Méto, tome 3 : Le monde

Je contemple l'horizon en repensant au matin où tout a commencé. J'avais simplement entrouvert les yeux alors qu'on nous intimait l'ordre de les garder fermés. Aujourd'hui, je le sais. Il faut parfois désobéir.

Affres: angoisse, tourment, torture.
Toute sa vie résumée en un mot.

- Méto, je serai toujours à tes côtés même si c'est pour mourir.
- Ca sera pour vivre, Atticus, pour vivre enfin.

Je veux surtout éviter que l'usine à monstres continue à gâcher des enfants.

Je suis fasciné par les femmes. Il y en a de tous les formats

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Serrés l'un contre l'autre, nous attendons l'arrivée de Juan. Il pleut et nous nous sommes réfugiés dans la cabine d'un bateau vide. J'ai dessiné un itinéraire à Caelina pour qu'elle rejoigne l'Entre-Deux sans trop de difficultés en passant par la plage. Elle portera aussi une lettre à Octavius pour qu'il comprenne que ce n'est qu'un piège. J'irai les voir dès que possible. Je suis sûr qu'ils vont très bien s'entendre.

Fin de la trilogie, les bons sentiments refont surface apportant une direction plutôt "jeunesse" au livre...

- Tu dois en avoir des choses à nous raconter, Méto, n'est-ce pas ? susure le petit homme à la peau froissée et aux lunettes épaisses. Tu sais qui je suis, bien sur ?
- Vous êtes Jove, le père de Rémus et Romulus. Vous êtes le créateur de la maison...

-Il faut parfois en sacrifier un pour en épargner cent.

Pour tous, maintenant, je suis méto le traître.