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La Malerune tome 1 sur 3
EAN : 9782915159028
535 pages
Mnémos (17/06/2003)
3.86/5   208 notes
Résumé :
La stabilité du monde repose sur deux runes magiques: la Malerune et la Belle Arcane.
Mais un jour, les pouvoirs destructeurs de la Malerune sont déclenchés. Unique espoir pour rétablir l'équilibre : retrouver la Belle Arcane. Et le temps presse. Parmi des dizaines de chevaliers qui se sont déjà mis en quête, seul Eras de Garamont, parti il y a trois ans, semble toucher au but. Envoyés au château de Garamont, Zétide le vieux mage et Hogo le monstrueux lycante... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (23) Voir plus Ajouter une critique
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Cela fait maintenant 3 mois que j'ai lu ce livre, je suis restée longtemps loin de Babelio. Fichu Corona ! Entre le télétravail et l'école à la maison, je n'ai pas trouvé l'énergie ni le temps de passer. J'ai donc plein de critiques en retard. Mes avis arrivant à retardement, ils seront donc sans doute plus brefs que d'habitude.

« Les armes de Garamont » est le 1er volet de la trilogie jeunesse « la Malerune ». J'ai passé un agréable moment de lecture même si le roman est plein de défauts. Ce qui m'a le plus dérangée, c'est que tout au long de ma lecture j'ai ressenti un manque d'ampleur dans le roman. D'après ce qui est dit, l'histoire prend place dans un monde vaste et varié. Or, j'ai trouvé que l'auteur ne parvenait pas à rendre cette immensité. le roman m'a paru étriqué comme si le décor se résumait à un château, un monastère et un petit bout de forêt. Malgré cela, le roman se lit bien et facilement. L'intrigue est efficace et certains personnages sont attachants, tout particulièrement celui de la plus jeune des soeurs qui sort un peu du cliché de l'héroïne badass, cliché dans lequel sombre allègrement le personnage de son aînée.

Je lirai sans doute un jour la suite de cette trilogie mais, pour cela, j'attendrai de tomber dessus d'occasion. Si j'ai passé un moment de lecture plaisant et sympathique je n'ai pas été emballée au point de me jeter dessus.
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Un avis a posteriori qui sera donc peu détaillé.
De ce que je me souviens, j'ai trouvé l'intrigue classique, le ton très jeunesse.
Lucia est insupportable, sa soeur plus intéressante.

Les deux personnages matures, Zétide et Hogo, sont les plus intéressants.
Le monde est cependant plutôt bien construit. Sans être inoubliable, c'est plaisant à lire, plutôt bien écrit, même si la psychologie des personnages est peu fouillé, d'où l'impression de littérature jeunesse ,en fait.

Je l'ai lu il y a 15 jours (était-ce vraiment il y a 15 jours ? J'ai l'impression que c'était il y a au moins un mois... Les problèmes ralentiraient-il le temps ?), en LC avec des copains du forum des Trolls de Babel, au milieu de la quadrilogie "Malhorne" que j'ai adoré, ce qui a été plutôt difficile pour ce livre, du coup... Ce sont les souvenirs qu'il m'en reste...
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Le monde de la Malerune, un monde régi par l'Equilibre
Et c'est bien l'essentiel de ce premier tome qui nous décrit et qui nous dévoile la Malerune. Tout n'y est que dualité, bonne et mauvaise, créée par les Dieux, dans deux mondes qui se juxtaposent. Ces royaumes sont régis par la magie des runes. Et chaque monde possède une rune suprême permettant la domination de l'autre : la malerune et la Belle Arcane. La Malerune étant découverte, l'Equilibre est rompu. La quête sera donc de trouver la Belle Arcane. Et pour cela, le chevalier Eras de Garamont, non content de partir lui-même en quête, fournira ses deux enfants pour l'accomplissement de celle-ci, ses meilleurs armes : ses filles, dont l'une matérialisera le corps et l'autre l'esprit.

Un monde nouveau dont les racines prennent corps dans nos contes et nos mythologies.

En effet, c'est ce qui m'a le plus marqué dans ce tome. J'ai eu l'impression de relire l'histoire du Minotaure… Mais aussi le début de la Belle et la Bête. Et pourtant ce n'est pas un pastiche, bien au contraire. Ce sont de solides piliers qui je le sens enrichiront ce monde que je découvre petit à petit, comme je découvre au fur et à mesure les préceptes de l'Equilibre.
Un cycle très prometteur donc qui se laisse visiter très facilement mais qui ne reste pas dépourvu de richesses. Je m'en vais, de ce pas, chercher avec nos deux héros, la Belle Arcane pour vous.
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Cette trilogie présente cette singularité que seul le premier tome est signé par Pierre Grimbert : l'écriture les deux suites ayant été confiée à une tierce personne. Il faut donc lire les différents tomes pour constater des résultats de cette formule particulière…

Dans ce premier tome, Pierre Grimbert immerge sans introduction le lecteur dans un monde complexe où les mots inventés abondent. On se voit nommer des mets, des végétaux, des animaux et des créatures avec très peu ou pas du tout d'indice sur leur nature, comme si l'auteur avait considéré que le lecteur pouvait deviner ses intentions en « lisant dans ses pensées », ce qui, naturellement, n'est pas possible. C'est donc avec beaucoup d'imagination qu'il faut remplir les « blancs » laissés par l'auteur afin de pouvoir persévérer dans le récit.

Ce dernier étant lui-même plutôt complexe à comprendre, car les explications sur le fonctionnement de ce monde fantastique arrivent très tardivement dans l'histoire. Les lecteurs avisés qui parcourent les résumés et les critiques avant de découvrir le livre lui-même sont donc très avantagés.

Ainsi, aux trois-quart de ce tome, une brève genèse nous apprend que les Dieux ont d'abord créé deux univers, l'Anarein et le Chorus, avant d'en inventer un troisième (l'Enarein) qu'ils créèrent « en deux parties égales, le Maûne et l'Aldo et dissimulèrent sur chacune un symbole de leurs pouvoirs. Deux runes magiques, les plus puissantes de l'univers, et éternelles gardiennes de l'Enarein. L'une apportant chaos, vigueur et incessante agitation; l'autre assurant continuité, plénitude et nécessaire stabilité. Leur oeuvre ainsi achevée, les Dieux laissèrent libre cours à leur imagination et peuplèrent le Troisième Monde de ses créatures. Les plus imprévisibles et terrifiantes, héritières dégénérées des monstres du Chorus, s'enfoncèrent naturellement dans les brouillards du Maûne. Les autres, sensibles à la beauté de l'AEldo, choisirent de s'y installer ».

Les personnages rencontrés évoluent donc dans « l'AEldo » du « Troisième Monde », dont l'existence se voit sérieusement menacée depuis qu'une rune mystérieuse, la « Malerune », fut activée une décennie avant que ce récit commence. Depuis, des maladies aussi incompréhensibles que dévastatrices déciment le rang des habitants de l'AEldo. À cela, s'ajoutent les effets rendus imprévisibles de la magie connue jusqu'alors par la lecture de runes et l'envahissement croissant des êtres violents venus du Maûne.
Une quête pour retrouver l'Équilibre est alors entreprise et c'est à ce point précis que débute ce tome. On y rencontre d'abord Hypolus, un puissant magicien, accompagné d'un allié plein de ressource : Hogoerwen'r (nommé Hogo), un lycante. Ceux-ci sont à la recherche de la rune suprême qui sera à même de rétablir les choses. Dans leur recherche, ils font halte au château d'un grand chevalier (Éras Garamont), parti lui aussi en explorateur. Hypolus (se présentant comme étant « Zétide d'Orchomène ») et Hogo y rencontre deux autres personnages principaux : Ariale et Lucia. C'est à ce point précis du récit que l'action débute véritablement avec intrigues, combats épiques et rebondissements.

Pour ceux ayant lu les livres liés à l'univers de l'île de Ji, les liens entre les deux séries apparaissent nettement, notamment au niveau des caractéristiques des personnages : un puissant magicien, un être versé dans l'art du combat, une combattante novice et une enfant ayant un immense talent inné pour la magie.

Par contre, dans cette histoire, il est difficile de sympathiser avec un des personnages : Lucia, une jeune adulte impulsive aux fréquentes répliques aussi cinglantes qu'enfantines dans une confrontation continue (et injustifiée) avec Hypolus et Hogo. Heureusement, connaissant le style de l'auteur, son comportement devrait évoluer… du moins, espérons-le!

En somme, une fois le fonctionnement de cet univers compris, l'histoire provoque un vif intérêt car Pierre Grimbert sait tenir le lecteur en haleine. Difficile de reposer le livre tant la curiosité de ce que nous réserve l'écrivain dans les prochaines pages est forte. Néanmoins, c'est à mon avis une réussite beaucoup moins éclatante que celle de la série « Gonelore » ou, bien entendu, celle liée à l'incomparable île de Ji.
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Deux royaumes régis par la magie, deux mondes créée par les Dieux qui se juxtaposent et ou tout n'est que dualité, avec d'un côté le Maune guidé par le mal et la violence et de l'autre, l'Aeldo où règne le bien et la sérénité. Chacun renferme une rune suprême contribuant à l'Equilibre. Ce dernier est rompu lors de la découverte de la Malerune, entraînant une guerre et des épidémies sans précédent dans le monde de l'Aeldo. L'unique espoir de salut repose désormais sur les chevaliers partis en quête de la Belle Arcane pour contrecarrer les effets de la Malerune. Une quête qui n'est pas sans dangers, les Maûnes essayant d'éliminer tous ceux qui se lanceraient dans l'aventure.
Dans un premier temps, on fait la connaissance de Zétide un mage et Hogo un lycan qui vont composer avec Lucia et Ariale, filles du chevalier Eras de Garamont, une équipe d'aventuriers des plus disparates pour se lancer à la recherche de la Belle Arcane. Autour de ces quatre personnages, l'auteur construit un univers bien élaboré, complexe et cohérent, que ce soit concernant la diversité des personnages et de leurs origines ethniques ou de la dimension des croyances mais se contente sommairement d'en esquisser à grands traits l'ensemble. Avec une illustration particulière de la magie basée sur la description visuelle des runes que les sorciers doivent tracer dans l'air, Pierre Grimbert se cantonne à un registre maintes fois exploité sans le développer plus avant. Dans une longue mise en place non dénuée d'action et de rebondissements mais plutôt imprécise, simpliste et sans originalité, l'improbable quatuor se retrouve au fil des chapitres confronté à de multiples problèmes et doit faire face à de perfides machinations, de la duplicité et d'insolubles préoccupations. Un bref historique nous apprend que les Dieux ont d'abord créé deux mondes, l'Anarein et le Chorus, avant d'en inventer un troisième l'Enarein mais, l'auteur distille ses informations et dépeint le contexte avec une extrême parcimonie, comme si le cadre de l'histoire se réduisait à un château en ruine, un monastère hanté et une forêt mystérieuse. Les distinctes ethnies, les différentes créatures sont insuffisamment développées, la magie peu décrite ni exploitée, tout comme le cadre général du théâtre de l'histoire. L'univers de Pierre Grimbert s'inspire largement de nombreuses mythologies et emprunte librement aux classiques de la Fantasy en mettant en scène des failles entre des mondes parallèles, une magie spécifique ou la quête d'un puissant artefact. Les personnages sont fades, peu avenants et ne sont pas suffisamment approfondis, que ce soit dans leur rôle ou dans leur psychologie. Ils peinent à maîtriser les évènements sont indécis, peu efficaces et leur implications restent floues. Hormis Lucia qui interpelle défavorablement par son caractère franchement arrogant, puérile et Insupportable, aucun des protagonistes ne se distingue véritablement de manière prépondérante. Si Les armes de Garamont reste un ouvrage introductif, il ne s'y passe pas grand-chose malgré quelques bonnes idées, un certain dynamisme et d'éclairantes mais rares révélations. Loin de renouveler le sujet, l'ensemble se révèle beaucoup trop vague, léger et conventionnel pour captiver et se démarquer pleinement.


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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
[i]" Pourquoi [/i]deux cercles[i], me demande-t-on souvent ? Pourquoi les magiciens se sont-ils choisi comme signe de reconnaissance un symbole aussi dénué de sens, sans saveur ni éclat ? Pourquoi ne pas avoir choisi un dragon d'or, une étoile, un joyau, attestant davantage de leur puissance ?
Même le roi de Creste, que l'on considère à raison comme l'homme le plus sage de nos contrées, me posa un jour cette question. Il n'avait pas achevé de la formuler qu'un groupe de courtisans curieux s'assembla autour de ma personne, dans l'attente d'une démonstration brillante ou du spectacle de mon embarras. Je ne devais pas leur donner ce plaisir...
- Sire, demandais-je, voudriez-vous me dessiner un cercle ?
Après avoir fait mander le nécessaire, le monarque s'exécuta en traçant une forme imparfaitement arrondie que chacun, pourtant s'évertua à complimenter. Je sollicitai le même service auprès de tous les membres de l'assistance et, une fois satisfait, tendis de nouveau la plume au roi.
- Maintenant, sire, donnez-vous la peine de dessiner de nouveaux cercles, un pour chacun de ceux que nous avons déjà.
Le monarque posa diligemment la pointe sur la feuille mais, après quelques instants, la retira sans avoir rien tracé. Il avait compris.
- Comment pourrait-il vous satisfaire ? intervint un des courtisans, soucieux d'excuser son roi. Il existe une infinité de façons de dessiner ces nouveaux cercles, par rapport aux premiers. Comment pourrait-il savoir ce que vous désirez au juste ?
- C'est tout à fait cela, répondis-je sur le ton de la victoire. Deux simples cercles, et une [/i]infinité[i] de possibilités. C'est l'essence même des runes... et le meilleur symbole qui puisse être pour les magiciens. "[/i]

[i]Introduction au [/i]Traité de philologie runique[i], vers 2860[/i]
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[i]" Mon jeune apprenti suivait les évolutions de ma main avec une curiosité évidente. J'exagérais volontairement le geste et déployais toutes les ressources de mon talent en traçant courbes, lignes et déliés sur le parchemin encore empreint d'odeurs forestières. Lifer devait constater à quels sommets études et patience pouvaient le porter... La magie est comme tout art, et la passion seule n'y suffit pas; elle ne fait que justifier la peine.
Ayant achevé mon œuvre, je lui tendis avec orgueil afin qu'il la commente. Il en caressa le tracé pendant quelques minutes, silencieusement, s'imprégnant de la puissance du symbole tout en prenant garde de ne déclencher accidentellement son pouvoir.
- Maître... demanda-t-il soudain. Comment.... Comment les runes peuvent-elles accomplir de tels prodiges ? D'où vient donc leur [/i]magie[i] ?
Je succombais à un rire sincère, mais fort déplacé dans cette situation. Lifer guettait gravement ma réponse sans oser mot dire. Aussi n'attendis-je pas d'avoir repris contenance pour le satisfaire...
- Tu commences à peine à apprendre que tu voudrais déjà savoir le plus difficile, lançai-je entre deux hoquets, en me penchant vers son petit visage. Retiens seulement ceci : la [/i]magie[i], c'est l'[/i]écriture[i]."[/i]

[i]Extrait de[/i]L'Alphabet des Parangons[i], 2716-2717[/i]
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Sans lâcher le précieux message, il gagna à grands pas l’une des portes de la salle et l’ouvrit énergiquement. L’un de ses subordonnés, un petit homme dégarni et souriant, travaillait sur une table peu éloignée. L’inhabituelle tension de la voix de Hypolus ne manqua pas de le surprendre.
- Notime, voudriez-vous trouver Hogo pour moi? C’est très important. Dites-lui de me rejoindre au plus vite.
- Bien sûr, maître, assura le secrétaire fidèle.
Ce dernier prit quand même le temps de reposer délicatement sa pointe sur son encrier, puis de repousser son siège, tout aussi précieusement, avant de se diriger à pas tranquilles vers la coursive la plus proche.
- Notime! Le rappela Hypolus, sur un ton allègre. Nous avons des nouvelles d’Eras !
Le petit homme se retourna aussitôt, incrédule, puis rendit à son maître un regard brillant d’excitation. Il extirpa les mains de ses poches et se mit à courir à travers les nombreuses salles de la forteresse.
Tout sourire, Hypolus tira la porte à lui et relut le message, pour la cinquième fois, en cherchant à mettre de l’ordre dans ses pensées.
A qui allait-il pouvoir confier cette mission?
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[i]" Lifer était un élève doué, curieux et passionné. Seule son impatience l'empêchait d'en faire le disciple idéal. Il voulait tout apprendre, tout savoir, tout comprendre et le mettre immédiatement en application...
Je le surpris un jour penché sur le [/i]Compendium[i], s'évertuant à passer et repasser la pointe d'une plume sur la rune qui orne la couverture de l'ouvrage. Me découvrant dans son dos, il feignit l'innocence, mais son regard en disait long sur sa réelle culpabilité. Il savait parfaitement ce qu'il faisait. Tenter de déployer un pouvoir dont on ignore la nature est un acte des plus irresponsables, voire suicidaire. Et cela même ne l'avait pas arrêté. "[/i]

[i]Extrait de [/i]L'Alphabet des Parangons[i], 2716-2717[/i]
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- Le Cœur de l’Ældo, annonça-t-il d’une voix blanche. On cite là-dedans une rune portant le nom du «Cœur de l’Ældo », répéta-t-il en brandissant les parchemins. Comprenez-vous ce que ça signifie?
Tous comprenaient, oui… mais n’osaient y croire. Peu de runes se voyaient attribuer un nom ; en général, seuls les symboles les plus puissants avaient cet honneur. Et le Cœur de l’Ældo, avec un nom pareil, pouvaient être le plus puissant de tous, l’objet de mille quêtes, de dix ans de recherche, de la survie de tout un monde, de l’attention particulière des Dieux.
L’Arcane.
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*** Ils étaient les champions de l'humanité, choisis pour aller implorer l'aide des dieux. Mais pour sauver le monde de la destruction, ils devaient d'abord en affronter les plus anciens dangers. Le monde des hommes est en train de s'effondrer. Quelques royaumes ont déjà disparu à jamais, engloutis par le sol qui s'ouvrait sous leurs cités, réduits en cendres par la lave et les flammes qui composent désormais leur seul paysage. Et toutes les prières, tous les sacrifices, semblent incapables d'y remédier. L'humanité assiste, impuissante, à son crépuscule. Une dernière chose doit cependant être tentée. Une folie, à la hauteur de cette situation désespérée. Chaque nation, chaque territoire a ainsi désigné son champion. Certains sont des sages, des savants, ou des dévots. D'autres sont des mercenaires, des aventuriers, des guerriers ou des chevaliers. Et il se trouve même des rois et des reines… Ensemble, ils vont devoir pénétrer la montagne sacrée, siège du palais souterrain des dieux. Et s'ils parviennent jusqu'aux éternels, malgré les dangers légendaires que renferme cet endroit, ils devront les convaincre de sauver leur monde agonisant. En les suppliant… ou bien en les défiant, si nécessaire.
*** Le Sang des Parangons de Pierre Grimbert Le 26 août en librairie.
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