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EAN : 9782918647331
456 pages
Goater (26/04/2018)
3.93/5   7 notes
Résumé :
Un auteur de romans policiers se retrouve au coeur d'une intrigue aux multiples ramifications, entre prostitution, trafic de drogue et règlements de compte, remontant à une multinationale du pétrole et de l'énergie.
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
Fioul (le fioul, mazout ou fuel est un combustible dérivé du pétrole. Classé dans les ressources énergétiques fossiles, il est impliqué dans la pollution de l'air) débute par une marée noire (le fioul est donc aussi impliqué dans la pollution de l'eau). Et la noirceur, c'est bien ce qui caractérise ce roman de la collection « Goater noir ». le noir suinte, le noir dégouline partout, il émane autant des personnages que des situations.
Il est assez intéressant de constater que tous les personnages sont des anti-héros par excellence, tous dans leur genre. L'écrivain Marc Riplé, un des personnages principaux, se décrit lui-même comme un looser, un homme sans ambition, oisif, sans vraiment de valeurs, alcoolique. Il rencontre Gladys, « entraîneuse » (mais en réalité prostituée prisonnière, esclave sexuelle droguée jusqu'au trognon). Arrivent ensuite les « bandits » qui prostituent Gladys et qui ont tué son amie Sandrine. Une fois encore ce sont des hommes sans rien de valeureux, en plus d'être des trafiquants et des proxénètes, des loosers eux aussi, sans intelligence particulière.
Il y a aussi les policiers et le détective privé. Ouvertement ripoux ou juste très insatisfaits de leur travail et leur condition, faisant leur boulot parce qu'il faut le faire (on est loin des « flics » traditionnels des romans policiers, inspirés, animés par la vocation, tenaces, guidés par une forte intuition). Ici les flics sont, au choix : alcooliques, cyclothymiques, bipolaires, stupides ou dépressifs.
Enfin, ce récit fait intervenir un grand chef d'entreprise (pétrolière, forcément l'entreprise) et ses collaborateurs, ainsi qu'un génie de la finance (parallèle, forcément la finance). Bien que très intelligents, ceux-ci n'ont aucune valeur humaine, aucun aspect attachant. Eux aussi sont profondément malheureux : bien que manipulant avec virtuosité les hommes comme des marionnettes et sans la moindre considération, pour le seul Dieu profit, les hommes d'affaires ne semblent en tirer aucune satisfaction ni aucun bonheur.
Ce roman peut se diviser en trois parties qui s'entremêlent : les soucis de Riplé et sa fuite en avant (qui s'apparente à un road movie désespéré, dans lequel il semble essayer de se fuir lui-même) pour échapper aux malfaiteurs, l'histoire du point de vue des bandits, qui se retrouvent ensuite embauchés par les patrons et enfin la partie dévolue à ces derniers patrons qui tirent les ficelles. Ce n'est pas toujours aisé à comprendre, et le rythme m'a paru assez inégal, souffrant de quelques longueurs. Il est évident que l'auteur connaît très bien les rouages du blanchiment industriel de capitaux et les thématiques relatives aux paradis fiscaux mais pour le lecteur qui n'y connaitrait rien, il faudra un peu de ténacité pour suivre.
Je regrette un peu, mais après tout c'est un parti pris de l'auteur, que toutes les femmes soient appréhendées d'un point de vue sexuel. Sandrine et Gladys sont des prostituées esclaves que rien ne prédestinait à cela et n'ont pas vraiment d'autre intérêt dans l'histoire. Ensuite il y a Séverine, qui emmène Marc à Aurillac, pour assister à une sorte de rave. Alors même qu'il vient d'assister à un meurtre et qu'il est en fuite, tout ce qui l'intéresse, c'est de se la faire (pardon, je n'ai pas trouvé d'autre expression plus jolie). L'objectif sera atteint, d'ailleurs, et son intérêt s'envolera ensuite rapidement. Marine, l'ex de Marest (le grand patron), est utilisée par ce dernier, qui lui joue la comédie de l'amour et lui fait l'amour pour obtenir des renseignements. Même la mère de Serge Mancin (l'un des bandits), une vieille dame fan de téléachat, pourtant évoquée très brièvement, fantasme de façon très incongrue sur un jeune associé de son fils. Amina Soukouré, la « bonne » de Gobard (encore un bandit) est, youpi, « juste » une esclave domestique mais manque de chance on apprend un peu plus tard ses fonctions orales. le détective Vautier est sado-maso et aime que les femmes le fassent souffrir (ce qui nous offre une scène peu ragoûtante). Je pensais que Samira, la jeune femme heureuse qui prend Riplé en stop, allait m'offrir une lueur d'espoir mais non, elle a un problème avec les hommes et manque de se faire violer (par un policier en plus).
Le style de l'auteur, très direct, avec des passages très « parlés » qui peuvent déconcerter un peu, est raccord avec le récit. M. Grangier réussit avec brio à combiner vulgarité et lexique de haut vol et il en ressort un style vivant et assez agréable à lire. J'ai remarqué quand même quelques coquilles et mots manquants dans le texte, c'est dommage.
Fioul est donc plutôt, à mon avis, à réserver aux aficionados du genre, à un public averti et surtout qui ne souffre pas de dépression car c'est une plongée dans la noirceur qui ne laisse pas indemne. Personnellement j'ai été friande de ce genre de romans quand j'étais plus jeune (et à ce propos Fioul m'a fait penser aux ouvrages de Ravalec que j'ai adorés à cette époque, pour le style, les personnages torturés et l'absence d'optimisme) mais j'en suis un peu revenue et du coup j'avoue que je suis restée « spectatrice », je ne suis pas vraiment entrée dans le roman. Je pense toutefois que d'autres peuvent vraiment l'adorer.
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Fioul de Stéphane Grangier, livre reçu pour la masse critique Babelio le mois dernier, est un pavé de plus de cinq cent pages, un roman policier à l'architecture bien complexe, où s'entremêle avec beaucoup d'incertitude une trame tentaculaire vous happant l'esprit comme un vampire vous pompant votre sang. Je suis un lecteur riche de ses émotions, un dévoreur compulsif de roman de toute sorte, j'avais beaucoup aimé lire Maxime Chattam avec ses deux trilogies, La trilogie du mal et le Cycle de l'homme et de la vérité, Fioul se rapproche de ce dernier cycle, une vérité de vie sous fond sociétale réel, mais approche aussi le vol des cigognes de Jean-Christophe Grangé, outre ces deux références , Fioul s'évapore aussi dans les méandres La griffe du chien de Don Winslow, Fioul creuse sa forme dans la conception à tiroir de son intrigue, une sorte de poupée russe.
Stéphane Grangier est d'origine Bretonne, de Quimper, Fioul est son quatrième roman, où son intrique débute à Rennes, plus particulièrement par une marée noire, comme une tache sombre de cette Bretagne meurtrie par cette pollution, Stéphane Grangier ouvre la porte à sa région par ce fléau, une résonance Horrible, stigmate indélébile de l'homme dans l'appât du gain, d'une nature esclave de la folie humaine.
La richesse de ce moment est la multitude de personnages, un centrale, fil conducteur du roman, un quadragénaire, au chômage, écrivain débutant, toujours au prémisse de son premier roman, une écriture lente, un livre sans vie, juste un prétexte à l'oisiveté de sa lâcheté, buvant, fumant et aimant les jeunes femmes dérive dans la roman comme une épave sur une mer agitée , toujours à la limite de la surface, respirant juste pour survivre comme un prisonnier enfermé dans les quatre murs de sa cellule. Un coup de fil va rompre sa banalité de vie sans air, pour un road movie pas banal, à la limite une danse féminine, trois femmes accompagnant sa fuite, une prostituée Gladys, tuée d'un balle dans la tête, une jeune étudiante Séverine à la sensualité débordante et Samira, étudiante aussi, en architecture, férue de randonnée, animeront cette cavale.
D'autres personnages présent, cristallise encore plus cette histoire à plusieurs enjeux, Marest le haut de la pyramide de cette aventure inextricable, homme d'affaire puissant faisant parti d'un groupe puissant aux ramifications nombreuses, avec d'innombrables actionnaires, la manne financière de ce groupe s'impose comme un état, imposant sa loi comme despote sur ses sujets, Marest est froid, sadique, psychopathe et sans émotion, il est l'humain moderne ne chercher que le pouvoir. Un être sans âme, un parfait robot sans émotion, les hommes sont pour lui de la chair comestible à abattre.
Puis Polignac jeune arriviste, ici d'une famille aisée, grande école et grand travailleur aussi, ouvrant sa propre boite de finance et une autre en parallèle aimant vivre sa vie à la vitesse super-Sonic, puis le temps ronge les envies, les désirs, tout se fane et l'émulation de cette double vie professionnelle. Polignac siège au conseil d'administration de l'entreprise de Marest, celui-ci lui demandera une faveur au conséquence assassine.
Puis deux policiers différents, l'un alcoolique, pervers, en chute libre, en échec familial, en séparation, puis un autre plus avenant, sérieux ambitieux, jeune papa au cours de l'intrigue vont à leur manière rendre l'intrique plus savoureuse et étoffée ce roman épais.
Il y a dans cette écriture, une forme de proximité, ce style direct, de se mettre à la place du personnage, ce je s'infuse dans le lecteur comme s'il était acteur de son propre rôle, celui du personne qu'il lit, puis cette forme de narration est plus simple dans l'impact de l'histoire, cette narration plus fluide anime parfaitement le rouage bien huilé de l'intrigue.
Entre marée noire, drogue, prostitution, blanchiment d'argent, manoeuvre politique et sexe, Stéphane Grangier nous interpelle par la proximité des personnages mais aussi par la réalité des évènements, une firme aux tentacules sans fin, des élus FN se querellant, le pétrole, les énergie nouvelles puis ce rouage sans fin du roi fric et de ces hommes de l'ombre ayant la main mise sur le pouvoir.
Je n'en dirais pas plus, juste la scène de sexe entre Séverine et Riplé reste une vraie réussite, et le final comme la cascade des situations explosent dans un feu d'artifice.
Bonne lecture , car je n'ai pas tout dis sur ce roman pyramidale.
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Lot de la dernière #massecritique de @babelio que je remercie ainsi que la maison d'edition Goater - #fioul de Stéphane Grangier est refermée et iras rejoindre les autres livres de ma bibliothèque.

Marc RIPLE écrivain au chômage, eu un appel en pleine nuit, « c.est Sandrine qui m'as donner votre numéro ils l'ont tuée... »
Oui Sandrine il l'avait rencontré dans un bar, comme on dit c'était une entraîneuse, il avais sympathisé ni + ni moins. Et il tissa une relation amicale, ou un homme et une femme parlait rigolait simplement ensemble.

Gladys c'est elle qui était au téléphone complètement paniquée, la copine de Sandrine, deux entraîneuses complètement camées.

Devant son dessarroi Marc rejoins Gladys pour l'aider et essayer de comprendre dans les emmerdes qu'il étaient en train de se mettre, mais ça il le savait pas encore...

Il hébergea Gladys qui lui plaisait bien, autant lier la générosité et le plaisir, mais il découvrez dans son sac : de la drogue et beaucoup d'argent.

A son réveil Gladys expliqua qu'elle et Sandrine était sous la coupe de mafiosos qui les frappaient et les prostitutiaient, et quand Sandrine s'est fait tuer, elle as voler la drogue et l'argent.

Marc avec Gladys vont organiser une cavale pour échapper aux voyous et à la police, qui va les mener un peu partout en France arriveront ils à s'en sortir ? Seront ils heureux et amoureux. Après ces aventures ?

Beaucoup de personnages dans ce roman, que parfois eu du mal à comprendre les ramufications, il faut dire qu'il en as énormément entre un commanditaire qui tire les ficelles, les voyous, et les policiers.

Parfois quelques longueurs mais j'ai passer un bon moment à lire ce livre, beaucoup de suspens, une écriture parfois très sauvage même hot, mais on es pris dans les diverses péripéties de Marc et on se prends au jeu, j'ai adorer la persistance des policiers digne de ce nom au fil de l'enquete, et aussi l'histoire du commanditaire mets du mystère et donne au récit plus encore de suspens.

Après ça se lit bien c'est agréable à lire, j'ai aimer, mais c'est pas un coup de ❤️
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Si je chronique quand même ce roman, c'est parce qu'il peut intéresser de nombreux lecteurs, plus conciliants et peut-être plus jeunes que moi, et qui n'ont pas la même vision de l'aspect rédactionnel et des comportements de certains des protagonistes.

A côté de pages frôlant presque la perfection, s'immiscent des passages franchement lourds, indigestes. Pourtant au début, je me sentis attiré par un épisode maritime qui n'est pas sans en rappeler d'autres. Un cargo pétrolier qui part de Dunkerque vers la Sicile avec à bord 30 000 tonnes de pétrole. du côté de Saint-Nazaire, la houle de plus en plus forte casse le rafiot en deux, et c'est l'inévitable marée noire. Près de Donges. Cela nous ramène à des épisodes précédents de sinistre mémoire.

Ecrivain, pas vraiment raté mais qui cherche à s'imposer, Marc Riplé galère. Il a fait la connaissance de Sandrine, hôtesse d'accueil dans un bar, terme pudique pour qualifier son état de prostituée, mais celle-ci est abattue par des malfrats. Gladys, sa copine, téléphone à Marc, lui demandant asile. Il accepte et tandis qu'elle dort, il ouvre, sans être gêné le moins du monde, son sac à main. Un contenu féminin normal ou presque, puisqu'à l'intérieur il répertorie des liasses de billets de cinq cents Euros ainsi que deux pochons de farine. Ou du sucre en poudre. Ou de la came. Il y en a près d'un kilo et demi, que Sandrine aurait barboté à ses tourmenteurs.

Le parcours de Gladys, tout comme celui de Sandrine est celui d'une jeune fille appâtée par de belles paroles mais qui tournent en eau de boudin. Elle était promise à ce que l'on appelait l'abattage après avoir servi d'exutoire sexuel consentant. Marc décide alors de quitter Rennes et de s'envoler ver l'Afrique du Sud ou vit sa soeur. Mais, après avoir procédé aux démarches nécessaires, alors qu'il est sur le point de prendre le train en gare de Rennes direction Paris en compagnie de Gladys, ils se font repérer par l'un des malfrats. Gladys est tuée et Marc parvient à s'échapper in extremis du piège tendu et c'est le début d'une cavale en compagnie d'une auto-stoppeuse. Avec absorption de nombreux produits illicites, de joints et d'alcools.

D'autres personnages en col blanc évoluent dans ce roman, dont Karl de Polignac, qui a réussi à s'imposer dans la finance, devenant un acteur incontournable dans le blanchiment d'argent et les pratiques bancaires douteuses. Autre col blanc qui a pignon sur rue, Marest, le président directeur général de la société pétrolière Optal, mais dont les agissements, les comportements ne sont pas toujours conformes à un statut d'homme intègre en vue. Enfin Serge Mancin et ses deux sbires, qui avaient sous leur coupe Sandrine et Gladys.

Naturellement le meurtre de Gladys sur le quai de la gare de Rennes ne laisse pas indifférent le commissaire Lalanne qui charge l'inspecteur Rouvière de l'enquête. Normalement Rouvière devait partir en vacances et sa femme est sur le point d'accoucher. Tant pis pour lui, il peut faire un trait sur son départ et surtout sa présence réconfortante à la maternité.

La suite de la chronique sur le blog ci-dessous :
Lien : http://leslecturesdelonclepa..
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Un polar épais d'apparence mais qui se dévore à la vitesse d'un film de Quentin Tarantino. Le réel économique se mêle à la fiction pure qui entraine le non-héros écrivain dans une série d'aventures explosives. Des flingues, des flics, des poursuites, une intrigue à tiroirs qui tient en haleine, des amours mortes, une marrée rouge sang et noire sentiments. Un excellent roman à dévorer sans attendre !!!
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Vingt ans en arrière, à l'époque où je me branlais de tout. De mon devenir, du devenir des autres, où j'extrapolais d'une façon excessive en supputant sur tout. J'étais un génie, j'y arriverais, j'avais la rage dans le sag et la pointe du couteau entre les dents. Je roulais à des vitesses dingues et me prenais pour le roi du monde. J'étais ce roi du monde que rien n'arrêtait jamais. Le king sur sa montagne, en bon mythe incarné. Mais j'étais passé du mythe incarné à l'ongle incarné. J'incarnais plus rien, ou si peu.
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Alors bien sûr, parfois son intérêt pour la politique pouvait avoir les apparats d'une certaine noblesse, voire d'une grandeur d'âme qui pouvait s'avérer réelle, mais la plupart du temps l'enculé n'y trouvait que sa manière à lui de faire pénitence, d'aller mugir à l'église, s'excusant de se goinfrer tout le temps et de nourrir uniquement sa propre tambouille. L'individualiste chiait sur les autres, car ils n'avaient pas de visage, car il ne savait pas les définir, les réduire, les transformer en chair à mots. Il ne pouvait en faire une formule cinglante, ou une phrase acérée. Cette multitude complexe l'emmerdait, contrecarrait les plans simplistes du pamphlétaire inaltérable qu'il aurait voulu être. Et puis il en avait rien à foutre "des autres". ça ne voulait rien dire "les autres". Si la subjectivité du gugusse était son guide, son aveuglement lui servait de balise.
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Sandrine. Pas vraiment une étudiante, comme l'étaient pourtant la plupart des filles qui bossaient dans ce genre de bar, à chauffer le clampin contre une commission sur les boissons. Là où je l'avais rencontrée et où j'avais sympathisé avec elle, malgré le forcing de sa patronne : ce mec ne consomme rien, qu'il dégage. Sandrine lui avait tenu tête. Je l'avais revue dans un concert, puis plus tard, dans un bar. Puis nous étions restés en contact. Elle passa même plusieurs fois chez moi. Sandrine, son grand rire délirant, ses boots qui me faisaient marrer.
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Video de Stéphane Grangier (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Stéphane Grangier
Dans "Exorcisme", le dernier livre du sociologue Gérald Bronner, ce dernier dévoile les croyances ésotériques, fanatiques voire complotistes dont il fut épris lors de sa jeunesse. Un récit puissant autour de "l'envoûtement" et du "désenvoûtement".
Pour en parler, Guillaume Erner reçoit : Gérald Bronner, professeur de sociologie à Sorbonne Université
Visuel de la vignette : Stephane Grangier / Getty images
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