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EAN : 9782203242227
456 pages
Casterman (01/06/2022)
4.06/5   41 notes
Résumé :
Rome,Ier siècle après J.-C., sous le régime de Caligula.

Didon, douze ans, n'a qu'un rêve : devenir conductrice de char dans le célèbre Circus Maximus, avec son cheval préféré, Porcellus. Un exploit impossible pour une fille, car seuls les garçons peuvent concourir.
Elle se console comme elle le peut, en aidant son père Antonius, entraîneur de l'équipe favorite de Rome, la faction verte.

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Critiques, Analyses et Avis (11) Voir plus Ajouter une critique
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Plutôt que de me lancer comme d'habitude dans la rédaction de ma critique, je préfère vous livrer celle de mon petit-fils de dix ans à qui j'ai confié ce roman sitôt reçu (et j'en profite pour remercier, dès le début, l'éditeur Casterman et l'équipe de Masse critique pour m'avoir proposé cette lecture) : "Un livre excitant, avec beaucoup de suspens lors des courses et de tels changements de situation que l'on se demande comment c'est possible ! Circus Maximus est génial !"

Je pense que son enthousiasme est évident et il est vrai que l'autrice sait y faire pour mener sa barque. tout d'abord, elle maitrise suffisamment la période pour éviter les erreurs grossières. Et on voit bien qu'elle s'est documentée sur le monde des courses de char de l'Antiquité romaine.
De plus, elle a créé un personnage principal vif et plein d'énergie : une jeune fille qui a des occupations réservées aux garçons dans une société assez compartimentée. Mais qui se débrouille pour, malgré les obstacles, obtenir ce qu'elle veut. Et assouvir sa passion pour les chevaux. Alors c'est vrai qu'on a tous les poncifs de ce genre de littérature : une jeune fille qui ne s'en laisse pas compter, des chevaux, encore et toujours.
Et des problèmes. Et pas des moindres, car l'autrice n'hésite pas à aborder la mort d'un proche. Ce qui n'est pas anodin mais qu'elle traite sans mièvrerie, mais avec efficacité.

La course de ma vie est donc le premier tome efficace d'une série pour la jeunesse qui se déroule dans l'Antiquité romaine. Je ne sais pas ce qu'en penseront les autres lecteurs mais j'en connais un qui attend avec impatience le deuxième épisode.
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Incontournable Juillet 2022


On a rarement des histoires qui prennent place en Rome Antique pour notre jeunesse, alors ça me fait bien plaisir d'en découvrir un qui soit passionnant et crédible. L'autrice a fait beaucoup de recherches, elle nous en cite les sources à la fin.On a donc aucun mal à être immergé dans ce Rome du premier siècle. Ici, on s'intéresse aux courses de chars, l'équivalent de la Formule 1 de la Rome antique, sous le règne de Caligula, 3e empereur romain.


Didon aura connu de près les courses de chars toute sa vie, puisque son père est l'entraineur des Verts, l'une des quatre factions qui s'affrontent au Cirque Maxime, le plus grand stade de course de l'Empire. Elle aspire à devenir aurige ( conductrice de chars), mais en tant que fille, ça s'annonce pratiquement impossible. Ça ne l'empêche nullement de courser de temps à autre. Un jour, alors que Didon trouve une baie suspecte dans le box d'un des chevaux. Quand elle en informe son père, celui-ci comprend qu'on drogue les chevaux de la faction verte. Hélas, quand il en informe Hosidius Ruga, le directeur de la faction, qui explique que la tricherie est due au fait que les bleus sont financés par un homme outrancièrement riche, et qu'ils gagnent donc toujours, les évènements prennent une tournure dramatique. Naevius Sutorius Macro, commandant de la garde prétorienne qui protège l'Empereur, assassine Antonius, le père de Didon. Alors qu'Atticus, l'assistant de ce dernier , donne une chance à Didon de sauver sa peau, la jeune adolescente de 12 ans s'enfuit. Après un périple en bateau la menant à Carthage, ville d'enfance de sa mère, Didon réussira à trouver de l'aide en la personne de Scorpus, le grand rival de son père du temps de leur carrière d'aurige, et l'un des meilleurs auriges que Rome ait connu. À la mort de l'empereur Tibère, Caligula lui succède et comme il a un parti prit pour la "faction du peuple", les Verts, la faction bleue connait alors des difficultés. Deux ans passent, Didon, devenue Léon, se révèle une grande aurige. Son unique souhait: retourner à Rome pour retrouver son cheval, Porcellus, laissé derrière, et, pourquoi pas, courser dans le célèbre Cirque Maxime, pour retrouver la gloire perdue de la faction bleue. Mais ce ne sera pas simple: Porcellus est en réalité Incitatus, le cheval préféré de l'empereur et ce dernier soutient les Verts. Toutes les bassesses sont permises, du moment que l'Empereur est satisfait.


C'était une lecture historique passionnante, vraiment. Entre les conspirations et les coup bas en coulisse des courses, l'étrange Caligula, aussi imprévisible que passionné de course, et les secrets de famille de Didon, on ne s'ennuie pas du tout.


Il y a un formidable travail entourant les chevaux en eux-même. On aura droit aux détails sur leur santé, leur performances, leur tempérament et leur importance pour les courses. Ils sont des personnages au même titre que les humains et ont tous des noms. Une dimension équestre qui fait franchement du bien à lire, après ces innombrables romans sur l'équitation anglaise. Élever des chevaux de course est un art. Il y a aussi, évidemment, tout un langage autours du sport en lui-même, très intéressant. Il y a tellement de choses à tenir compte quand on pratique de sports, très dangereux d'ailleurs. À certains moments, on peut faire des parallèles avec la course automobile actuelle, comme les petits équipes sur le terrain, chargés de jeter de l'eau sur les roues ou s'occuper des chevaux une fois la course terminée. Il y a tout une équipe derrière un aurige, également. Et tout comme les courses actuelles, il y avait des "naufrages" qui pouvaient être d'une telle violence qu'elles pouvaient couter la vie aux auriges et aux chevaux.


Didon est un personnage comme je les apprécie. Elle est vaillante, décidée, audacieuse et ne se laissera pas abattre pour des broutilles. Elle aura le concours d'une autre femme plus maligne et perspicace qu'elle en a l'air, en la personne d'Helvia, épouse d'Othon, le propriétaire des Bleus. Il y a beaucoup de personnages, avec des noms assez similaires ( tous en "us" ou presque). Heureusement, ils sont tous notés au début du roman, au besoin, placés par équipes. Mais on s'y retrouve assez bien. D'ailleurs, certains sont historiques: Caligula, l'empereur, est présent surtout dans le second volet de l'histoire. S'il a été historiquement apprécié au début de son règne, son tempérament instable et sa cruauté vont amener sur Rome un vent de révolte. En faisant mes recherches sur ce personnage réel, j'en ai lu qu'il aurait possiblement été bipolaire, ce qui semble avoir été aussi un trait dans le roman. Ce qui expliquerait, en autre, ses excès d'humeurs. La stèle en marbre, l'abreuvoir en ivoire et autres luxes démesurés pour son cheval Incitatus sont historiquement véridiques. le personnage de Cassius, garde prétorien qui éprouvait de la haine pour son empereur, a aussi existé. Vous trouverez quelques explications et sources de l'autrice à ce sujet à la fin du roman.


Le roman fait 450 pages, mais a une police un peu plus grosse que les romans ado. C'est également le premier tome d'une série. Ce sera donc le genre de roman pour les amateurs d'histoire et de sports qui auront assez de patience pour en venir à bout. C'est un roman qui se lit vraiment bien, l'action est bien qualibré avec les moments plus tranquilles, entre les courses. le volet "conspiration" et autres intrigues nous tiennent assez occupés. Si on figure assez bien que Didon sera sans doute un jour aurige, le tout est de savoir comment, et ce n'est pas si simple à prédire.


Il y a une dimension assez impitoyable dans l'histoire, on reconnait là la différence d'époque. Cassius, par exemple, fait bien comprendre à Didon qu'il n'hésitera pas à la tuer si d'aventure, elle devait perdre sa couverture de "Léon". Les verts n'hésite pas à droguer leurs chevaux, au point d'en tuer. Caligula a des réactions d'une intensité surprenante et certains coup bas des Verts contre les bleus sont consternants. Mais le degré de violence reste relatif: nous sommes dans un roman Intermédiaire après tout, conçu pour un lectorat à partir de 10 ans.


Le seul détail qui me semble un peu oublié, mais ce n'est guère important, c'est l'aspect religion. Les Romains étaient pieux envers leurs nombreuses divinités, et comme nous avons ici des sportifs, souvent remplis de superstitions, je me serais attendu à en entendre plus parler. Ce qui était également étonnant, mais là encore c'est peut-être juste le choix de l'autrice, c'est le naturel des garçons apprenti-auriges envers Didon qui m'a semblé étonnant. J'aurais pensé que des garçons auraient été plus orgueilleux avec une "fille" aurige, comme c'est historiquement très souvent le cas. le personnage de Nicias l'était, il est vrai. Petit détail qui vous amusera dans cette optique: l'autrice raconte que les romaines aussi adoraient les courses de chars, certaines ont même garder des objets liés à ce sport dans leur tombe.


C'est donc une belle découverte pour la littérature Intermédiaire anglaise que ce premier opus d'une série historique ET sportive! Un récit qui devrait servir aussi bien les lecteurs que les lectrices, avec une héroïne qui n'a pas froid aux yeux et qui a un réel don avec les chevaux.


Pour ceux et celles qui se le demande, "Didon" est le nom de la princesse phénicienne qui fonda Carthage, presque 800 ans avant cette histoire. Elle avait trois prénoms: "Elissa" en phénicien,"Dido" en latin ( "errante") et "Théiossô", en grec. Une fondatrice qui devient ensuite Reine. Voilà!


Pour un lectorat Intermédiaire, 10-12 ans, mais comme il est costaud et bien rempli, il peut très bien servir le lectorat du premier cycle secondaire, 13 ans+.
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Pas mal du tout !

Une aventure de jeunes ados pour des ados où l'on retrouve tous les sentiments : la haine, l'amour, la tendresse et l'amitié ; où l'on retrouve tous les caractères : les faibles, les forts, les puissants, les dangereux, les courageux et les empathiques. Un milieu pas classique, le Circus Maximus et les courses de chars ; des personnages jeunes qui ne rêvent que d'une chose, devenir le héro adulé du cirque et pour ce faire, tout est bon, tout est permis même le pire ! Une période plutôt effacée des livres d'Histoire, la fin du règne de Tibère et le début de celui de Caligula ; période où les puissants ont tous les droits, période où les puissants sont dégénérés, pervertis et violents. Un domaine assez technique aussi finalement car le métier d'aurige demande beaucoup d'efforts, de sacrifices et de courage.

Franchement, je me suis lancée, j'ai peut-être trouvé que l'écriture était un peu simple au début et puis, j'ai été prise dans le tourbillon des courses effrénées où les chevaux ont la part belle et où les ados sont déjà des adultes. J'ai rien lâché et j'ai trouvé ça génial. Très bien documenté sur les différentes factions de l'époque et sur les enjeux de ces courses qui étaient là clairement pour le plaisir du peuple et surtout, pour les distraire des arnaques des puissants...

Un tout grand merci à Babelio et aux éditions « Casterman » pour ce tout bel ouvrage jeunesse que j'ai adoré. Bon, j'ai quand même horreur des romans qui se termine avec le début du tome suivant car maintenant, j'ai juste envie de découvrir la suite :-p
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: Bienvenue aux grands jeux romains des Circus Maximus!
Quel prestige, peut-être que le petit-neveu de l'empereur, Caligula, sera présent dans les gradins.

Les premières pages nous propulseront efficacement et rapidement dans l'univers du livre, nous arriverons sur une course de chars amateure entre deux ados.
Le déroulement de la course forte en vitesse nous "mettra en jambe", en appétit et déja sous tension, tellement les descriptions nous installeront bien dans ce parcours sur plusieurs tours assez risqués.
Ceci nous fera penser à une course moderne de Formule 1 où il faudra maitriser son engin de course pour négocier les tournants, ne pas arriver trop vite et éviter de partir hors du décor, bien prendre le virage pour profiter de l'élan.
Déja un char tiré à deux chevaux avec Didon et son ami Térès nous donnera cette impression puissante d'une cavalcade folle alors imaginons à quatre destriers, comme cela se fait avec des conducteurs aguérris.
Le roman mettra clairement l'accent tout au long du livre sur la passion des chevaux, les décrivant toujours tous à chaque fois, ceci contrebalançant avec la dure exigence sportive de la course de chars qui sera l'enjeu de l'aventure.

D'emblée pour les lecteurs, Didon, 12 ans, fille d'un entraineur d'auriges de compétition, apparaitra sûre d'elle et peut-être un peu trop téméraire au goût de son père Antonius.
A t-elle le droit de conduire un char?

Son acquisition d'un jeune cheval indiscipliné en Hispanie( Espagne), nous laissera supposer qu'un jour elle voudra le monter à l'identique des fameux conducteurs des jeux du Circus Maximus dont elle rafole.
Seront-ils tous les deux aptes au service?
Lui est un récalcitrant se refusant au fouet, elle...est une fille.

Aurez-vous prêté attention à la première de couverture après lecture des premiers chapitres?
Ceci ne sera qu'un détail mais pas des moindres pourtant: le récit nous décrira Antonius comme un homme aux cheveux blonds, presque blancs. Et plus tard, dans une discussion avec son ami Julius, Didon dira qu'elle tiendra ses yeux et ses cheveux de son père mais que sa mère défunte était brune.
Gage que ceci aura son importance pour la suite si l'on rejette un coup d'oeil sur la première de couverture, ne pensez-vous pas? Ce n'est pas une erreur de l'illustratrice.
"Circus maximus", c'est l'aventure palpitante des jeux de courses impériaux, la grande attraction de l'empire romain, le divertissement numéro un.
Le sport aura ses stars de la compétition, ses outsiders prometteurs comme l'on dit en course hippique et ses problèmes de...dopage. Il y aura gros à gagner en arrivant le premier.
"Circus maximus", c'est aussi une affaire d'honneur et de vengeance et c'est la jeune Didon qui devra se charger de la douloureuse mission. Elle nous fera voyager un peu partout en Méditerrannée, là où se trouve l'Empire et là où s'entraineront les équipes avant de retomber sur ses sandales et de revenir laver son nom.
C'est vraiment captivant.

Côté Empire, la mention de l'héritier de l'empereur Tibère nous fera, nous, tiquer car Caligula n'est pas n'importe qui dans l'histoire des empereurs romains de l'antiquité.
Rapidement avec Wiki, on jette un coup d'oeil:
Qui est-il?
"Il devient le troisième empereur romain après le décès de l'empereur Tibère en 37, âgé seulement de 25 ans. Caligula est un empereur aimé par le peuple dès son entrée en fonction, qui apaise Rome après la fin de règne très mouvementée de Tibère..."
Et pourtant, il est aussi connu pour ses humeurs par la suite.
"Le Haut Empire romain débute par la succession d'empereurs issus d'une lignée commune, les julio-claudiens. Cette période est marquée par des règnes réputés auprès du grand public comme sombres et cruels. Dans l'imaginaire collectif, les noms de Néron et de Caligula sont associés à un gouvernement sanguinaire et arbitraire. Cette époque fait place à l'âge d'or de Trajan et des Antonins, perçu comme la victoire de la vertu sur le vice des julio-claudiens.

Caligula a inspiré une abondante production artistique. Il apparaît fréquemment sous les traits d'un homme cruel, déséquilibré voire fou. De nombreuses études se sont intéressées à sa personnalité. Il s'agissait de tenter d'expliquer l'accomplissement d'actes considérés comme irrationnels. De multiples hypothèses ont été développées. Successivement schizophrène, psychopathe, maniaco-dépressif, voire hyperthyroïdien, Caligula a reçu de nombreux diagnostics. Ces hypothèses diagnostiques sont basées sur la lecture sémiologique des sources..."
Quel profil! Ceci viendra t-il jouer un rôle dans l'intrigue du roman?
Avec des participants corrompus, Didon obtiendra t-elle réparation auprès d'un homme politique cruel et ambitieux?
Ça sera à déterminer et ce n'est que le premier tome.

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"La course de ma vie" est le premier épisode d'une série de romans jeunesse d'aventures antiques intitulée "Circus Maximus". Chaque livre peut se lire indépendamment des autres et constitue une histoire à part entière.

L'héroïne, Didon, a douze ans et est la fille de l'entraîneur des conducteurs de char de la faction la plus populaire de Rome, les Verts. Elle rêve d'être à leur place mais c'est une discipline interdite aux femmes. Elle se contente donc de s'occuper des chevaux avec les garçons d'écurie. Mais elle a un avantage sur ces derniers, elle comprend les chevaux et parvient à établir de véritables relations de confiance avec eux. Surtout avec Porcellus, son préféré.
Tout irait bien pour elle si le drame ne s'était invité dans sa vie, la forçant soudainement à s'enfuir en cachette de Rome et à traverser la Méditerranée pour Utique au nord de Carthage. Elle n'aura alors qu'un but : revenir à Rome et montrer à tous qu'elle est la meilleure aurige.

Annelise Gray a réussi un très bon premier roman jeunesse, faisant vivre à son héroïne de nombreuses aventures, alternant les scènes calmes et les phases d'action que constituent les courses de chars, le tout ponctué de rebondissements inattendus.
Les courses de chars sont particulièrement vivantes, truffées de détails et le lecteur se prend pour un véritable aurige aux côtés de Didon. "Ben Hur" est largement battu à plate couture ! On sent que la romancière a effectué des recherches poussées sur ce point. Mais en même temps, d'après sa biographie, elle a une solide formation d'historienne.

Le public visé par ce roman semble être les collégiennes bonnes lectrices (456 pages tout de même !) parce que l'héroïne a douze ans et que le thème principal est le cheval. Mais je ne ressemble pas tellement à ce portrait et je l'ai énormément apprécié. Je le conseille donc à tout le monde, garçon, fille, adolescent, adulte.

J'en remercie d'autant plus Babelio de m'avoir sélectionné lors de sa Masse Critique Jeunesse et Casterman de m'avoir fait parvenir cet ouvrage que, maintenant que je l'ai lu, je vais m'empresser d'offrir.
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Citations et extraits (2) Ajouter une citation
C’était une chose de servir de garde du corps à un homme aussi faible et torturé que Tibère, mais c’en est une autre d’obéir à un tyran avec un esprit d’enfant et un appétit de cannibale. 
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Très bien. Alors mangez ma nourriture, buvez mon vin, et amusez-vous. La vie que les dieux nous accordent est courte, mais le souvenir d’une vie bien vécue est éternel.
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