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Astérix tome 36 sur 40
EAN : 9782864972716
48 pages
Editions Albert René (22/10/2015)
3.65/5   880 notes
Résumé :
Cette édition en grand format (26 x 36,5 cm), comprendra 128 pages, avec dos carré toilé et tranchefile. Deux types de papier différents seront utilisés pour réserver le plus bel écrin à une grande variété de créations graphiques.

Au programme : l’album en couleur, l’intégrale des crayonnés originaux, et un dossier de 32 pages permettant de découvrir les coulisses de la création du nouvel album avec de nombreux dessins et documents de travail inédits... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (193) Voir plus Ajouter une critique
3,65

sur 880 notes
J'étais restée très dubitative et moyennement convaincue par le précédent album des nouveaux auteurs d'Astérix, Jean-Yves Ferri et Didier Conrad. Allez savoir pourquoi, dès lors que j'entends des " super, génial, sensationnel, impayable, à mourir de rire " et autres superlatifs totalement vides de sens de nos jours, par un réflexe quasi pavlovien, je suis sur mes gardes et je ferme mes écoutilles.

D'ailleurs j'avais pris plusieurs années avant de lire pour de bon Astérix Chez Les Pictes. J'ai déjà exprimé mon manque d'enthousiasme à propos de cet album, n'y revenons plus. En revanche, vous allez m'entendre professer ici quelque chose de rare et que je n'ai jamais fait jusqu'à ce jour.

Pour la première fois, je considère que cet album égale voire est un peu meilleur que des Goscinny de second choix (du genre : Le Cadeau De César, Les Lauriers de César ou Astérix Le Gaulois). Je le redis car c'est un scoop : cet album est selon moi meilleur que les Goscinny moyens ou les plus faibles de la série. (Quand je parle des "plus faibles de la série ", je parle évidemment des vrais albums de l'ère Goscinny et Uderzo, je ne compte même pas ceux pondus par Albert Uderzo tout seul et qui ne valent pas tripette.) Bien plus que les Pictes, voici enfin l'album qu'on attendait, susceptible de plaire autant aux deux publics cibles (mais pour des raisons différentes, bien entendu : les enfants ne vont sans doute rien piper aux calembours par contre ils vont sûrement bien rigoler en entendant Panoramix se faire traiter de galopin turbulent par le vieux druide).

L'idée de départ est délicieuse et s'appuie sur l'activité qu'on connaît d'écrivain et de témoin historique à laquelle se livra César en écrivant son fameux Bellum Gallicum (ou De Bello Gallico). René Goscinny adorait partir d'un fait historique avéré et le parodier à sa façon, notamment en utilisant les anachronismes. Ici, on renoue donc avec cette pratique qui nous a procuré tant de satisfactions tout au long de la série, notamment dans Astérix Légionnaire.

On sait toutes les falsifications historiques auxquelles donna cours César dans le but de briller à Rome et de justifier son activité militaire hors mandat républicain. On sait aussi que Les Commentaires Sur La Guerre Des Gaules ne sont pas l'œuvre que du seul César et qu'il y fut manifestement bien aidé par Aulus Hirtius, l'un des premiers " nègres " de l'histoire littéraire.

Et là, le départ de l'aventure me semble réellement excellent. Jean-Yves Ferri détourne la situation historique et la fait coller admirablement aux travers de notre époque et à l'ère du numérique, caractérisée par son flux d'informations continu et pléthorique.

César écrit donc loyalement ce qui s'est passé lors de la conquête de la Gaule et se sent moralement obligé de rédiger un chapitre sur les échecs qu'il a connu avec les irréductibles gaulois. Néanmoins, son conseiller en communication, Promoplus (visiblement inspiré par Jacques Séguéla), lui suggère d'évincer ce chapitre qui pourrait nuire à sa réputation à Rome ainsi qu'à la fabrique de sa légende.

Tous les rouleaux du chapitre incriminé sont donc détruits…
— Tous ?
— Oui tous.
— Vraiment tous ?
— … euh, tous sauf un…
Et c'est une information qui n'est pas tombée dans l'oreille d'un sourd mais dans celle d'un Gaulois expatrié à Rome : Doublepolémix (apparemment inspiré par Julian Assange). (Je vous avoue que ne connaissant pas particulièrement le faciès ni de Séguéla, ni d'Assange, la ressemblance ne m'a pas frappée, mais cela doit venir de moi et, de toute façon, cela me place exactement dans les mêmes conditions que les enfants qui, eux non plus, ne connaissent probablement pas ces deux lascars.)

Je ne vous en dis pas davantage de peur de gâcher le scoop mais enfin, trente-huit ans presque jour pour jour après la disparition de Goscinny, un album lui arrive enfin à la cheville, et même un peu plus haut. Ce n'est pas trop tôt.

Ajoutons à cela que contrairement à tout ce qui c'était vu depuis la mort de René Goscinny, pour la première fois, on peut déceler un vrai message intéressant à l'adresse de la jeunesse. D'une part, la falsification de l'histoire, toujours écrite par les vainqueurs et ce quel que soit le conflit et quelle que soit l'époque. C'est toujours bon de rappeler aux enfants que tout ce qui est inscrit dans leurs livres d'histoire n'est peut-être qu'un morceau (voire un petit morceau) de la vérité historique.

Ensuite, l'autre message tout à fait d'actualité concerne la précieuse et salutaire mise en garde à propos de tout ce qui est écrit ; quoi que ce soit et d'où que cela vienne (et plus encore quand on nous assure que c'est la vérité). On n'a jamais reçu autant d'informations en même temps ; on croule littéralement sous l'information, donc notre vigilance diminue, si bien que pour attirer l'attention, l'on use et l'on abuse de procédés de communication qui n'ont rien d'innocents. La " com " comme on dit, et toutes les ombres qui l'accompagnent… D'ailleurs, " com " c'est aussi le début d'un autre mot très en vogue au XXIème siècle après J-C (Jules César) : le commerce… souvenez-vous-en, les enfants, sachez lire entre les lignes et même si cet album est la quintessence du commercial, ce message ne vous fera pas de mal…

Outre le fait qu'après un excellent début, l'aventure s'essouffle un tout petit peu par la suite, j'aurais seulement deux petits griefs à remonter aux auteurs. Tout d'abord, cette sale manie, à plusieurs endroits qu'a Jean-Yves Ferri d'expliquer ses calembours (de bonne qualité, par ailleurs, ce qui n'était pas toujours le cas dans Les Pictes) et ensuite, un bémol concernant Didier Conrad qui possède vraiment bien tous les personnages…
— Tous ?
— Oui, tous.
— Vraiment tous ?
— … euh, tous sauf un en fait.
— Lequel ?
— … j'ose pas trop vous le dire, chef.
— LEQUEL PAR JUPITER !!!
— … bah, je sais pas trop comment vous le dire, mais c'est un personnage qu'on voit de temps en temps, c'est…
— QUI ?? ACCOUCHE OU TU FINIRAS DANS L'ARÈNE !!!
— … Astérix, chef. Par moment, je ne sais pas…, il ne lui fait pas trop une bonne attitude… Pour tous les autres il se débrouille très bien… mais… Astérix…, je ne sais pas, il ne le sent pas toujours très bien…
— Bon j'en réfèrerai à César par pigeon spécial.
— … euh, dites lui bien, chef, que ce n'est que mon avis, hein, c'est-à-dire pas grand-chose, hein.
— On verra, on verra.
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César vise le Goncourt avec "Commentaires sur la guerre des gaules".
Promoplus, en conseiller fourbe mais néanmoins avisé, voit d'un très mauvais œil le chapitre XXIV faisant état de revers subis face aux irréductibles gaulois d'Armorique. Ni une ni deux, il sera supprimé d'autorité. Travestir un chouïa la vérité au profit d'une côte de popularité ascendante n'a jamais effrayé tout dictateur ambitieux qui se respecte.
Doublepolémix, encarté à colporteur sans frontières, - pourvu qu'il ne tombe jamais aussi bas que le maire de Béziers - parvient à s'approprier la copie de ce chapitre infamant, trouver refuge au sein de l'accueillant petit village gaulois, semant ainsi la zizanie dans les plus hautes sphères du pouvoir romain.

Ils sont de retour par Toutatis !
Assange sous les traits de Doublepolémix, ça colle.
Séguéla en Promoplus, j'avoue avoir eu plus de mal à l'identifier sans son teint habituellement hâlé - cramé - et sa rolex.
Nonobstant ces quelques ajustements rapides, j'ai dévoré ce nouvel opus à la vitesse d'un pigeon au galop.
Le traitement de l'information en des temps que les moins de 20 ans - hummm, tu dévisses légèrement mon Charles - ne peuvent pas connaître, voilà de quoi il retourne ici, à quelques libertés près.

Le ton est alerte, les gags nombreux et majoritairement risibles - mention spéciale à l'ours - et les traits en parfaite adéquation avec le coup de crayon d'Uderzo.
N'était un léger coup de mou à mi-mandat, ce Papyrus de César renoue pleinement avec l'esprit de Goscinny, prouvant ainsi qu'un héritage, aussi pesant que l'est celui d'Astérix, parvient finalement à asseoir des héritiers dignes de ce nom, avec pas mal de temps et autant d'humilité...

Pour ma part, ce sera 4 sangliers et 2 membres antérieurs d'ours sur l'échelle gourmande d'Obélix.
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Nous sommes en 2015 après Jésus-Christ, tous les rayons de la FNAC sont occupés par le 36e album d'Astérix… Tous ? Non ! On trouve encore une petite place pour caser d'autres « créations » récentes comme Bob Morane, Corto Maltese ou Ric Hochet, ressuscités sous la plume de nouveaux et talentueux scénaristes et dessinateurs. Mais c'est bien la sortie d'Astérix qui fait aujourd'hui l'actualité en occultant l'invasion de ces anciens héros à la démarche encore raide et hésitante, jaillissant du cimetière des BD oubliées aussi nombreux que les morts-vivants dans un clip de Michael Jackson.

On les attendait au tournant, Ferri et Conrad, après l'accueil plutôt mitigé du 35e album, Astérix chez les Pictes, encore bien maladroit. le succès d'estime de cette reprise allait-il faire place à une ovation dès la deuxième tentative ? La série pouvait-elle espérer reprendre son vol à des hauteurs frôlant l'Uderzone et la Goscinny-altitude ? Eh bien on y est presque, par Toutatis ! Et ce n'était pourtant pas gagné d'avance !

Le trait de Didier Conrad est en progrès et converge indéniablement vers celui d'Uderzo. Je soulignais la différence du traitement des vagues dans la critique du précédent album. La difficulté est ici évacuée, la mer n'est tout simplement pas représentée (même lors de l'épisode des pirates, page 16). Pour le reste, rien à redire, les vignettes grand format de la forêt des Carnutes (pages 31), du combat contre les romains (page 45) ou du banquet (page 48) sont des modèles du genre. le traitement du dessin de couverture, symbolique et au coloriage inachevé, reprend une idée déjà mise en oeuvre dans Astérix en Corse et le Domaine des Dieux. Nous sommes en terrain connu.

Le scénario de Jean-Yves Ferri n'est pas en reste. On retrouve enfin un scénario solide et consistant, prenant sa cohérence dans un thème de la société actuelle – ici la communication, la manipulation et les nouvelles technologies de l'information – renouant avec le succès et l'originalité des meilleurs albums de la série. Ce fil rouge est parfois cousu de fil blanc. J'ai trouvé par exemple un peu artificielle l'idée d'une transmission orale des récits gaulois qui devait passer obligatoirement par Archéoptérix pour parvenir jusqu'à notre époque. Cet épisode qui prend une grande place dans le récit est sans réelle nécessité pour le dénouement local de l'aventure, tout ça pour ça, et se conclut par une pirouette scénaristique en forme de post-scriptum. J'ai regretté l'inaction du colporteur Doublepolémix dans la résolution du conflit avec les romains, même si le fait de trouver refuge dans le village des irréductibles Gaulois rappelle à juste titre l'asile politique d'un Julian Assange réfugié dans l'ambassade d'Équateur à Londres. En revanche, l'exploitation d'un épisode inédit et censuré de la Guerre des Gaules, rédigé par César lui-même et mettant en péril la destinée de l'empire, est un véritable coup de génie. On se demande même comment Goscinny a pu passer à côté d'une telle idée, aussi lumineuse qu'évidente.

Cet épisode d'Astérix se lit presque comme une histoire d'espionnage, où il est question de secrets, de manipulation de l'information, de la face cachée de la Guerre des Gaules menée par les hommes de l'ombre. A partir de là, les références à l'actualité, comme dans tout bon album d'Astérix, sont multiples, on y trouve pêle-mêle des allusions à Julian Assange (Doublepolémix aurait d'ailleurs pu s'appeler Wikilix) et à Alfred Hitchcock, le maître du suspense spécialiste de la manipulation de l'information en temps de guerre, réalisateur de films comme L'Homme qui en savait trop (1934) et, faut-il le rappeler, Les Oiseaux (1963).

Avez-vous remarqué tous ces oiseaux ? le pigeon voyageur (pages 15 et 16) et l'aigle (page 33) utilisés pour transmettre des messages, le faucon (page 16) pour intercepter les messages (i.e. la NSA sous l'influence des « faucons » américains ?), l'archéoptéryx, l'oiseau-dinosaure évoqué par le druide Archéoptérix, les oiseaux bleus de Twitter (pages 26 et 40)… n'en jetez plus ! Les références ornithologiques sont omniprésentes dans l'album. Pas étonnant donc, qu'Alfred Hitchcock apparaisse en guest star (pages 24, 29 et 33) en tant que dresseur d'aigles, renouant ainsi avec la tradition des caméos de ses films !

Cet album fait intervenir d'autres personnages connus et caricaturés (mais plus difficiles à détecter) comme Franz-Olivier Giesbert et Jean Réno (respectivement en journaliste littéraire du Mundus et en légionnaire romain sur la piste du papyrus volé). J'ai cru reconnaître également parmi les invités de Promoplus, alias Jacques Séguéla, Philippe Tesson, chroniqueur littéraire et journaliste. Bref, le trombinoscope s'étoffe dans la plus pure tradition de la série.

L'autre attrait traditionnel des albums d'Astérix repose sur les jeux de mots, ici s'appuyant pratiquement tous sur les nouvelles technologies de l'information, thème central de l'album. Pour n'en citer qu'un seul (particulièrement réussi), rappelons l'extrait de dialogue suivant : « – Je viens pour la relève du pigeonnier… – installe-toi Antivirus. »

Vous l'avez compris, je suis fan de cet album qui a franchi une étape supplémentaire dans l'entreprise de résurrection du moribond Astérix. La potion s'avère plutôt magique qu'amère, merci à Ferri et Conrad de maintenir dans les prochains numéros le même niveau de qualité, et pourquoi pas de parvenir à le dépasser, ils ont montré cette fois qu'ils en étaient capables.
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Dans le palais De César... Celui-ci s'entretient avec Bonus Promoplus, son conseiller. A propos du manuscrit que César a écrit, il suggère de supprimer le chapitre XXIV intitulé "Revers subis face aux irréductibles gaulois d'Armorique", certain que cela ferait accroître sa popularité. Après tout, cela fait des années que ces gaulois ne font plus parler d'eux. Ça se trouve, ils ne savent même pas lire! Aussitôt, les scribes numides muets de Bonus Promoplus sont tenus de supprimer ce passage. Tous vont s'y soumettre, sauf un qui réussit à s'enfuir avec une copie de ce chapitre qui, en peu de temps, va se retrouver entre les mains de Doublepolémix, un colporteur gaulois sans frontière. Celui-ci, fuyant les Romains partis à se recherche pour le faire taire, tombent par hasard sur Astérix et Obélix, partis à la cueillette de champignons. Aussitôt, il les informe qu'il est en possession du chapitre manquant du livre De César et demande à s'entretenir avec Panoramix...

Quid de ce deuxième opus avec les nouveaux papas d'Astérix et Obélix ? L'on ne pourra pas reprocher à son auteur, Jean-Yves Ferri, d'être dans l'air du temps: information, communication, monde littéraire... Tout y passe, dans ce qu'il a de plus mesquin et l'auteur se moque gentiment de notre monde. Un scénario dynamique et plutôt bien vu, des jeux de mots à tout va et des personnages enlevés et très en forme(s), notamment Bonnemine. Sur la forme, le dessin de Didier Conrad ressemble à s'y méprendre à celui d'Uderzo. L'on savoure avec plaisir cette nouvelle recette de potion magique!
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Un album qualitatif côté dessin et côté texte mais un peu mou du genou côté action.

Le début était prometteur, avec pas mal d'allusions très drôles au monde de l'édition, des trouvailles sur les moyens de communication, des jeux de mots sympas - c'est juste un peu dommage que nombre d'entre eux soient expliqués par un astérisque, un comble ! - et un Jules César impérial mais... j'ai trouvé que l'histoire tournait assez vite en eau de boudin, le rythme faiblissant aux deux tiers de l'album, comme s'il lui manquait... un chapitre - là encore un comble quand on connaît le pitch !

Au final, plutôt un bon moment en compagnie de nos irréductibles Gaulois. Obélix supplante allègrement Astérix qui manque singulièrement de corps mais bon, face à un tel gabarit, qui n'en manquerait pas ?

PS : Je reste partagée quant au post-scriptum inédit de cet opus. Hommage ? Ultime ironie aux frais du monde de l'édition ? Ou simple réclame misant sur la nostalgie pour renvoyer fissa le lecteur en librairie ? Je ne saurais le dire, je ne suis pas dans le secret des dieux.


Challenge PETITS PLAISIRS 2014 - 2015
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critiques presse (7)
BoDoi
13 novembre 2015
Servi par un trait vif, plus affirmé que dans le précédent album, l’ensemble est rythmé, mais parfois trop pédagogique.
Lire la critique sur le site : BoDoi
BDGest
03 novembre 2015
Alors effectivement, tout n’est pas parfait dans ce Papyrus de César, mais l’important n’est-il pas - comme avec les vieux amis - de pourvoir les retrouver de temps en temps afin de passer un bon moment ? Et ce, même s’ils ne sont plus comme nous souhaiterions qu’ils demeurent !
Lire la critique sur le site : BDGest
Auracan
02 novembre 2015
Un album qui fera date et qui tiendra fièrement sa place dans la collection.
Lire la critique sur le site : Auracan
Bedeo
30 octobre 2015
Ferri et Conrad semblent avoir trouvé un rythme de croisière, et livrent une production plus qu’honorable.
Lire la critique sur le site : Bedeo
BDZoom
27 octobre 2015
Un récit fluide, truffé de gags qui provoquent l’hilarité, de trouvailles inédites, mais aussi de running-gags toujours bienvenus auprès des habitués.
Lire la critique sur le site : BDZoom
Sceneario
27 octobre 2015
Un très bel hommage à deux jeunes scribes des années 60 qui ont su créer une œuvre phare et indémodable de la bande dessinée. Ce Papyrus est à lire sans hésiter un instant !
Lire la critique sur le site : Sceneario
BulledEncre
26 octobre 2015
Un thème d’actualité à la sauce gauloise : une réussite !
Lire la critique sur le site : BulledEncre
Citations et extraits (68) Voir plus Ajouter une citation
- Allons, parle, Promoplus ! Quel défaut trouves-tu à mon manuscrit ?
- C'est ce passage, ô César... "Chapitre XXIV : Revers subis face aux irréductibles gaulois d'Armorique".
- Eh oui, je sais, par Jupiter. Mais, hélas, c'est la triste vérité historique !
- Supprime-le, ô César ! Ce passage est une tache sur ton curriculum vitae.
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- Toi, écrire? Quand tu as déjà du mal à déchiffrer le petit papyrus des commissions?
- MOI, j'...?
--Allons, allons, du calme ! Je vous rappelle que l'écriture concerne surtout les Grecs et les Romains. Nous autres, Gaulois sommes avant tout de tradition orale et...
- ça, c'est vrai qu'à part discuter...
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Panoramix: Chez les gaulois, le savoir s'est toujours transmis de bouche de druide à oreille de druide.
Obélix: Ah? Comme la grippe?
Astérix Je sens que le voyage va être long...
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- Même mon astrologue, le Grec Ipsos est formel ! grâce à ce livre, le nom de César passera à la postérité !
- Aussi, vois-tu, j'étais en train de me demander si je n'écrirais pas une "guerre des gaules II" ?
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- Panoramix !
- Gasdechix ! Vieux pirate !
- Je vous présente Gasdechix, mon vieux camarade de l'école des druides ! Nous avons obtenu notre premier brevet serpette ensemble.
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Videos de Jean-Yves Ferri (29) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Jean-Yves Ferri
Plongez dans les coulisses de la création du 39e album "Astérix et le Griffon" avec Jean-Yves Ferri, le scénariste de la célèbre BD pour un live exclusif sur Tiktok animé par César Roussel de whatsup.world.
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