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Astérix tome 28 sur 40
EAN : 9782864970200
47 pages
Editions Albert René (02/07/1990)
3.71/5   1124 notes
Résumé :
Nous sommes en 1959, en plein mois d'août. Dans une cité HLM de Bobigny, aux portes de Paris, deux auteurs de bande dessinée s'épongent le front. Pas seulement à cause de la chaleur estivale : les deux compères suent sang et eau pour trouver une idée de personnage. Il leur faut être prêts pour le premier numéro de Pilote, un nouveau magazine pour les jeunes dont la parution doit intervenir trois mois plus tard. le scénariste s'appelle René Goscinny. Son copain dessi... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (55) Voir plus Ajouter une critique
3,71

sur 1124 notes
Astérix chez Rahàzade est le 4e album de la période « Uderzo solo », sorti en octobre 1987. Depuis le Grand Fossé, sorti en 1980, Albert Uderzo a eu le temps de se perfectionner dans son nouveau rôle de scénariste, tout en confirmant sa très grande maîtrise du dessin, il s'agit de la 28e aventure du petit Gaulois teigneux.

On a le sentiment qu'Uderzo, voulant poursuivre la série d'albums consacrés aux excursions lointaines, et dans le but de trouver une nouvelle destination touristique, a compulsé sa collection de Guides du Routard. Après quelques voyages hors de la Gaule, dans des pays tels que l'Égypte, l'Espagne, la Grèce et plus récemment le Moyen-Orient (dans L'Odyssée d'Astérix), l'idée est de s'aventurer toujours plus loin pour satisfaire les lecteurs épris d'exotisme. Quoi de mieux que l'Inde, destination en vogue depuis les années 70, l'époque des babas-cool. le choix portera donc sur la vallée du Gange !

Quoi de mieux aussi que Les Mille et Une Nuits et Shéhérazade pour provoquer des envies de Katmandou, rêver d'exotisme et croire aux contes de fakirs, de la trempe de ceux capables de se déplacer en tapis volant. On passera ainsi du « conte des Mille et Une Nuits » au « compte des Mille et Une Heures », de Shéhérazade à Rahàzade, d'Aladdin à Kiçàh et du Proche-Orient à un Orient plus lointain, le royaume du rajah Cékouhaçà.

Juste avant le tome 29 La Rose et le Glaive et son moyenâgeux dragon tout feu tout flamme et surtout avant le très perturbant tome 30 La Galère d'Obélix, ses centaures, ses vaches volantes, ses humains qui rajeunissent à volonté et se transforment en statue de pierre, Uderzo enfonce ici un premier coin dans la fissure qui fera plus tard sombrer l'édifice complet. La fissure, c'est l'envie qu'a depuis longtemps l'auteur de « dysniaiser » l'univers d'Astérix. L'écroulement de l'édifice se produira dans le tome 33, à grand renfort d'extraterrestres de cartoon convoqués en masse par Uderzo, lorsque le Ciel lui tombera sur la tête.

Quant au premier coin enfoncé, c'est bien sûr l'apparition du fantastique et du merveilleux : les fakirs, les tapis volants, les cordes qui se dressent au son de flûte, la manipulation de la foudre et des éléments climatiques… Certes, il y a toujours eu un peu de magie dans Astérix, à commencer par les tours de passe-passe des druides gaulois et la célèbre potion magique. Mais celle-ci, à la relecture, a bien souvent été utilisée de façon plus ou moins réaliste, notamment quand c'était possible en la substituant par un ersatz ou un effet placebo et même en la discréditant (Chez les Bretons, le Combat des chefs, Aux Jeux Olympiques). Cet album met fin au réalisme pragmatique de Goscinny et consacre le tournant voulu par Uderzo vers la féérie, le légendaire et la science-fiction.

L'exotisme des destinations lointaines n'est pas un problème, Goscinny lui-même avait tenté l'expérience avec La Grande Traversée, la découverte des glouglous et des peaux-rouges, à demi justifiée par les futures excursions Vikings dans le Groenland et le Vinland. Ce qui est sans doute plus gênant en revanche, c'est le fourre-tout culturel multipliant les références à l'Inde, allant de Mowgli à Iznogoud, bien loin de l'époque antique de la série.

Uderzo, toujours friand de caricatures animalières (on connaît son talent à représenter les sangliers et autres animaux de la forêt), s'en donne ici à coeur joie et nous propose des éléphants au travail (page 35), un tigre du Bengale (page 40), un python, des singes qui enlèvent Idéfix et l'emporte dans les arbres (page 41), un rhinocéros (page 42). On baigne dans les références au Livre de la Jungle, pas seulement à l'oeuvre initiale de Kipling, mais surtout au film dérivé de Walt Disney (1967), toujours incontournable chez Uderzo. Comment ne pas penser aux éléphants du colonel Hathi, à Shere Khan, à Kaa et consort ?

Il ne manque plus que l'ours Baloo, car à ce stade, il en faut vraiment peu, très peu pour être heureux ♫♪. Cette séquence haute en couleur est cependant assez réussie et m'a réjoui malgré son caractère très décalé par rapport à l'univers habituel d'Astérix.

Iznogoud est comme il se doit cité (page 44), en hommage au personnage cocréé par René Goscinny et Jean Tabary. le méchant de l'histoire, le sinistre gourou Kiwoàlàh qui souhaite être rajah à la place du rajah, a un cousin à la hauteur de sa réputation et qui lui ressemble.

J'ai bien apprécié également le survol des régions traversées, une bonne occasion pour nos héros de se remémorer quelques anecdotes des précédents albums. La précision du trait d'Uderzo pour dépeindre les bâtiments du Forum de Rome (page 17) et de l'Acropole (page 23) reste inégalée. Rome est l'occasion de saluer ce bon vieux Jules, bien mal en point dans cet album. Athènes n'évoque pour Obélix que des souvenirs culinaires, notamment le menu de l'auberge de Fécarabos, apprécié dans Astérix aux Jeux Olympiques, laquelle renvoie par une autre réplique à la petite auberge de la Nationale VII, qui servait du veau délicieux dans le Tour de Gaule.

Une autre référence à un conte (de Charles Perrault cette fois, puisqu'il s'agit de Barbe-bleue) se cache derrière Seurhàne, la servante de Rahàzade qui ne voit jamais rien venir (pages 23, 25, 27) avant d'annoncer la bonne nouvelle (page 31). le fantastique, décidément omniprésent, est également évoqué par la présence du Monstre de Frankenstein dans l'équipe des pirates de Barbe-Rouge (pages 15 et 16). Barbe-Bleue, Barbe-Rouge, on s'y perd…

J'ai noté quelques jeux de mots ou répliques d'anthologie dans cet album, par exemple : « La colonne romaine est hors de prix ; c'est une vraie ruine, paraît-il ! » (page 5) ; « Iélosubmarine ! vite ! apporte la réserve de poissons de l'année dernière ! » (page 7) ; « Ah ! Je ris de revoir Cybèle en ce miroir… » (page 18) ; « Maintenant, c'est un ascète garni ! » (page 19) ; « Quand je pense qu'Ulysse nous a fait toute une histoire avec son chant des sirènes ! » (page 21) ; « Il vaut mieux un tapis persan volé qu'un tapis volant percé ! » (page 27).

J'ajoute à cette liste : « Oh ! Ce n'est qu'un plat pour les pauvres que nous appelons Khâviâr ! mais c'est très nourrissant vous verrez ! » (page 29). Uderzo et Goscinny en avaient marre de se faire servir du sanglier à chaque invitation officielle pendant des années. Goscinny aurait alors déclaré à l'un de ses hôtes « Dommage que l'on n'ait pas fait manger du caviar à nos Gaulois ! On se régalerait tous les jours… ». Uderzo rend ainsi un hommage discret à son ami.

Finalement, grâce au pouvoir de sa voix « exceptionnelle » qu'il retrouve de justesse après une période d'aphonie, c'est la deuxième fois qu'Assurancetourix parvient à sauver la situation (il a déjà utilisé ce don dans Astérix et les Normands). Comme il fallait s'y attendre, après avoir fait pleuvoir à l'intérieur des maisons, il parvient à provoquer la mousson, c'est bien le moins que l'on attendait de lui !

Le rajah Cékouhaçà invite tout le monde à fêter cette victoire autour d'un repas où nous laissons nos héros avant leur retour au village. le village organise de son côté un banquet sans attendre le retour de nos héros, donc sans la présence d'Assurancetourix, au grand dam de Cétautomatix qui se morfond et boude dans son coin. Assurancetourix, par ailleurs, commençait à manquer car la pluie se fait également attendre en Armorique.

Cet album de la période Uderzo solo n'est pas si mauvais, en dépit d'un scénario un peu linéaire (les protagonistes progressent le long d'une route toute tracée et sans surprise) et d'une grosse entorse au réalisme habituel des albums (Uderzo ouvre en grand la porte du fantastique). L'album se caractérise néanmoins par de nombreuses situations burlesques, une mise en scène au cordeau, un dessin extrêmement bien maîtrisé, des jeux de mots de bon aloi et des références culturelles en abondance (contes et légendes d'origines multiples, nombreuses chansons parodiées, personnages empruntés ailleurs). Uderzo parvient à garder son cap dans cette profusion.

La dégringolade et l'absence d'imagination, pour moi, vont commencer dans le tome 30 avec la Galère d'Obélix, qui sera visiblement aussi celle d'Uderzo, deux albums plus loin.
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J'ai trouvé Astérix chez Rahazade très médiocre. Je connaissais pourtant la réputation des albums qu'Uderzo a fait seuls ; eh bien, je me suis lancé, par curiosité, sur un album concernant lequel les avis de la communauté ne sont pas trop négatifs, Astérix chez Rahazade. de ma curiosité, j'ai payé le prix : un très mauvais moment de lecture. En effet, j'y ai trouvé beaucoup de problèmes : l'intrigue, les personnages, les choix esthétiques, les rebondissements, et surtout l'humour. En bref, je suis négatif sur tout ce qui fait un Astérix.
L'intrigue, d'abord : eh bien, l'intrigue, elle est… d'un classiscisme décevant :
le méchant ( très méchant ) fait semblant de prophétiser que pour que la sécheresse cesse, s'il ne cesse pas avant je-ne-sais-plus-quel-délai, il faut sacrifier la princesse ( la fameuse Rahazade ). Donc, pour faire tomber la pluie, le fakir Kiçah va au village gaulois, et il trouve quelqu'un qui fait tomber la pluie quand il chante : Assurancetourix ( quel gag lamentable ! ). Donc, Assurancetourix, Astérix et Obélix vont dans l'Inde sauver la princesse.
Ensuite, viennent les personnages : je pense d'abord au grand méchant. Les centurions de Goscinny avaient quelque chose de plus que leur méchanceté : ils étaient non seulement méchants, mais leur méchanceté les menait à l'extrême de leur propre vilenie, et cela les rendait comiques. Tout était exagération : le centurion qui ne donne presque rien des impôts à l'empire Romain dans Astérix chez les Helvètes, le gouverneur de Lutèce, tellement blasé que son propre malheur devenait un amusement à ses yeux. Là, le méchant semble sorti d'un film Disney : il est infâme, et à prendre au premier degré. Et la princesse, cette fameuse Rahzade, est une version surjouée de l'innocence persécutée. Et que dire de Kiçah, caricature de fakir ascète ? Je n'ai jamais demandé à Astérix la subtilité de la psychologie, mais là les personnages sont tellement caricaturaux, tellement vides, en fait, que cela devient vite insupportable.
Les choix esthétiques, maintenant : d'abord sur l'apparence du grand méchant, ledit grand méchant est vilain seulement avec son apparence ; il n'a même pas besoin d'un tempérament pour être méchant, à la vision de son physique, on dit tout de suite : "C'est un méchant, lui !". Et puis, les décors, l'Inde enfin ! Goscinny n'aurait pas fait ses décors, il aurait caressé quelques stéréotypes sur l'Inde, sans s'éparpiller dans un inutile et grotesque décor d'Inde de fête foraine.
J'en viens maintenant aux rebondissements : ils sont tous destinés, par leur outrance, à provoquer le rire, mais justement : ce sont des gags outranciers. On est loin de l'humour, subtil et fin, de Goscinny ! Les rebondissements de l'intrigue sont souvent parfaitement inutiles à sa construction : ils existent, et puis, ils n'ont pas de suite.
Et ensuite, j'en arrive au pire : l'humour. J'ai déjà évoqué un certain nombre d'éléments en la matière. J'ai parlé du gag lamentable concernant sur Assurancetourix ; j'ai parlé de ces rebondissements qui ne sont des gags. Il suffit de lire le titre pour comprendre qu'on ne vole pas haut du point de vue des gags. Ils sont basés sur l'outrance, sur une exagération tellement phénoménale qu'elle met une barrière entre les gags et le lecteur ; quand Obélix s'évanouit parce qu'il apprend que Kiçah n'a pas mangé depuis des jours et des jours, c'est basé sur l'outrance d'un des traits de caractère d'Obélix, mais aussi sur l'outrance d'un des traits de caractère de Kiçah. Goscinny n'aurait pas fait ça ; il aurait fait des traits d'humour plus subtils, caricaturaux, mais de façon à préserver les personnages, non en les faisant comiques, mais en révélant le comique qu'ils ont déjà en eux. Goscinny parviendrait à faire d'une tragédie de Sophocle la plus hilarante des comédies. Ce qui est certain, c'est qu'Uderzo échoue lamentablement à faire de son album d'Astérix autre chose que la risée de Cer45Rt. ( A force de parler de tragédies, je me mets à parler de moi-même à la troisième personne… Les personnages font tout le temps cela chez Racine et chez Corneille. )
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Une bande dessinée sympathique avec laquelle j'ai passé un agréable moment.
Je ne suis pas une grande amatrice d'Asterix, je ne pourrai donc pas comparer aux autres albums, mais comme je suis tombée par hasard sur cette BD alors je me suis lancée.

Un fakir venu d'Inde arrive jusqu'en Gaule en tapis volant pour demander de l'aide. En effet, son pays est en pleine sécheresse et la saison de la mousson va s'achever. Pour empêcher la famine et la ruine de son peuple, il demande à ce que le barde gaulois vienne faire tomber la pluie grâce à sa musique.
Ainsi ils pourront sauver la princesse Rahàzade qui selon le gourou, doit être donnée en sacrifice pour que le Dieu des eaux ne soit plus contrarié.

Le côté un peu enfantin ne m'a pas dérangé puisque je m'y attendais.
J'ai aimé l'humour dans cette histoire, notamment Obélix qui ne fait que râler pendant tout le voyage.
J'ai aussi beaucoup aimé la première moitié de l'histoire avec les nombreux contretemps qui ralentissent leur périple et la rencontre avec les différents peuples. La seconde partie est également amusante grâce aux nombreux rebondissements qui rythment l'histoire.

Je ne me suis pas ennuyée et l'histoire reste très simple à lire. Je pense que cette BD pourrait plaire aux plus jeunes. Il y a cependant une question qui me reste en tête et à laquelle il n'y a pas eu de réponse: comment le fakir peut-il savoir qu'à l'autre bout du monde un barde fait tomber la pluie? Cela restera un mystère mais pour ma part ce détail ne m'a pas gâché le plaisir de cette lecture.
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Assurancetourix a une nouvelle corde à sa harpe. Depuis chaque fois qu'il s'égosille la pluie tombe sur le village gaulois, faisant rouspéter tous ceux qui se trouvent dans les parages. Tous? non! Kiçah le fakir est plus que ravit. Il a trouvé le village de fous et la voix qui fait tomber la pluie.

Pas facile de critiquer de façon objective cet album d'Astérix qui a enchanté ma petite enfance. Une rerere...lecture émaillée de nostalgie et avec le souvenir des rires et de l'émerveillement d'enfant.
Astérix et Obélix vont partir, à bord du tapis volant de Kiçah, pour le pays des mille et une nuits où la belle Rahazade est mise en péril par un ignoble vizir. Et cette fois-ci Assurancetourix aura lui aussi une place héros car c'est sa voix qui doit sauver la princesse.
On retrouve dans cet album les codes des aventures d'Astérix ainsi que les nombreux jeux de mots.
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Ah ! La série Asterix ! C'est toujours un régal. Aussi, lorsqu'il y a quelques jours je suis retombé sur ma collection d'enfance, je n'ai pas pu m'empêcher de lire le premier volume qui m'est tombé sous la main.

On retrouve donc les ficelles habituelles d'Asterix. Une personne d'un pays lointain débarque dans notre bon village, et demande l'aide de nos amis gaulois, lesquels acceptent sans trop rechigner.

Et comme toujours le dépaysement est total, l'humour omniprésent, et malgré les années, cela fonctionne toujours autant. Notamment les noms des personnages et les blagues toujours bien construites.

Je sens que je vais tomber dans une cure Bande dessinée d'ici peu :)
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Citations et extraits (31) Voir plus Ajouter une citation
Obélix : - Ben, il n'y a qu'à se servir dans le tas !
Assurancetourix : - Obélix a raison ! Il vaut mieux un tapis persan volé qu'un tapis volant percé !
Astérix : - Pas question de faire voler un tapis volé !
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KICAH le fakir : Le tapis n'est pas réparable et nous n'avons aucun talent ! TOUT EST FICHU !
OBELIX : Ben il n'y a qu'à se servir dans le tas !
ASSURANCETOURIX : Obélix a raison ; Il vaut mieux un tapis persan volé qu'un tapis volant percé !
ASTERIX : Pas question de faire voler un tapis volé !
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Kiçah (chantant) : Il était un petit fakiiiiir...
Astérix : Mais c'est la voix de Kiçah ça !
Karédas : Qui c'est Kiçah ?
Kiçah (chantant) : Qui n'avait ja, ja, jamais navigué...
Astérix : Que transportes-tu dans ces jarres ?
Karédas : Ca s'entend ! C'est du vin, s'il en reste !
Kiçah (chantant) : Ohé, ohé !
Karédas : Ca ne serait pas votre fakir par hasard ?
Obélix : Par Toutatis ! Il a bu une sacrée tasse !
Assurancetourix : Il est complètement plein oui ! Maintenant c'est un ascète garni !
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- Petit génie Ariel...Quand tu descendras du ciel...
- C'est toi qui va descendre et tout de suite encore !!!
- Je n'ai même pas le droit d'essayer l'acoustique de ma nouvelle hutte ?
- Même Toutatis ne peut pas le supporter ! Alors laisse tomber !!
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Je ne répare que les tapis que je tisse et que je vends ! D'ailleurs ici, personne n'accepterait de réparer un tapis de fabrication étrangère !
.................
................
Je n'ai pas la pièce nécessaire pour réparer votre tapis ! ...
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