NOMINE POUR LE PRIX DU ROMAN GAY 2013
Critiques des lecteurs anonymes et des chroniqueurs.
"Je viens de finir "
CHIFOUMI" c'est EXTRA . c'est EXTRA. c'est EXTRA ..! ça m'a fait du bien, j'en ai même raté ma station de métro..." - Pierre H.
"On ne sait quelle douleur ancienne et profonde amène le personnage principal à se réfugier dans le sexe en quête d'un bonheur illusoire. Dans des rencontres aléatoires et superficielles, il semble chercher l'amour qu'il n'a jamais eu. Par le vecteur d'un jeu macabre, induit par l'une de ses rencontres, il croit avoir échappé à son mortel ennui de la vie et se retrouve entrainé dans une spirale de meurtres gratuits. Mais il sait dès le début que cette fuite éperdue n'a pas d'issue : elle l'emmenera lui aussi vers la mort qu'il accueillera comme une délivrance." - Catherine G.
"Haletant et fourmillant!"- Richard B.
"J'ai lu
CHIFOUMI, avec plaisir. instructif quant à certaines moeurs" - Brigitte F.
"Gigolo, homo, séropo, schizo,
Antoine Gouguel multiplie les «petites particularités». Autre «originalité» - et non des moindres! - Antoine est aussi un tueur en série. Un serial killer qui prend un malin plaisir à décrire - en détail! - ses crimes sur Internet. Son secret est mis à mal le jour où la fille de la gardienne - une fan de séries policières - découvre la véritable identité de l'étrange locataire. Et tente de le faire chanter! Mais il est dangereux de vouloir jouer avec Antoine...Deux doigts de sexe:Ce roman, à la fois feuilleton policier et pamphlet humoristique, débute par la vengeance de notre improbable héros. le premier chapitre est à peine entamé que déjà, l'enquêteuse en herbe n'est plus qu'un cadavre. Au fil des pages, les corps sans vie vont se ramasser à la pelle. Mais
Chifoumi!n'est pas qu'un livre de crimes. Entre deux «dérapages», le singulier et non moins très attachant Antoine va trouver le temps de tomber amoureux. Sa nouvelle victime? Un tagueur à l'allure de racaille. Mais, à nouveau, ses petites histoires - si insignifiantes pourtant! - risqueraient bien de le rattraper.C'est drôle, caustique, détonnant. Avec deux doigts de sexe et une tonne d'humour,
Antoine Gouguel signe ici son premier et dernier roman. Pourquoi? L'auteur qui tue plus vite que son ombre est décédé. Profitons-en pour souligner ici la particularité des Editions du Frigo: éditer des auteurs homosexuels disparus trop tôt." -
Bertrand Deckers pour TETU
"EPOUSTOUFLANT" - Littératures expérimentales.
"Roman jubilatoire, s'il en est!" MUSIQUE INTÉRIEURE.
"
CHIFOUMI! : un petit chef-d'oeuvre!" - Vincennes-TETU 24/3/2012.
"Drôle de type que cet Antoine Gougel, mort depuis, qui semble avoir voulu se situer dans la lignée d'un
Jean Genet, qui déclarait dans
le Funambule : « Sois ce monstre aux paupières mauves qui ne pouvait être que là, dans ce lieu équivoque, uniquement réservé aux êtres équivoques »… Réussite que ce texte enlevé ( !), autour d'un jeu, le
Chifoumi !, sorte de concours de Feuille-Caillou-Ciseaux, dont l'enjeu est le nombre de personnes que l'on a tuées. Oui, mais un jeu d'esthètes anarchisants, entre pédés lettrés et gigolos fort beaux. Oui, mais voilà, même un serial-killer, virtuel ou non, peut tomber du mauvais côté, tomber amoureux… de quoi aimer ou détester ce livre!" -
Martine Laroche (Lalucarne.org)
"Une variante infâme et meurtrière, heureusement fictive, figure dans un roman de
Antoine Gouguel, "
Chifoumi!", aux Éditions du Frigo/Books on Demand (5 décembre 2011), qui met en scène deux serial-killers s'affrontant à distance, en tuant chacun, le même jour et à la même heure, selon un calendrier préétabli, une victime au hasard, utilisant, pour ce crime gratuit, un moyen qu'ils associent aux Ciseaux (Objets tranchants), à la Pierre (Objets lourds) ou au Papier (Étouffement, strangulation,...etc.) Les règles sont les mêmes que pour le
Chifoumi classique. Dans ce match monstrueux, il n'y a pas de gagnant." - WIKIPEDIA.
Lien :
http://www.editionsdufrigo.com