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Critique de migdal


« Buvons à nos femmes, à nos chevaux, et à ceux qui les montent. » est en France la légendaire et gaillarde éthique des cavaliers.
« La sentence » montre que telle n'était pas l'éthique des officiers de cavalerie américaine en 1925/1950, dans les ex états confédérés.

Pete Banning, lieutenant au XXVI régiment de cavalerie, le 15 janvier 1942, charge les japonais avec sa section près de Bataan.

Prisonnier, il vit l'enfer de la marche de la mort et est considéré comme disparu. Evadé il participe à la guérilla et est grièvement blessé. Cette épopée (magnifiquement résumée dans le second chapitre intitulé l'ossuaire) constitue la trame du roman.

De toute éternité pendant qu'Ulysse guerroie, Pénélope est assiégée... Liza trompe son époux ... à son retour Pete Banning abat Dexter Bell.

Le meurtre est décrit dans la première partie de l'ouvrage d'une plume très procédurière qui nous plonge dans les arcanes du système judiciaire américain.

La troisième partie raconte le destin des familles Banning et Bell après le procès criminel et se conclut en une stupéfiante révélation.

Passionnant page Turner estival cet ouvrage m'a diverti et permis de retrouver John Grisham. La traduction m'a déconcerté par ses coquilles et j'avoue mon étonnement en lisant que Pete Banning et son régiment étaient en 1925/1926 en Allemagne ?
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