I was to find curious objections here and there to the silver money I had brought . One tribe wouldn't look at money with Queen Victoria's head on it; the news of her death had penetrated to the most unlikely places where I and my cousin were the first white people be seen in living memory,and the value of the coins, they believed ,had died with her.( J'allais avoir des réactions curieuses ici et là pour la monnaie en argent que j'avais emmené.Une tribu n'acceptait pas les pièces avec la figure de la reine Victoria. La nouvelle de sa mort avait atteint invraisemblablement même ces contrées les plus éloignées qui voyaient pour la première des blancs en la personne de moi et ma cousine.Ils croyaient que la valeur des pièces avait disparue avec sa mort)
Le Liberia 1935
P.65
The beach is the most dangerous road in all Liberia to travelers, because its people have been touched by civilization, have learnt to steal and lie and kill.(La plage est la voie la plus dangereuse du Liberia pour les voyageurs, car ses habitants ont été touché par la civilisation,et ils ont appris à voler, mentir et tuer).p.234
Blancs et Noirs ne vivaient là que pour un temps et rien qu’à la surface de cette terre d’Afrique qui finissait toujours par avoir le dernier mot . …Il n’y a pas tant de virginité dans le monde qu’on ne puisse s’offrir le luxe de l’aimer quand on l’y rencontre.
“...when once you have taken the Impossible into your calculations its possibilities become practically limitless.( une fois que vous avez placé l'Impossible dans vos calculations,ses possibilités deviennent illimitées ) - Saki p.139
He was officially reckoned civilized because he could speak English and write his name.(Il était officiellement considéré civilisé parce qu'il parlait anglais et pouvait écrire son nom). P.189 ( Liberia -1935)
On ne pleure pas sans avoir été heureux auparavant ; les larmes représentent toujours quelque chose d’enviable.
A quoi pensez vous à la minute où je vous dis : « Afrique ? »…. Aussitôt, une foule de vocables : magiciens, mort, souffrances et Gare Saint Lazare…. Aux mots : Sud-Africain, je m’aperçois que ma réaction est immédiatement : Rhodes, l’Empire britannique, un affreux édifice à Oxford, un autre à Trafalgar Square. Après « Kenya », il n’y a pas d’hésitations : gentlemen-farmers, aristocratie en exil, chronique des mondanités et commérages dans les journaux ; « Rhodesia donne : faillite, tabac de l’Empire, puis de nouveau : faillite.
Ici, civilisation est demeuré synonyme d’exploitation ; j’eus l’impression que nous n’y avons guère amélioré la condition des indigènes ; ils sont rongés de fièvre autant qu’avant l’arrivée du Blanc ; nous avons introduit chez eux de nouvelles maladies et diminué leur résistance aux anciennes ; ils boivent toujours de l’eau polluée et souffrent des mêmes vers intestinaux.
Le moyen de jouir de la vie est de savoir le prix de la douleur.
Notre monde d’aujourd’hui semble singulièrement sensible à la brutalité. Il y a dans le plaisir que nous prenons à lire les romans de gangsters la pointe de nostalgie que nous donnent des personnages qui ont simplifié agréablement leurs émotions jusqu’à vivre plus bas que le niveau usuel de l’intelligence.