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3,66

sur 1528 notes
Il m'a permis d'ouvrir les yeux, véritablement, sur notre mode de vie en général mais particulièrement sur notre rapport à l'autre et aussi notre façon de consommer. Par exemple, la valeur des choses que nous achetons est bien loin de sa valeur réelle mais nous l'acceptons sans broncher ! Une vraie révélation !
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L'un de mes livres préférés de Laurent Gounelle! Nous partons en immersion dans une tribu au coeur de l'Amazonie. Société primaire qui prône un mode de vie simple et basique (basique = bases à savoir les liens humains, la solidarité et la proximité / le respect de la nature). L'auteur met en lumière les manipulations sociétales afin de soumettre l'homme moderne à un fonctionnement aliénant. En suivant son raisonnement… c'est absurde! Romain plein de vitalité et important à lire pour revenir à l'essentiel.
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J'aime les livres qui font réfléchir à la vie et à la manière de vivre mieux et plus heureux. Laurent Gounelle, amateur de philosophie, de psychologie et de développement personnel, est un auteur qui mène son lectorat sur la route du bonheur. Il est le guide; à chacun de le suivre ou pas.
Dans son roman "Le philosophe qui n'était pas sage", l'auteur envoie son héros, Sandro, un jeune philosophe, dans une tribu amazonienne.

Il part se venger des Indiens qui sont responsables de la mort de sa femme, journaliste pour un magazine.

Il veut détruire le bonheur de ces gens qui vivent en parfaite harmonie avec la nature. Leur société est soudée, très bien organisée; chacun peut compter sur son voisin, la jalousie, l'envie,...n'existent pas. Ils vivent dans un bonheur parfait une vie simple .

Sandro et les guides qu'il a engagés pour le mener jusqu'à eux vont introduire de faux besoins, la vanité, l'envie, la concurrence, la performance,...bref tout ce qui mine notre société.

Là, ils se heurteront à Elianta, une jeune chamane décidée à résister pour sauver son peuple.

C'est donc à travers l'histoire de ces personnages que Laurent Gounelle analyse notre société et ses travers. Il confronte notre mode de vie occidental avec celui d'une société primitive afin de nous faire réfléchir sur les vraies valeurs de la vie.

La particularité de ce bouquin (contrairement à beaucoup d'autres) est qu'il ne montre pas ce qu'on doit faire pour vivre plus heureux mais, au contraire, les personnages influencent les Indiens afin de les rendre malheureux. C'est au lecteur de tirer leçon de tout cela.
Lien : http://phildes.canalblog.com..
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Sur les conseils de plusieurs amis lecteurs, je me suis lancée à la découverte de Laurent Gounelle. Je pressentais bien que cela allait me changer de mes lectures habituelles et pas forcément de façon positive.

"Le philosophe qui n'était pas sage" est un conte... philosophique. Laurent Gounelle met en scène dans cette parabole deux mondes que tout oppose. Un groupe de mercenaires va importer dans une tribu amazonienne préservée, tous les méfaits de notre société consumériste pour y semer le trouble, perturber l'harmonie qui règne entre les membres et ainsi assurer la vengeance de Sandro le commanditaire de l'expédition. Si je veux m'investir un petit peu dans ma critique, je dirai déjà que ce Sandro, avec ses belles paroles de Marc Aurèle, est tout simplement haïssable. Il reste dans l'ombre, fait agir ses sbires, sème le vent et s'étonne de récolter la tempête. J'ajouterai que la fin est d'une niaiserie incommensurable.
Après, pour être franche, ce genre d'histoire simplette et moraliste pour faire passer un message soit disant philosophique m'agace. Je savais déjà que notre société n'était pas jolie, jolie. La lecture de ce titre n'aura pas fait avancer le schmilblick d'un poil. J'espère que ce titre n'est pas le meilleur de l'auteur. Tant mieux si par ailleurs, il a trouvé son public. Pour moi, c'est un 8/20.
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Autant j'avais bien accroché avec "'l'homme qui voulait être heureux" autant celui-ci ne m'a pas emballée.
Beaucoup de raccourcis, une analyse très simpliste et très arbitraire de la société de consommation capitaliste dans laquelle nous vivons.
L'intrigue de fond qui permet de lier les analyses et pensées de Laurent Gounelle est trop simple, insipide et sans grand intérêt.
C'est un conte philosophique des temps modernes sans prétention dont le message de base est intéressant mais qui aurait pu être mieux abordé.
L'écriture est fluide, une lecture distrayante sans plus.
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L'idée est intéressante et je me suis accrochée pour aller jusqu'à la dernière page espérant trouver de la magie. Mais ce n'est pas arrivé. J'ai traversé une juxtaposition de chapitres peu aboutis et sans relation entre eux, sans fil conducteur, sans construction de suspense. Une collection de clichés censés nous aider à prendre du recul sur ce qui contribue au bonheur, ou au malheur... Pas convaincue.
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Comment expliquer cette réticence à adhérer sans réserve à la proposition : un genre de fiction sociolo philosophique bien troussée, très démonstrative et cocasse parfois... trop pensée dans le style : je vous ouvre les portes de la connaissance ( on entend presque la chose à la lecture )...il y manque pourtant la profondeur romanesque et la vraie poésie, même si ça se lit facilement et avec interet.
Point.
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Le philosophe qui n'était pas sage/ Laurent Gounelle
Sandro, professeur de philosophie à l'Université de New York, a perdu sa femme un an auparavant, disparue en Amazonie lors d'une expédition pour réaliser un reportage. Elle aurait été sacrifiée par les Indiens d'une tribu primitive réputée pourtant pacifique. Il décide de solliciter les services de quatre mercenaires qui connaissent bien la région et de les accompagner pour venger sa femme, d'une façon ou d'une autre.
La chaleur moite de la forêt équatoriale et l'isolement vont vite créer des tensions au sein du groupe alors que le travail machiavélique de sape a déjà commencé à l'encontre de la tribu, un travail visant a détruite la belle harmonie, la paix, la sérénité et le bonheur simple des Indiens en introduisant les notions de propriété, de compétition, d'envie et de consommation. Comme cela paraît facile !!
Éliantha, la jeune et jolie indienne que reluquent avec concupiscence les acolytes de Krakus le chef des mercenaire, est chamane au sein de la tribu et voit alors son action se réduire de jour en jour, ses congénères subissant l'influence maléfique des mercenaires, Sandro se contentant de rester observateur et conseiller, méditant quotidiennement et vainement en guise d'aide, les pensées de Marc-Aurèle. Philosophie dans un hamac !
Peu à peu la peur, une peur lancinante, s'installe dans la tribu, les hommes de Krakus perturbant l'imaginaire des Indiens en suscitant ou réveillant des craintes ancestrales d'une part et en en provoquant de nouvelles, comme la crainte de manquer de quelque chose après avoir créé le désir et l'envie d'autre part. Puis la peur de la maladie, la peur des animaux qui pourtant sont bien connus des indigènes, peur des autres en créant des conflits, peur de ne plus être aimé…Krakus parvient ainsi à instaurer une émotion négative permanente qui détruit les liens sociaux.
Au fil des jours, Sandro en vient à se demander ce qu'il est venu faire là, ne parvenant pas à maitriser la situation que Krakus a pris à son compte. La vengeance dévastatrice ne tient pas ses promesses de soulagement et de libération. La situation devient insoutenable d'autant plus que son esprit torturé et ses émotions ravageuses le rendent malade : il réalise que son plan n'était pas bon et que l'exécuteur n'en fait qu'à sa tête. Certes ils sont à première vue parvenus à ébranler la belle confiance des autochtones en eux-mêmes, à saper leur lien avec la nature et entre eux ; ils ont perdu le bonheur de l'instant présent pour ressasser le passé et se perdre dans le futur. La vie n'a plus la saveur merveilleuse de jadis. Sandro en arrive à ressentir un sentiment de honte, pressé par l'étau de la culpabilité qui se referme peu à peu sur lui. Au secours Marc-Aurèle !
Jusqu'à quand Krakus le gourou maléfique pourra –t – souffler le chaud et le froid sur la vie d'un peuple ? Sandro sortira-t-il vainqueur de son combat intérieur avec l'aide de Marc-Aurèle ? Et si les Indiens n'étaient pas réellement responsables de la mort de sa femme ? Un mystère plane sur cette mort…
Un roman très curieux et surprenant, parfois drôle, qui cache, c'est la volonté de l'auteur, une remise en cause de notre société de consommation, d'apparence et de désirs en tout genre. le personnage très caricatural de Krakus doit être déchiffré au second degré, comme beaucoup de choses de ce livre, notamment quand il s'exprime sur les « sauvages ». Les autres personnages sont aussi assez caricaturaux et animés d'une psychologie pour le moins rudimentaire. Seule Éliantha est un personnage intéressant et vers la fin du récit nous étonne par l'apparition d'une manière de vocation christique. Voilà pour le positif.
Cela dit, ce roman ressemble un peu et même beaucoup à une leçon de choses, une leçon de morale pour élèves du primaire. La lecture et facile, très facile, le style simple et sans fioriture, pour des élèves moyennement doués. Un roman pas toujours subtil, d'un manichéisme exacerbé, à l'intrigue cousue de fil blanc et prévisible dès le début, qui plaira à certains et agacera d'autres. Personnellement, il m'a fait sourire par moment et agacé à d'autres.
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Génial !!!! Je l'ai lu en trois jours et j'avais bien du mal à l'abandonner pour vaquer à d'autres occupations. Trouver un peuple sans besoin particulier sinon celui d'être heureux ensemble et petit à petit lui apporter les virus de la société de consommation. C'est une lecture qui marque. Dans 10 ans, voire plus, je m'en souviendrai encore. Quelle perfidie dans les mécanismes mis en place, quelle intelligence et clairvoyance dans la compréhension de l'esprit humain. Bravo
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J'ai été très déçue par ce livre. L'histoire avait l'air intéressante mais au final c'est tellement moralisateur que ça perd tout intérêt et extrêmement prévisible. J'avais la sensation d'être face à un vieux monsieur qui me fait une leçon sur la vie et c'est tout aussi peu agréable en lecture qu'en réalité
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