Astérix, tome 13 : Astérix et le chaudron

Vraiment pas un de mes préférés. C'est plus niveau de l'histoire que ça coince, je n'accroche pas trop. Astrérix qui est malin comme un singe tombe dans un piège gros comme une maison. Pas très crédible comme scénario. Hormis cela on rit pas mal dans cette histoire, avec un cran en dessous de tous les autres. Mais cela reste une aventure d'Astérix le gaulois, donc on ferme les yeux, banquet oblige...

Les aventures d'Astérix à la recherche d'un chaudron plein de sesterces qui sent la soupe à l'oignon.. Excellente base pour une intrigue enlevée et pour passer un bon moment de lecture !

On pourrait presque soustitrer cet album "Asterix et la vraie vie".
Alors forcément c'est un peu moins délirant que les autres albums. Mais il reste tout se même très divertissant.

Cet épisode des aventures d'Astérix nous présente une histoire originale. Un chef gaulois voisin vient proposer à Abraracourcix de conserver ses richesses contenues dans un chaudron jusqu'au passage du percepteur romain. le chef accepte mais dans la nuit le trésor est pillé et Astérix se doit de réunir à nouveau les richesses contenues afin de sauvegarder l'honneur du village.
Dans cette bande dessinée, il est question d'honneur et de trahison. On retrouve donc nos deux héros sur les routes de Gaule, lié comme deux frères par un code de l'honneur puissant. On y découvre un Astérix qui pleure d'avoir perdu son honneur, qui s'énerve facilement. Fier, intelligent et fûté, Astérix est dans cet épisode un être fragile qui se fait rouler dans la farine trop simplement, mettant en avant son honnêteté infaillible.
Il est accompagné de son ami inséparable, Obélix, qui préfère quitter le village et accompagner son ami banni. Certains passages sont réellement intéressants comme lorsqu'ils croisent le percepteur et l'album récèle beaucoup d'humour.
Cet album, plus que les autres, présente nos héros plus fragiles, avec des aspects que nous ne leur connaissions pas.
Ce n'est pas le meilleur, mais il reste intéressant à lire pour comprendre l'attachement qu'ont les personnages l'un envers l'autre. A lire bien sûr, comme d'habitude...
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Sans aucun doute l'un de mes albums préférés.
Comment Astérix et Obélix, guidés par leur sens des responsabilités, se lancent dans les affaires pour rembourser l'argent volé, confié à leur garde par le chef Moralélastix.
Tout d'abord, on constate combien Astérix et Obélix sont naïfs : comment peuvent-ils faire confiance à un individu au nom si éminemment douteux ?
Ensuite, on constate encore combien ils sont naïfs : ayant à se débrouiller pour gagner de l'argent, ils se lancent dans les affaires. Vendre 14 sangliers pour quelques sesterces, c'est pitoyable.
Et ce n'est que le début de leurs péripéties avant de découvrir le pot aux roses (que le lecteur, bien plus futé, avait compris dès le début...)
Cette satire du monde des affaires est sans doute l'une des plus savoureuses écrites par Goscinny.
A part les histoires de marchandages du grand vizir Iznogoud, bien sûr...

Un des moins bon du mythique tandem

L'expression "faire bouillir la marmitte" parle pour elle. Dans ce 13ème album des aventures d'Astérix le gaulois, Uderzo et Goscinny la prennent au 1er degré.

Ayant failli à la garde d'un chaudron rempli de sesterces qu'une tribu voisine entend substituer au regard du percepteur, le jeune guerrier est banni. Il devra parcourir toute la Gaule pour remplir à nouveau le chaudron qui s'est mystérieusement vidé...

Peut-on faire fortune avec ses bons sentiments ou son simple talent quand ce n'est pas celui des affaires ? le scénario pourrait être l'argument d'un film de Jean Yanne ou de Jean-Pierre Mocky à l'époque de l'album. Après Mai 1968, la France des petits métiers, artisans et commerçants en particulier, se sent sinon méprisée en tout cas oubliée.

Obélix qui a tenu à tout prix à suivre son ami banni, ne va pas arranger les choses, en apparence. Ni lui, ni Astérix ne semblent doués pour le commerce, tel que l'entendent certains. Les deux amis accompagnés d'Idéfix enchaînent métiers, tentent tuyaux et combines. Peine perdue. Leur honnêteté les met à l'abri de tout risque de faire fortune par rapport aux hommes d'affaires dont c'est le métier.

Pour le lecteur, la morale sera sauve qui défend avec les petits métiers un sport national : l'art de ruser avec le fisc. Quand le percepteur de César incarne celui-ci, qui trouverait à y redire ? Votre voisin peut-être ?... Les niveaux de lecture ne manquent pas pour ce chaudron qui sonne tout sauf creux.

Une satire sociale mais aussi personnelle et parfois un peu amère où Uderzo et Goscinny - surtout lui - ne manquent pas de se projeter dans leurs deux héros et la quête de devoir reconstruire la poule aux oeufs d'or après de sombres histoires d'affaires.

Je ne suis pas une grande fan de BD mais un Astérix de temps en temps ça me va bien !! Avec Astérix et le chaudron de Goscinny et Uderzo, j'ai passé un bon moment.
Toujours de l'humour, des dessins que j'aime beaucoup mais une histoire pas des plus simple à comprendre !
Cet album est différents des autres histoires par son manque de bagarres par exemple.

Ce tome est peut-être un de ceux que j'ai le moins apprécié. Quand on voit les aventures qu'ils ont déjà pu avoir, j'ai trouvé dommage qu'ils abandonnent aussi aussi vite les recherches pour se concentrer plutôt sur le remplacement du contenu du chaudron. Je l'ai trouvé moins chargé en référence et jeux de mots comme on le voir sur certains tomes. Au suivant donc !

Petite aventure sympathique mais pas inoubliable non plus.
Asterix se fait avoir et doit racheter sa faute en gagnant de l'argent pour rembourser un chef gaulois. Obelix ne peut évidemment pas le laisser se débrouiller seul et nos deux fidèles compagnons se lancent sur les routes de la gaule en s'essayant à différents métiers.

Pas de vrai deuxième niveau de lecture et les quelques clins d'oeil ne suffisent pas à rebooster la lecture.
Trop linéaire et sans surprise, on préférera d'autres albums plus inspirés.