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Il n'est guère plaisant de se réveiller d'un rêve pour se trouver enfermé dans un cauchemar.
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Il n'est guère plaisant de se réveiller d'un rêve pour se trouver enfermé dans un cauchemar.
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Elle ne ressemble à aucune femme que je connaisse. Elle n'est pas d'une grande beauté, pourtant je m'aperçois que je préfère contempler son visage à aucun autre. Elle ne déborde pas de grâce, pourtant ses manières m'enchantent plus que celles d'aucune autre. Elle n'est pas instruite, mais son intelligence lui permet de débattre avec animation.
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Bien que Mrs Gardiner nous observât tous deux, je ne tentai pas de dissimuler mon admiration pour sa nièce. Au contraire, qu'elle le sache! J'aurais aimé que le monde entier en fut témoin. Je suis amoureux d'Elizabeth Bennet!
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- Vous préférez peut-être la lecture aux musées ? - Pas spécialement, murmura-t-elle. Les livres sont très difficiles, n’est-ce pas ? Ils contiennent tant de mots ! - C’est l’un de leurs défauts, on ne saurait le nier. Elizabeth aurait souri à cette remarque, mais c’est d’une voix dénuée d’humour que Miss Farnham chuchota : - C’est exactement ce que je pense. |
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Les femmes ont l'imagination bien prompte : elle bondit de l'admiration à l'amour et de l'amour au mariage en un instant.
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Je vis Elizabeth sourire et baisser la tête sur son ouvrage. Elle a le sourire facile, et je commence à trouver cela contagieux. Je fus presque tenté de sourire moi aussi.
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- Vous êtes trop généreuse pour jouer avec mes sentiments. Si les vôtres sont toujours semblables à ce qu'ils étaient en avril dernier, dites-le moi sans plus attendre. Mon affection et mes voeux sont toujours les mêmes. Mais un mot de vous suffira à me faire taire à jamais. Il sembla s'écouler une éternité avant qu'elle ne réponde. - Mes sentiments sont si différents... Je respirai plus librement. - ... que je suis reconnaissante que vous puissiez encore m'aimez... Un sourire me monta aux lèvres - ... désormais je reçois vos témoignages d'affection avec gratitude... et plaisir... - Je vous aime depuis si longtemps, répliquai-je en posant avec délice la main sur celle qu'elle venait de glisser à on bras. Je pensais que c'était sans espoir. J'ai essayé de vous oublier, mais c'était impossible. [...]. |
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toute personne qui considère Mrs Bennet comme une femme merveilleuse est sujet à plus qu'un petit béguin. Seul l'amour le plus profond peut produire un tel aveuglement ! |
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- La maison vous a-t-elle plu ? demanda Mrs Gardiner. - Oui, beaucoup, répondit Jane. Elle est un peu plus petite que Netherfield, mais reste de bonne taille. - Plus petite que Netherfield ? s'écria Mrs Bennet en entrant dans la pièce. Cela ne peut convenir. - Mais elle est proche de Pemberley objecta Jane. - Il est vrai que c'est un point positif. Ainsi je pourrai rendre visite à toutes les deux en même temps. Je peux séjourner d'abord chez Lizzy, puis venir chez vous ma chère Jane. La route est longue jusqu'au Derbyshire pour aller voir une de ses filles, mais semble courte pour en retrouver deux. Je pense que je serai tout le temps près de vous. - J'ai trouvé le parc un peu petit, avança Bingley en lançant un regard à Jane. - Et les combles sont en piteux état, ajouta celle-ci. |
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La médisance n'est jamais flatteuse pour celui qui s'y livre.
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Grâce à Shakespeare, ils sont certainement les plus célèbres, les plus appréciés et les plus ancrés dans les mémoires depuis des siècles...