Il nous restera ça

J'aime beaucoup les romans de VIRGINIE GRIMALDI en général. Ils me permettent de passer d'excellents moments de lecture et "il nous restera ça" ne fait pas exception.

Elle aborde dans ce roman des thèmes avec tact et douceur comme les violences conjugales, la reconstruction ou encore le deuil.

Les personnages sont attachants, l'écriture agréable, VIRGINIE GRIMALDI aborde dans ce dernier roman les relations humaines avec brio.

Un très beau roman que je n'ai pas lâché.

J'ai découvert Virginie Grimaldi il y a peu et j'apprécie énormément sa douceur, qui plus est pour évoquer des sujets souvent douloureux. Nous retrouvons ici trois protagonistes que tout semble opposer, mais dont les blessures, la vie, deviendront un beau vecteur d'amitié, que dis-je, de famille. J'ai été très attachée à chacun des personnage, et sensible aux mots de l'auteur dans lesquels il est donné à chacun de se retrouver. L'équilibre entre dureté et légèreté si singulier à l'auteur est une fois encore parfait.

Jeanne est tout juste veuve. Son monde s'est effondré le 15 juin au décès de Pierre. A cela s'ajoutent des soucis financiers qu'elle n'avait pas anticipés. Pour tenter d'y remédier, Jeanne est contrainte de proposer une des chambres de son appartement en colocation. Elle a à peine mis son annonce que deux jeunes gens l'abordent dans la rue pour la chambre : Théo, un jeune adulte en CAP pâtisserie, au passé difficile qui a vécu quasiment toute sa jeunesse en foyer et Iris, une jeune femme qui fuit visiblement quelque chose ou quelqu'un. Cette colocation plus qu'improbable au départ va s'avérer bénéfique pour tout le monde. Petit à petit les défenses de chacun vont céder et une amitié solide va naître entre ces trois êtres solitaires. On retrouve tout ce qui rend les livres de Virginie Grimaldi si agréables à lire : des émotions fortes, de l'humour et toujours, derrière les situations difficiles, un éternel optimisme. Quand on referme le livre, on est heureux d'avoir croisé le chemin de Jeanne, Théo et Iris. On aurait envie de les retrouver au plus vite. Sait-on jamais : peut-être y aura-t-il une suite ?
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Globalement, je suis plutôt fan de Virginie Grimaldi...mais là, je me suis éclatée ! L'histoire est d'une grande douceur, criante de vérité et d'émotions. Ma lecture a été parsemée d'éclats de rire devant des expressions ou autres images. Je l'ai dévoré...et j'ai passé un superbe moment.

Une belle histoire très touchante qui nous depeind l'histoire de personnages cabossés par la vie.
Une écriture fluide, qui passe de l'humour à des moments émouvants.
J'ai lu ce livre en une journée car je n'avais pas envie de quitter nos trois protagonistes, quel régal!
Un petit plus sur les conseil de l'auteure : l'écoute de chansons de Grand Corps Malade, que je connaissais déjà, et qui nous touche par ses beaux textes poétiques.

Trois personnages dont les vies se croisent. Un chapitre par personnage. Jeanne, Théo et Iris. Chacun porte une histoire.
Je ne peux pas résumer plus sans spoiler un peu, donc je m'arrête là. Les romans de Virginie Grimaldi sont souvent des histoires de rencontres, et de belles histoires, c'est vrai. Elle est la seule auteure qui me fait pleurer et rire trois minutes après. C'est bien écrit et les personnages sont attachants. Mais pour moi, c'est trop. Trop d'émotions, trop de tristesse même s'il y a de jolies choses. Et parfois un tout petit peu trop de bien pensance et de morale qui sont de trop. Laissons évoluer les personnages avec leurs défauts et leurs erreurs. Je n'ai pas besoin qu'on vienne me dire quoi penser de telle situation et de tel personnage. Cela m'a un peu dérangée d'être orientée comme ça.
J'adore cette auteure, sa tendresse et son amour des gens. Mais ce roman, pour moi, il est trop.

Un trio de personnages émouvants. Leurs failles. Leur rencontre.

Jeanne est veuve, et se sent désemparée sans Pierre, qui était tout pour elle. Les jours s'enchaînent, fades, moroses, quand elle reçoit un courrier de la banque lui indiquant qu'elle est dans le rouge.

Pour réussir à payer les factures, Jeanne se dit qu'elle va louer une chambre de sa maison. Finalement, elle en louera deux, accueillant deux oisillons blessés par la vie, Iris et Théo. Iris, qui fuit un passé douloureux. Théo, qui vit dans la rue en attendant des jours meilleurs.

En vivant ensemble, ils vont se découvrir, s'écouter, se dévoiler, s'entraider.

***

J'aime beaucoup ce concept de colocation entre personnes de générations différentes. Cette ouverture à l'autre. Cette notion d'entraide. Et cette idée de famille de coeur, cette famille qu'on se crée quand on n'en a plus, ou lorsque celle qu'on a ne nous convient pas.

Deuil, vieillesse, précarité, alcoolisme, relations toxiques, de nombreux sujets difficiles sont abordés ici par Virginie Grimaldi - avec une grande délicatesse. Sans tomber dans le pathos.

Bien évidemment, c'est un roman feel-good, alors c'est l'optimisme et la vie qui gagnent. Si c'est parfois cousu de fil blanc et "facile" niveau scénario, s'il n'y a pas de grosse surprise, je me suis laissée porter par cette histoire que j'ai lu d'une traite ou presque. On aime ou pas les feel-good, mais ceux qui apprécient le genre seront tout à fait satisfaits par Il nous restera ça.

Ce sont les hasards malheureux et heureux de la vie qui vont réunir Jeanne (veuve depuis peu), iris (qui fuit son ancienne vie) et Théo (qui essaie de construire la sienne).
Tous les trois, ils vont apprendre à se connaître, s'apprécier et se faire confiance. Ensemble, ils vont avancer vers un avenir qui pouvait paraître incertain, difficile voire impossible.
Les personnages sont attachants, ils peuvent nous paraître fragiles mais au fond ils su être forts.
Une belle histoire humaine qui nous donne envie d'y croire.

Avec Il nous restera ça, Virginie Grimaldi trouve, une fois encore, les mots justes. Elle sait peindre les sentiments comme personne et arrive à me cueillir, livre après livre, histoire après histoire.

Chaque été, le dernier ouvrage de Virginie Grimaldi paru en poche est le premier roman de mes vacances, je sais qu'avec elle, mes congés ne peuvent que bien commencer. Et cette année, ça n'a pas raté ! J'ai adoré cette histoire banale en somme mais c'est surtout sa plume, ses personnages qui ont m'ont touché en plein coeur.

Porté par l'écriture, l'humour et surtout la sincérité de l'autrice, ce roman aborde sans tabou ni cliché la précarité, l'isolement, la vieillesse, l'alcoolémie, les violences conjugales ou encore la perte d'un être cher, et se révèle être une formidable leçon de vie.

L'autrice réunit trois personnes cabossées par la vie, qui se trouvent à un moment clé de leur existence. Leur rencontre, fortuite, va les mener à entamer une colocation intergénérationnelle, qui va au fil des semaines, aboutir à une vraie amitié puis à une vie de famille.

Jeanne vient de perdre Pierre son mari depuis 50 ans et en est inconsolable. Iris a fui une situation matrimoniale difficile qui lui a fait perdre toutes ses amies et Théo, placé en foyer depuis de nombreuses années, a du le quitter, une fois atteinte sa majorité.

A travers ses personnages, Virginie Grimaldi aborde des thèmes graves, traités sans pathos, avec beaucoup de justesse et de sensibilité, qui m'on mis la larme à l'oeil à plusieurs reprises. Heureusement ses traits d'humour font mouche et nous redonnent le sourire quand l'émotion devient trop vive.

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Ce livre, c'est la rencontre de Jeanne, veuve détonante, Iris, trentenaire rescapée et abîmée mais aussi de Théo, 18 ans, que la vie n'a pas épargné, malgré son jeune âge.

Trois solitudes mais aussi trois générations qui vont devoir apprendre à vivre ensemble et composer leur propre partition avec leurs différences.

Une belle rencontre intergénérationnelle riche de leur complémentarité !

L'amitié n'a pas pas d'âge, elle nous enveloppe, nous apaise, nous réconforte et nous rend plus fort.

Des personnages attachants, une intrigue bien menée, des mots justes ! C'est le talent de l'auteure. Il n'y a plus qu'à accueillir les émotions transmises !