C'est une histoire passionnante très bien écrite et parfaitement adapté à des collégiens. Il est très court, ce qui permet de le lire rapidement. Il est facile à lire et captivant. On entre dans la peau de Jeanne. On vit avec elle sa quête, le développement de ses sentiments, sa passion de la musique. Une fois qu'on a commencer, on ne s'arrête plus. Ce livre est vraiment à lire !
Si vous n'aimez pas le point de vu d'une jeune fille, vous pouvez trouver l'histoire du point de vu de Pierre. Cela se nomme « La fille de 3èmeB ».
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J'ai apprécié ce roman parce que pour les amateurs de musique il est intéressant. Cela parle d'amour entre une fille et un garçon. Jeanne essaye de trouver le garçon sans visage qui a remplacé un autre pianiste. Il est facile à lire, il n'est pas compliqué, l'écriture n'est pas trop grosse et pas trop petite. le livre parle de jeunes lycéens qui vont à un concert de musique classique. Jeanne et ses amis y vont. Jeanne essaye de dévisager le pianiste qu'elle a vu en concert. Il avait les cheveux longs. On ne voyait pas son visage. Elle veut rencontrer le garçon. Elle essaye de récupérer des informations par Pierre qu'elle a rencontré sur un banc près du métro. Elle demande à Florian et Pierre de lui prêter des CD de musique classique pour les écouter. Elle écoutait la radio qui parlait du pianiste sans visage. (Je me suis arrêté ici) J'ai choisi jeanne parce qu'elle découvre de nouvelles choses. Elle se passionne de musique. Elle veut se mettre au piano. Je l'ai apprécié parce qu'elle est gentille avec les garçons et elle est un peu timide comme moi. «Il parut très surpris et sourit avec une sorte d'indulgence : - s'intéresser à la musique je trouve que c'est toujours une bonne idée. Quel que soit le moyen employé. - Ma mère juge que je suis trop vielle pour commencer. C'est vrai ? -La musique, c'est comme le sport. » J'aime cette citation parce qu'il n'est jamais trop tard pour commencer quelque chose.
Je conseille je lui mets 5 étoiles.
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On retrouve la même histoire que dans La fille de 3ème B mais du point de vue de cette fameuse fille. Histoire d'amour musicale mais aussi histoire familiale au passé mystérieux avec un père aux dons insoupçonnés. Sensible et doux, sans prétention on se laisse emporter par les notes comme par les mots.
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«Il parut très surpris et sourit avec une sorte d’indulgence : - s’intéresser à la musique je trouve que c’est toujours une bonne idée. Quel que soit le moyen employé. - Ma mère juge que je suis trop vielle pour commencer. C’est vrai ? -La musique, c’est comme le sport. » J’aime cette citation parce qu’il n’est jamais trop tard pour commencer quelque chose.
Les garçons, je crois, ont l'art d'entreprendre les choses les plus sottes et les plus inattendues quand ce n'est vraiment pas le moment, et de ne rien tenter quand la situation devient propice.
Comment expliquer ce qui se produisit alors ?
J'en suis bien incapable.
Il s'agit d'un ensemble.
Mais l'œuvre et la façon dont elle était interprétée me touchaient soudain.
C'était comme une porte qui s'ouvrait.
Ou comme une vague qui m'aurait emportée.
Oui, une vague, car j'étais tout à coup dans un autre élément ; et je me laissais bercer, stupéfaite.
Ainsi, c'était cela, la musique classique ?
Et, je l'avais ignoré si longtemps ?
Oriou (un professeur de Français) a lui aussi le chic pour faire l'autopsie de n'importe quel poème.
Si bien que le moindre texte de Rimbaud soigneusement décortiqué par ses soins ressemble à la fin de l'heure, au cadavre disséqué d'une grenouille.
Après ça, on comprend parfaitement comment le poète s'y est pris. Mais son texte est devenu aussi fané que la fleur d'un herbier.
s"il vout plait je doit choisir un extrait le plus mieux de l'histoire et je dois dire pourquoi ? Merci
Christian Grenier nous parle de l'importance de l'informatique dans son oeuvre.
© Éditions du Rouergue, 2020