La bête à sa mère

2 fois que je tente de lire ce livre acheté au SDL de Paris sur les conseils d une éditrice belge. Elle m avait dit qu on adorait détester le personnage principal et qu on finissait par le plaindre.
2 fois que c est un échec.
La première fois c était le style qui me gênait.
La seconde je me suis faite à cette verve caustique mais alors dès le début notre "placé" en famille d accueil - retiré à sa mère suicidaire- ne me plait pas. Il est fourbe, feignant, voleur, mauvais avec les humains et il torture les animaux.
Dès l apparition des tortures animales, ma lecture est devenue pesante même si les descriptions sont minimalistes.
Je me suis accrochée malgré ma répugnance afin de découvrir les retrouvailles maternelles et voir si je pouvais plaindre moi aussi ce personnage.
Mais je n'en peux plus. A plus de la moitié du livre donc une partie lue en lecture rapide (diagonale quand il ne se passe rien) , j ai préféré abandonner !
Je déteste cette lecture ... pire elle me donne la nausée et intellectuellement je suis insatisfaite.
J ai préféré laisser la chance à ce livre de trouver un lecteur sur la Ligne 10 du métro... une personne qui aura cette fibre qui me manque ... ou au moins un quelconque intérêt pour cette histoire et ce personnage.

NB . Abandonner un livre en cours n est pas dans mes habitudes mais là je souffrais de cette lecture. Tant pis, on ne se sera pas rencontré.

#bookstagram #babelio #colibrii #livresaddict #lectureaddict #abandon

La bête à sa mère est un des plus mauvais romans que j'ai lu de ma vie. Ma principale déception vient du personnage principal qui est imbuvable. Je ne critique pas le fait que le personnage soit un parfait connard, mais le fait que le récit se concentre que sur le personnage principal, au lieu de développé d'autre personnages qui permettent d'equilibrer l'attitude du personnage principal. À la place, on se retrouve à suivre l'histoire avec un personnage qui donne plus envie de le frapper qu'autre chose. Je sais que le récit montrent les problèmes de la société, notamment ce qui touche les services sociaux, et qui, à cause d'un manque d'encadrement, sont responsables de la déchéance du personnage. Malgré tout ça, rien ne justifie le fait que le personnage soit misogyne et raciste. le côté hardcore et gore du romans est très surestimé. Ce n'est pas en me détaillant les différents manières que le personnage se masturbe ou la façon dont il tue des animaux pour que je trouve ça lourd à lire. Si vous recherchez du vrai hardcore, je vous conseille le manga Berserk de Kentaro Miura, de quoi vous traumatiser à vie

J'ai détesté cette oeuvre, déprimante au possible.

J'ai abandonné.. Je n'arrivais pas à entrer dans l'histoire. Impossible d'accrocher au personnage principal. L'histoire en elle-même ne m'a pas donné envie de continuer afin d'en apprendre plus. C'est rare que ça m'arrive, en général je persévère, mais là non.