné mon adolescence. Leur regards sur la couverture, comme si tout va sauter là à l'instant. En 1997, Neuilly brûla à l'intérieur des pages de Laurent. Et moi j'étais ravi tout en ignorant complétement que c'est un des romans qui a contribué à me faire aimer lire et par la suite à vous faire partager mes lectures. L'internet n'était pas encore si développé. Tout ça ? Un enchaînement de travaux sans s'en rendre compte.
Je venais à peine d'obtenir la majorité. Ce roman écrit « à la façon d'un roman de gare » m'a dépuceler du genre ? Oui c'est cela, et cela en valait la peine. Une invitation au délire, plus qu'une initiation, ici une phrase juste pour la rime. Allez y « baigner vous » avec Laurent Chalumeau il vous surprendra. J'espère qu'il saura se renouveler, je vais le savoir en en entamant « En Amérique » , un de ses livres, plus récemment publié.
Vous venez de vous en rendre compte, je viens de faire du détournement de chronique. C'est pour la bonne cause. Pas seulement vous écrire sur Neuilly Brûle t-il ? mais vous écrire un peu plus globalement sur mon goût pour « le Chalumeau ».
Neuilly Brûle t-il ? L'histoire est sans doute un peu tirée par les cheveux et vous imaginez bien que tous les détails, ben je m'en souviens pas bien. Un délire bien mené en résumé, commencer par celui là pour apprécier le style de L.C, oui pourquoi pas. J'en aurais mis du temps à vous écrire sur ce bouquin, 4 ans, peut-être parce je ne l'ai plus matériellement, oui voilà je l'ai vendu bon, j'ai pensé il va en faire rire d'autres, peut-être parce que c'est « un roman de gare » ben justement c'est plaisant cela divertit, on est pas beaucoup plus instruit à la fin, mais on imagine, on rêve, ça aussi c'est important. « En Amérique » me rappel à LC. Et LC nous fait rire.
Laurent Chalumeau, j'aime son style, pour conclure, ici c'est à l'envers.
Mais de quoi parle t-il à la fin ?
Lien : http://short-edition.com/fr/..
Laurent Chalumeau
7/10
Une chronique sympa, libre.
Neuilly Brûle t-il ? Mon premier Chalumeau.
Il y a la couverture et le titre, bien pensé tout cela, Antoine et son acolyte José avec leur regards « de fous ». Désolé pour la familiarité. Mais ces deux là ils ont accompagné mon adolescence. Leur regards sur la couverture, comme si tout va sauter là à l'instant. En 1997, Neuilly brûla à l'intérieur des pages de Laurent. Et moi j'étais ravi tout en ignorant complétement que c'est un des romans qui a contribué à me faire aimer lire et par la suite à vous faire partager mes lectures. L'internet n'était pas encore si développé. Tout ça ? Un enchaînement de travaux sans s'en rendre compte.
Je venais à peine d'obtenir la majorité. Ce roman écrit « à la façon d'un roman de gare » m'a dépuceler du genre ? Oui c'est cela, et cela en valait la peine. Une invitation au délire, plus qu'une initiation, ici une phrase juste pour la rime. Allez y « baigner vous » avec Laurent Chalumeau il vous surprendra. J'espère qu'il saura se renouveler, je vais le savoir en en entamant « En Amérique » , un de ses livres, plus récemment publié.
Vous venez de vous en rendre compte, je viens de faire du détournement de chronique. C'est pour la bonne cause. Pas seulement vous écrire sur Neuilly Brûle t-il ? mais vous écrire un peu plus globalement sur mon goût pour « le Chalumeau ».
Neuilly Brûle t-il ? L'histoire est sans doute un peu tirée par les cheveux et vous imaginez bien que tous les détails, ben je m'en souviens pas bien. Un délire bien mené en résumé, commencer par celui là pour apprécier le style de L.C, oui pourquoi pas. J'en aurais mis du temps à vous écrire sur ce bouquin, 4 ans, peut-être parce je ne l'ai plus matériellement, oui voilà je l'ai vendu bon, j'ai pensé il va en faire rire d'autres, peut-être parce que c'est « un roman de gare » ben justement c'est plaisant cela divertit, on est pas beaucoup plus instruit à la fin, mais on imagine, on rêve, ça aussi c'est important. « En Amérique » me rappel à LC. Et LC nous fait rire.
Laurent Chalumeau, j'aime son style, pour conclure, ici c'est à l'envers.
Mais de quoi parle t-il à la fin ?
Lien : http://short-edition.com/fr/..
