Retour en absurdie

Courtes chroniques sur des personnages connus comme Picasso, Greta Garbo, Valérie Trierweiler.
Les jeux de mots sont trop nombreux pour apprécier le texte.
En lisant, cela est supportable mais à l'écoute, ça l'est moins.
Je trouve qu'à la manière de Raymond Devos, Stephande de Groodt devrait encadrer ses joutes verbales dans une histoire qui tient le lecteur ou le spectateur en haleine et diminuer le nombre de jeux de mots sur une ligne.
Fatigant !!!

Il y a des ouvrages comme ça ... qui ne passent pas. Oui, cela arrive.

Ayant déjà lu des chroniques humoristiques (notamment de Stéphane Guillon), je me suis dis que Retour en absurdie allait me divertir. Malheureusement, c'est l'inverse ...

Stéphane de Groodt peint des portraits de célébrités (mortes) ... il va à leur rencontre en jouant sur les mots, sur les sonorités et la prononciation. Pour le coup, à l'écoute c'est poilant mais à la lecture, c'est lassant.

Le livre est composé d'une première partie de portraits puis d'une seconde partie composée du courrier des téléspectateurs. J'avoue n'avoir pas lu l'intégralité des portraits. En revanche, le courrier des téléspectateurs m'a fait rire (même si bien entendu, c'est aussi de sa plume).

Il en faut pour tous les goûts comme on dit et là, ce livre n'est pas du mien.

Je remercie Babelio pour l'organisation des masses critiques car c'est dans ce cadre que Retour en absurdie a rejoint ma bibliothèque.