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Astérix tome 21 sur 40
EAN : 9782012101531
48 pages
Hachette (04/05/2005)
3.91/5   975 notes
Résumé :
Nous sommes en 50 avant Jésus-Christ ; toute la Gaule est occupée par les Romains... Toute ? Non ! Car un village peuplé d'irréductibles Gaulois résiste encore et toujours à l'envahisseur. Et la vie n'est pas facile pour les garnisons de légionnaires romains des camps retranchés de Babaorum, Aquarium, Laudanum et Petibonum...

Les vétérans de l'armée romaine reçoivent un cadeau : un lot de terre signé de la main de César. Roméomontégus, ivrogne invétér... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (59) Voir plus Ajouter une critique
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1974 — faut-il le rappeler ? — était une année électorale. Aussi, René Goscinny, pas dans une de ses meilleures passes (jugez-en avec les Lucky Luke et Astérix du milieu de la décennie 1970 comparés à ceux qui ont précédé), eut-il l'idée de surfer sur cette vague rentable.
Bien lui en prit car, commercialement parlant, l'album fut un réel succès. Commercial, le mot est lancé, effectivement, cet album est l'un des plus commerciaux de la période d'or d'Astérix.
Bon, comme c'est du Goscinny, même en petite forme, cela reste acceptable et, par moments, franchement drôle, mais on est loin du MAGIC-GOSCINNY dont on se délecte par exemples dans Astérix et Cléopâtre, Astérix chez les Bretons ou même le récent (à l'époque) confrère Astérix en Corse.
Ici, tout est « pas mal », mais on ne franchit jamais la barrière de l'enthousiasme franc, massif, entier.
Le scénario est le suivant : Roméomontaigus, un légionnaire romain et pochetron notoire, arrive au terme de ses vingt ans de légion. Comme c'est de mise, César doit récompenser ces valeureux soldats ayant consacré une bonne part de leur vie d'homme au lustre et à la réussite de l'impérialisme romain.
Néanmoins, vous pensez bien qu'un pareil ivrogne n'est pas sans commettre quelques impairs, notamment à l'endroit De César lui-même. Celui-ci décide alors de lui réserver une petite surprise en lui octroyant un lot de départ des plus gratinés. Il s'agit bien sûr de l'attribution d'un titre de propriété pour le village des irréductibles armoricains.
Nonobstant, Roméomontaigus, n'a que faire de faire valoir un quelconque droit sur une quelconque région, la seule chose qui compte pour lui, c'est de se vider une bonne amphore de vin du matin au soir. Et comme il y a bien longtemps qu'il n'a plus un sesterce devant lui, il n'hésite pas une seconde à troquer son titre de propriété à l'aubergiste gaulois Orthopédix qui le rince à l'oeil et qui commence à perdre patience quant au paiement de son ardoise.
Les choses vont bien évidemment se corser lorsqu'Orthopédix, de bonne foi, essaiera de faire valoir ses droits sur le village. S'ensuivra une confrontation avec Abraracourcix pour savoir à qui revient l'honneur d'être désigné chef du village…
Pour conclure, un Goscinny en petite forme ; Uderzo, quant à lui est toujours impeccable, mais un album, tous comptes faits, moyen, pas mémorable, pas désagréable non plus, mais très loin des sommets incontestables du couple scénariste-illustrateur le plus talentueux de sa génération, mais là encore, est-il besoin de préciser que ceci n'est que mon avis, c'est-à-dire, pas grand-chose.
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En relisant cet Astérix, le seul gaulois à garder la tête froide devant un cadeau fait par César à un ancien légionnaire, je lui ai trouvé une bonne dose d'humour sur un scénario pouvant paraître faible, mais qui finalement tient plutôt bien la route.

Cet album illustre fort bien la vanité des convoitises et la bêtise humaine devant les flatteries. En effet, le romain qui s'était vu offrir le village gaulois par César -- rien de moins -- l'a cédé très vite à un aubergiste de Lutèce qui s'y rend avec finalement l'intention d'en devenir le chef.

De là, une élection doit être organisée. Il ne faut pas perdre de vue que l'album paraît en 1974, année d'élection présidentielle en France. Goscinny va jusqu'à organiser un débat entre le sortant, Abraracoucix, le sortant involontaire, et Orthopédix, l'aubergiste qui a hérité du village.

Un bon moment est le débat entre les deux candidats, arbitré par le barde, Assurancetourix. L'un des deux aura-t-il le monopole du coeur? Les romains vont vouloir se mêler de cette élection qui réconciliera tous les gaulois à leurs dépens.

Même si le trait est forcé, notamment sur la fraîcheur du poisson d'Ordralphabétix, l'ensemble reste distrayant, sans grand suspense. Goscinny égratigne les politiques et leurs intrigues, les figures féminines ne sont pas épargnées, prêtes à toutes les compromissions pour sauvegarder, l'une son statut , l'autre l'en déposséder.

Un cadeau empoisonné pour les gaulois qui, sans atteindre le niveau des meilleurs épisodes de la série, procure une sympathique et humoristique détente.
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Un petit retour hivernal dans la famille du Sud où se reposent mes BD classiques et hop ! un petit Astérix le soir au coin du feu (on a le chauffage central mais bon). Cette fois je n'ai pas attrapé le meilleur, mais c'est quand même agréable avant de s'endormir.

Romeomontaigus est un légionnaire vétéran peu exemplaire à la veille de la quille qui, rond comme une queue de pelle, se permet de critiquer César. Celui-ci, pour rigoler, lui offre comme lot de sortie de l'armée un certain village gaulois d'Armorique. Romeomontaigus s'en sert comme monnaie d'échange dans une taverne contre un peu de vin. Orthopedix, le tavernier, débarque au village d'Astérix avec sa femme Angine et sa fille zaza et demande à tout le monde de virer les lieux. Gros éclat de rire au village. Mais Orthopedix (plutôt sa femme) va s'accrocher, ouvrir une taverne et se proposer comme nouveau chef au grand dam d'Abraracourcix (surtout de Bonemine).

La parodie de campagne électorale apporte son lot raisonnable de situations comiques. Rappelons que l'album est sorti en 1974, année d'élection présidentielle en France. C'est évidemment un clin d'oeil. L'imitation du duel de Cyrano/Zorro entre Asterix et Romeomontaigus venu réclamer son village est amusante. le cri FOOOORMIDABLE de Zaza adressé à Asterix prend une nouvelle saveur depuis que Stromae s'en est emparé dans une de ses chansons. Quelques acteurs sont caricaturés comme d'habitude : on retrouve Pierre Tchernia et, le centurion Tohubohus, ne dirait-on pas Michel Piccoli ? Enfin les Romains prennent leur inébranlable branlée à la fin.

Marrant mais ce n'est pas l'extase. Ça ne l'a jamais été. Je crois que depuis mon enfance la face ravagée par l'alcool de Romeomontaigus m'a toujours effrayé. Et puis dans la liste chronologique de diffusion l'album est encadré par du très lourd : « Asterix en Corse » juste avant et « la Grande Traversée » et « Obelix et Compagnie » après. Par contraste « le Cadeau de César » fait pâle figure.

Mais bon, même le moins bon de Goscinny reste excellent dans l'absolu. On reste à des années-lumière au dessus des albums qui ont suivi la mort de l'auteur. Je ne boude pas mon plaisir et tant pis pour l'extase.
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Sorti une année après Astérix en Corse, qui taquinait le top-niveau en matière de réussite, ce 21ème album de la série se devait de revenir à une aventure purement villageoise pour nos héros armoricains. Il est certainement plus difficile de maintenir l'intérêt et l'originalité dans les aventures qui se jouent à domicile, que l'on se rassure, il s'agit une fois de plus d'un excellent cru, même s'il est un peu moins bon que le précédent (peut-être plus convenu, sans grandes surprises). L'album sort en prépublication dans le Journal le Monde pour la première fois, puis est édité en album en 1974.

Cette année-là, a lieu au mois de mai le duel opposant Valéry Giscard d'Estaing et François Mitterrand pour l'élection présidentielle, élection anticipée car faisant suite au décès du président Georges Pompidou le mois précédent. VGE l'emporte de justesse au second tour avec 50,81 % des voix, son adversaire attendra 1981 pour l'emporter au septennat suivant. le combat fut âpre et ce score reste à ce jour le plus serré de la 5ème République.

Goscinny et Uderzo, fins observateurs de leur époque, bondirent sur l'occasion pour nous concocter un épisode inédit sur la prise de pouvoir dans le village. La transposition d'un sujet de société moderne à l'époque gauloise est une technique générant à coup sûr son lot d'anachronismes et de clins d'oeil les plus désopilants.

L'idée n'est pas nouvelle, la conquête du village avait déjà été organisée dans le Combat des chefs (album n°7). Aplusbégalix, un chef gaulois collaborateur instrumentalisé par les Romains avait défié Abraracourcix en combat singulier pour devenir le chef du village. L'opération avait été fomentée et pilotée par les Romains. Rien de tel ici, car Jules César veut simplement donner une bonne leçon à un vétéran tire-au-flanc et aviné qui l'a insulté, Roméomontaigus. Pour le récompenser de ses années de bons et loyaux services, César lui offre le titre de propriété (bidon) du village gaulois ! Ce titre change rapidement de main quand Roméomontaigus, pas plus intéressé que ça, l'échange contre du vin et un repas. L'aubergiste Orthopédix, nouveau « propriétaire » du village décide aussitôt de déménager et de partir avec sa famille prendre possession de sa nouvelle acquisition.

Or, Abraracourcix est actuellement dans une mauvaise passe et constate qu'une opposition se crée dans le village et remet en cause son statut de chef. C'est une opportunité pour Orthopédix, qui n'a peut-être pas tout perdu, mais devra se mesurer avec Abraracourcix au cours d'une campagne électorale pour devenir le prochain chef.

Plusieurs points d'intérêt sont à relever : l'analyse toujours très fine des comportements humains, dont les excès sont exacerbés en période de crise ; la sympathie qui se noue entre les deux prétendants au poste de chef de village, Abraracourcix et Orthopédix, qui sont supposés être des adversaires, mais qui identifient très vite un point commun qui les rapproche : l'existence d'un beau-frère lutécien imbuvable (page 15) ; les relations à l'inverse glaciales entre Bonemine et la femme d'Orthopédix, Angine, faisant apparaître des stalactites de glace sous les phylactères de leur échange de politesse (page 18) ; la versatilité des habitants du village, qui n'hésitent pas à abandonner leur chef emblématique, dont : l'un des porteurs d'Abraracourcix, Assurancetourix, Ordralfabétix et même Obélix, qui tous pour des raisons futiles, viennent grossir les rangs de l'opposition (page 27).

Le capital sympathie que l'on pouvait avoir jusqu'à présent pour Agecanonix est sacrifié dans cet album sur l'autel de l'orthodoxie électorale. Ce personnage haut en couleur apparu six ans plus tôt dans Astérix aux jeux Olympiques dans le rôle d'un vieillard libidineux ayant par la suite épousé la plus belle femme du village, représente ici à lui seul l'extrême droite xénophobe et raciste. le parti de Jean-Marie le Pen obtient en 1974 le score dérisoire de 0,75 % des suffrages exprimés. de fait, Agecanonix, qui annonce son combat contre les étrangers, ne parvient jamais à trouver son public (page 29). Il finit par abandonner la lutte, se retrouvant seul et incompris (page 47).

Fidèles à leur habitude, les auteurs disséminent des caricatures de personnages célèbres dans l'album. Orthopédix a les traits de l'acteur André Alerme. Sa femme, Angine, prend logiquement les traits de Françoise Rosay, l'actrice partenaire d'André Alerme dans le film Pension Mimosas de Jacques Feyder, où le couple joue les rôles des tenanciers de la pension (la page Wikipédia de l'album a été complétée par mes soins pour enregistrer cette information). Leur fille Coriza, dite Zaza, serait plutôt inspirée de la fille d'Uderzo.

Pierre Tchernia, grand ami des auteurs, apparaît en légionnaire page 6 et page 8, nous le retrouverons à nouveau dans les prochains albums.

Une évocation des us et coutumes du service militaire obligatoire, suspendu depuis 1997, apparaît dans l'album. Il s'agit en l'occurrence d'une allusion au Percent ou Père 100 (page 6, transposé en Père MMMMMMD fêtant les 6.500 jours de service restant à faire). Ce jeu de mot va rejoindre les jeux de mots incompris des jeunes générations de lecteurs comme le nom du légionnaire Cédupeuojus dans Astérix légionnaire (album n°10), et dans Les Lauriers de César (album n°18), le graffiti sur un mur d'une cellule où sont enfermés Astérix et Obélix qui indique : « C'est du CXVII au jus », ce qui signifie qu'il reste encore 117 jours à faire (dans le contexte : 117 jours de prison ou de service militaire).

Obélix, avec un coeur d'artichaut gros comme ça et toujours aussi fleur bleue, est cette fois sur le point de tomber amoureux de Zaza, après s'être épris de Falbala (album n°10 : Astérix Légionnaire) ou de Mme Agecanonix (album n°19 : le Devin). Cependant, Obélix est ici victime d'une machination fomentée par Angine, la mère de Coriza, qui cherche à le rallier à la cause de son mari Orthopédix (page 23).

Dans une scène très rare où Astérix fait usage de son épée, plutôt que de ses poings, l'évocation d'une célèbre réplique de Cyrano de Bergerac intégrée à une scène rappelant le Zorro de Walt Disney prend toute sa saveur (page 31). Bien entendu, pour Coriza, ce sera un « Z comme Zaza » qu'Astérix trace sur le ventripotent Roméomontaigus. Bien entendu, l'admiration de Zaza pour Astérix n'aura pas l'heur de plaire à Obélix (page 35).

Après de nombreuses disputes et péripéties qu'il est inutile d'énumérer ici, tous se réconcilient autour du traditionnel banquet. Abraracourcix et Orthopédix se congratulent et Orthopédix décide finalement de rentrer à Lutèce, Bonemine et Angine se retrouvent comme deux vieilles copines, Astérix et Obélix « se réconcilient » à coups de coude énergiques qui font voler Astérix dans les airs, Coriza semble nouer une idylle avec Assurancetourix qui n'est pour une fois ni ligoté ni bâillonné. Mais il y a mieux : toutes les femmes importantes du village, dont on distingue les silhouettes à contrejour devant les flammes du banquet, participent pour la première fois à ce rendez-vous final. Il aura donc fallu attendre 21 albums pour mettre fin à cette discrimination récurrente, pourtant jamais signalée !

Sur la même image, la pancarte électorale d'Agecanonix se retrouve cassée et abandonnée sous un arbre, elle semble moquée par les petits animaux de la forêt (toujours les mêmes, des lapins, des hiboux…) ; on comprendra plus tard le symbolisme qui se cache derrière ces petits animaux désormais récurrents.
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Cinq ans depuis ma dernière relecture... Et cette fois encore, je me rends compte que j'avais oublié plein de choses dans l'intrigue du Cadeau de César. du coup, j'ai eu à nouveau, en quelque sorte, le plaisir de la découverte et j'ai passé un très bon moment avec cette B.D. pleine d'humour.

J'ai bien aimé cette aventure d'Astérix et Obélix qui m'a beaucoup amusé, mais qui reprend beaucoup des ingrédients classiques des aventures au village : les bagarres à cause du poisson pas frais, les soucis d'autorité d'Abrracourcix à cause de ses porteurs et de la despotique Bonnemine, Astérix et Obélix qui se brouillent, mais jamais trop méchamment, etc.
C'est sans doute pour cela que je finis toujours par oublier l'intrigue, peu à peu...
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Citations et extraits (39) Voir plus Ajouter une citation
Orthopédix : On sera très bien ici… Et puis c'est très vivifiant.
Angine : Vivifiant ? Avec cette odeur de poisson pourri ?
Orthopédix : Nous allons aérer… C'est le parfum de la mer, après tout !
Angine : Des poissons qui sentent comme ça n'ont pas vu la mer depuis longtemps !

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Quelques jours plus tard Dans une auberge Darausio au bord de la voie romaineVII.

Du vin! Je veux encore du vin par mercure!
Tu as assez bu,c'est l'heure de fermer.Il faut payer.
Payer?
Payer!
HAHAHAHA!
J,n'ai pas de quoi te payer aubergiste!
Comment!?
OUi,mais attention!
J'ai pas de sesterces,mais je suis riche et si tu m'donne encore du vin,J'te paierai avec un village!
Un village?
OUI m'sieu!Un village!Un chouette beau village au bord d'la mer,en Armorique!
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ROMEOMONTAIGUS : Tu as un gros nez... un très gros nez !
ASTERIX : Ce n'est pas très drôle romain ! Tu aurais pu dire : c'est un menhir ! Que dis-je, un menhir ? C'est un dolmain !
CORIZA : Ca c'est envoyé !
ASTERIX : Eh bien, à la fin de l'envoi, je touche !
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En revenant de permission
J'ai rencontré un enterrement.
Par Jupiter, qu'j'étais content
C'était celui de mon centurion !

À l'enterrement d'mon décurion...
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Bonemine : DANS QUINZE JOURS, C'EST LA FÊTE DU DIEU LUG ! SI CE JOUR LA, VOTRE IMBÉCILE A PLUS DE PARTISANS QUE LE MIEN, ALORS SEULEMENT IL DEVIENDRA LE CHEF DU VILLAGE !
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Vidéo de René Goscinny
Extrait du livre audio « Astérix aux Jeux Olympiques » d'Albert Uderzo et René Goscinny lu par Dominique Pinon, Jean-Claude Donda, Guillaume Briat, Bernard Alane, Emmanuel Curtil, Julien Chatelet, Stéphane Ronchewski et Caroline Klaus. Parution numérique le 17 janvier 2024.
https://www.audiolib.fr/livre/asterix-aux-jeux-olympiques-9791035415778/
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César offre à un légionnaire romain, alcoolique, le village gaulois car...

Il a bu dans le verre de César
Il a terminé le vin de César
Il a insulté César
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