>
Critique de umezzu
Sale affaire la disparition de Marcel Gotlieb… Il laisse orphelins le commissaire Bougret et son fidèle adjoint l'inspecteur Charolle. L'un, malgré la pauvreté des indices retrouvés, en tire des raisonnements logiques majeurs, comme : « l'assassin est sourd ». L'autre, au visage ressemblant vaguement à un dessinateur humoriste de talent, voue une admiration sans borne à celui que le 36 quai des orfèvres appelle familièrement « le patron ». Deux habituels comparses, Aristidès Othon Frédéric Wilfrid et Blondeau George Jacques Babilas, jouent immanquablement le rôle du suspect innocent et du coupable.
Cette série d'enquêtes policières farfelues au déroulé des plus prévisibles constitue le fil rouge du tome 3 de la Rubrique-à-Brac. S'y rajoutent quelques mémorables hommages du 9éme art au 7éme art, avec des pages animées par un Jean-Pierre Melville en vedette américaine, une version très RAB de l'enfant sauvage de Truffaut, ou un cours de cadrage à la Sergio Leone.
Avec ce tome 3, le délire RAB continuait de plus belle avec ces nouveaux personnages et cette exploration du cinéma. Toute une époque… Sniff...
Cette série d'enquêtes policières farfelues au déroulé des plus prévisibles constitue le fil rouge du tome 3 de la Rubrique-à-Brac. S'y rajoutent quelques mémorables hommages du 9éme art au 7éme art, avec des pages animées par un Jean-Pierre Melville en vedette américaine, une version très RAB de l'enfant sauvage de Truffaut, ou un cours de cadrage à la Sergio Leone.
Avec ce tome 3, le délire RAB continuait de plus belle avec ces nouveaux personnages et cette exploration du cinéma. Toute une époque… Sniff...
