Il n'y a pas d'homme idéal, juste des hommes idéalisés.
«C'est toujours triste de voir un rêve mourir, même quand c'est pas le nôtre.»
Tout est une question de perspective, il existe toujours plusieurs façons de ne pas voir les choses.
En fait, on ne sait jamais rien. À part nos secret.
On associe trop souvent la folie aux génies, c'est surtout l'ennui qui les habite.
On n’écrit jamais que sur soi-même, paraît-il. Je me demande ce qu’Asimov ou Tolkien en penseraient. Que du mal, j’espère. L’époque promeut tellement le narcissisme que nos écrivains égocentrés s’aventurent à peine hors du récit pour se réfugier dans l’autofiction.
(Stanké, p.71)
… la Lune tourne autour de la Terre comme la Terre tourne autour du Soleil. Le Soleil tourne dans une galaxie en spirale où chacun des astres tourne aussi sur lui-même. Et nous, étourdis de prétention, on voudrait filer tout droit. Moi, j’assume, je tourne en rond.
(Stanké, p.143)
Des comportements d’évitement à l’incapacité de sociabiliser, en passant par l’automutilation ou les retards de développement, les ravages de la négligence sont multiples. Combien d’enfants se sont pendus au bout des liens d’attachement qu’ils n’ont pas eus ?
La famille, c’est comme un bouquet de ballons: ça vole plus haut attaché serré, et on ne sait jamais lequel va crever le premier.
Mme Hélène est cool, mais elle me demande toujours les réponses quand les autres les savent pas. Ils les savent pas souvent. Le monde est pas très intelligent, en moyenne. Ma mère dit que je suis à part, que je suis une enfant spéciale. Les guerres mondiales aussi sont spéciales. Les vaches à deux têtes aussi sont spéciales. C'est poche d'être spéciale.