Appelons-la déesse Mère, déesse Terre, Magna Mater, déesse des bêtes sauvages ou des montagnes, biophile quoi qu'on en dise, maîtresse de la fécondité, c'est-à-dire, aussi, déesse du monde souterrain... La déesse sauvage demande à être délivrée des fantasmes qu'on a projetés sur elle, réhabilitée de "la déformation judéo-chrétienne dont elle a été obstinément l'objet". Une entreprise tout à fait à la portée de Joëlle de Gravelaine, qui avait déjà consacré une étude...
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