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EAN : 9782070351343
192 pages
Gallimard (31/05/1967)
4/5   3 notes
Résumé :
L'orthodoxie succède à la croyance. Un croyant en appelle à tous les hommes pour qu'ils partagent sa foi : un orthodoxe récuse tous les hommes qui ne partagent pas sa foi.
Dans ce livre qui est une longue protestation contre l'esprit d'orthodoxie, Jean Grenier s'attaque à certaines orthodoxies de notre temps et indique en particulier le marxisme et le matérialisme en confrontant les théories d'Epicure, Hegel, Marx et Lénine.
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Albert Camus et Jean Grenier : Découverte de la philosophie et de l'écriture (1955 / France Culture). Diffusion sur France III Nationale le 2 décembre 1955. Par Pierre Sipriot. Avec Albert Camus et Jean Grenier. Émission “Thèmes et controverses”. Présentation des Nuits de France Culture : « “Les grandes révélations qu'un homme reçoit dans sa vie sont rares mais elles transfigurent comme la chance, à l'être passionné de vivre et de connaître”, écrivait Camus dans la préface au livre “Les Îles” de son ami Jean Grenier, en 1959 : le professeur de philosophie qu'il a eu au lycée d'Alger à 17 ans, son ami pour toujours. Son influence est majeure sur le jeune élève, c'est lui qui lui confie un livre qui va le pousser à l'écriture : “La Douleur” d'André de Richaud. Camus lui fait lire ses premiers écrits ; il lui dédia son premier livre “L'Envers et l'Endroit”, “L'Homme révolté”. Dialogue entre ces deux écrivains et amis dans l'émission “Thèmes et controverses”, revue radiophonique des idées et des lettres, avec le producteur Pierre Sipriot. Albert Camus nous parle de son professeur, qui l'a passionné, de la lecture de son livre “Les Îles” qui est à l'origine de ses préoccupations d'écrivain, nous dit qu'un philosophe doit déranger les lieux communs. Jean Grenier nous parle de l'humanisme, de surnaturel, de divin, des racines célestes de l'homme, de courage, de la liberté ; qu'il préfère le sensible à l'intellectuel. “Nous avons commencé, en 1930, un dialogue qui n'est pas fini” écrivait Jean Grenier : une correspondance qui devait durer trente ans et n'être rompue que par la mort, l'accident du 4 janvier 1960 de Camus. Là, nous sommes en 1955, Camus est encore vivant, “L'Été” vient de paraître en 1954, écrit sous l'influence de Jean Grenier : « “L'Été” descend des “Îles” », comme il l'écrit. Il recevra le prix Nobel de littérature en 1957. Il nous lit le début de son livre “L'Étranger” et nous parle de “miséricorde” et de “douceur” : les derniers mots de cette archive. Éternel sur les ondes, comme dans ses livres, comme dans l'écriture. »
Source : France Culture
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