Le jour où j'ai appris à vivre

Un beau roman, bien écrit qui insuffle du positif sans excès de bons sentiments. Il traite avec intelligence de la découverte de soi, à l'appui d'expériences scientifiques réelles. le personnage est attachant dans son évolution, on le suit avec plaisir et on se délecte de le voir trouver le chemin de l'essentiel, caché à l'intérieur... loin du paraître et de la sphère matérielle.
Ah que c'est bon de lire Laurent Gounelle qui, à travers une plume précise, pleine de bon sens nous donne les clés pour comprendre que l'essentiel est à portée de main.

De temps en temps, ce genre de lecture détend.
Un style "feel good" avec en prime la quête d'un épanouissement personnel.
Certes ce n'est pas de la grande littérature, pas plus que de la psychologie ou philosophie de haut niveau.
Mais cela met un peu de légèreté dans ce quotidien particulièrement anxiogène.
C'est le second livre que je lis de cet auteur.
Ils sont tous deux très similaires.
Je ne pense pas renouveler l'expérience, ayant dans le passé lu beaucoup de livres sur le développement personnel.
Mais un doux moment de lecture dans ce week-end pluvieux.
Bon dimanche à tous.

Presque un an. C'est le temps que j'ai mis pour venir à bout de ce livre.

Je l'ai lu avec un plaisir totalement inégal selon les passages.
Parfois j'y trouvais quelques messages forts qui résonnaient en moi, mais il y en a eu beaucoup d'autres qui m'ont profondément ennuyée (voir même qui m'ont exaspérée).

"Regarde ce radis que tu manges. N'est-ce pas une merveille ? Non, mais...regarde-le vraiment...Il mérite qu'on admire sa beauté avant de l'avaler, qu'on...le remercie de s'offrir à nous.".
Voilà un passage qui illustre parfaitement mon ressenti et qui me laisse perplexe. Bien sûr je comprends le message mais je n'adhère pas du tout à la forme, c'est vraiment exagéré...

Pour moi, qui habituellement adore les livres de cet auteur, c'est une grosse déception. 
Je suis contente d'en être venue à bout et d'en être débarrassée :/

Ce livre tient de la performance : il est à la fois un très mauvais roman et un très mauvais ouvrage de développement personnel ! On me l'a offert cet été, mais même sous un parasol à côté de la piscine - contexte qui favorise pourtant la plus grande bienveillance -, j'ai été irritée par cette succession de situations téléphonées ou complètement invraisemblables, par cette galerie de personnages sans épaisseur à force d'être caricaturaux et par ces tirades lourdes et artificielles (celles de Tatie Margie, en particulier, sonnent faux comme j'ai rarement lu !), le tout servi dans un style plat et démonstratif. Quant aux "messages de fond", on trouve à peu près les mêmes dans les magazines à disposition chez le coiffeur ou le médecin... donc on est déjà au courant.
Bref, un gloubi-boulga de bons sentiments déguisé en roman : très, très indigeste !

Jonathan travaille avec deux de ses associés dans une agence immobilière à San Francisco. Il est stressé, depuis qu'une jeune bohémienne lui prédit qu'il va bientôt mourir... de ce jour, il va se retrouver embarqué dans une aventure de la découverte de soi. Ce roman, dont l'intrigue est basée sur des expériences scientifiques réelles, éclaire d'un nouveau souffle qui fait du bien en ces temps incertains...

Jonathan s'est séparé de son épouse avec qui il a une petite fille. Ils se voient encore car ils ont monté une agence d'assurance avec un de leur ami Mickaël. Un jour, alors qu'il se balade, Jonathan se fait prendre la main par une bohémienne qui lui prédit qu'il va mourir. Ce jour là, sa vie bascule et il va apprendre à voir la vie différemment. Réapprendre ce que l'on souhaite et aime pour mieux aider ceux qui nous entoure.

thèmes positifs qui sont dans l'air du temps ; Gounelle surfe gaiment.
j'ai passé un bon moment.

Notre vie commence véritablement le jour où l'on prend conscience que l'on mourra un jour, et qu'on l'accepte pleinement.

C'est un livre qui touche là où cela fait du bien. L'auteur va à l'essentiel, pas de fioriture, l'essentiel n'en a pas besoin. Un roman philosophique qui nous fait comprendre que l'on a la vie que l'on s'est construite. Rien ne sert d'en vouloir aux autres, puisque nous sommes les seuls responsables de notre destins. Mais rien est immuable, tout peu changer, il suffit dans avoir la volonté. Pour certains cet ouvrage paraîtra naïf, pour moi il est apparu comme un hymne à l'espoir.

Je le conseille à tous ceux qui ont le désir d'une autre existence.

C'est un roman lumineux et positif. Jonathan a une quarantaine d'années, une fille et une future ex-femme. C'est un homme calme, chamboulé par les révélations d'une bohémienne rencontré sur un quai de San Francisco. Il va mourir : Quand ? Comment ? Il l'ignore. Abandonnant son entreprise, il va se réfugier chez sa tante Margie pour se remémorer son enfance heureuse et profiter de es derniers moments de vie. Margie est incroyable car elle a le don d'exprimer des pensées positives et philosophiques complexes avec un vocabulaire accessible et des termes simples.