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Critique de HORUSFONCK


Cet album d' Asterix m'a intrigué, bien avant que je ne le lise.
Lors de sa parution, en 1967, plusieurs exemplaires étaient présents à l'étal de
la librairie dont je léchait régulièrement la vitrine! Pour une bande dessinée, c'était assez nouveau!
Servie par un scénariste et un dessinateur hors de pair, la série née avec
l' hebdomadaire Pilote prenait un irrésistible essor. Avec la parution d'un album par an, Asterix occultait un certain reporter à la houppe dont les aventures s' étaient fait cruellement attendre...
L' épisode, en lui-même, est un modèle d'humour déjà bien rodé par les auteurs: l'utilisation de ces terribles normands et d'un anti-héros très branché sur l'actualité de ces années 60 (musique jeune et voitures modernes) revisitées dans le prisme antique.
Le génie de Goscinny consistait à dérouler et découper le récit dans les sacro-saintes 44 pages (le retour des héros arrivait, aussi, beaucoup plus vite dans un nouvel épisode!) avec un thème peu ou pas visité en bande dessinée d'humour (la peur, dans Asterix et les normands).
L' utilisation des noms-gags pour les normands (comme pour les goths dans un album précédent) concourt aussi à la qualité de l' épisode et au succès phénoménal de la série.
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