Le personnage principal a 7 ans au début du roman et c'est pour moi un alter ego du petit Nicolas de
Sempé et Goscinny.
Ses réflexions et son regard portés sur la Bulgarie de la fin des années 80 sont réjouissantes de drôlerie et de justesse. Je suis tombée totalement sous le charme de cette petite narratrice.
Avec ce premier roman,
Elitza Gueorguieva montre une grande dextérité à se fondre dans la peau d'une enfant et c'est avec beaucoup d'intelligence et de finesse qu'elle nous plonge dans la Bulgarie post communiste.
J'ai ri, j'ai été touché et j'ai découvert un peu mieux une facette de ce pays que je connais peu.
Que demander de plus …
Hâte de lire le prochain roman !
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