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EAN : 9782228908825
311 pages
Payot et Rivages (03/04/2013)
4.07/5   46 notes
Résumé :
Auteur de plusieurs ouvrages de référence sur le cinéma américain, et notamment le film noir, fondateur de la revue Polar, lauréat du Ellery Queen Award en 1997 et surtout éditeur des auteurs les plus prestigieux du genre aux Éditions Rivages, François Guérif est aujourd'hui sans doute l'un des plus grands spécialistes français du roman policier.
Au fil de ces entretiens à bâtons rompus avec le journaliste Philippe Blanchet, François Guérif revient sur la gen... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (18) Voir plus Ajouter une critique
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Ce livre d'entretiens de François Guérif avec Philippe Blanchet est une plongée formidable dans l'univers du polar. Cinéphile, référence du polar, Guérif démontre que le polar n'est pas un genre mineur, ce qu'il a été considéré pendant pas mal d'années. Anecdotes, rencontres, réflexions sur l'évolution du genre reflet de notre société, il nous parle de sa passion, avec une gourmandise et un plaisir qu'il sait partager. La liste de cette collection est vertigineuse et impressionnante. En fin d'ouvrage, les incontournables choisit par le fondateur de cette très belle collection Rivages/noir. Un bouquin de référence même si l'on peut ne pas être toujours d'accord sur tel ou tel auteur. C'est aussi l'intérêt de ce N° 1009. Vraiment plaisant.
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Collection devenue mythique, Rivages/Noir (puis Rivages/Thriller pour les grands formats) méritait bien que l'on s'attarde sur son fondateur. C'est chose faite avec ce livre d'entretiens entre Philippe Blanchet côté interviewer et François Guérif.
Si l'on n'échappe pas à l'exercice d'autopromotion à légère tendance hagiographique (il s'agit tout de même d'un livre sur et en grande partie par Guérif et sur Rivages publié chez Payot), le lecteur curieux des choses de l'édition et surtout d'une tranche de l'histoire du polar et de sa diffusion en France y trouvera largement son compte.

Passionnant, mené comme une discussion à bâtons rompus, du polar aborde autant le travail de libraire et d'éditeur de François Guérif, depuis la librairie Au troisième oeil jusqu'à Rivages, en passant par Red Label, que la vision que peut avoir l'éditeur et amateur éclairé du polar français d'après-guerre, du néopolar, du polar anglais, des problèmes de traduction ou de la figure du détective. Bref, une succession de chapitres stimulants où les petites anecdotes viennent éclairer le propos plus général, pimenter le discours et où l'on voit se dessiner le paysage complexe de l'édition de polar de ses quarante dernières années et la façon dont Rivages a participé de sa transformation.
Surtout, François Guérif revient inlassablement sur les auteurs qu'il aime : Goodis, Thompson, Robin Cook, Robert Bloch, Fredric Brown, James Cain, Pierre Siniac, Edward BunkerEllroy bien sûr auquel Rivages doit tant et réciproquement. On apprend, on se passionne, et on se dit que ce bouquin est une formidable publicité pour les éditions Rivages (c'est simple, à peine l'a-t-on lu que l'on a déjà acheté pas loin d'une dizaine de romans évoqués par Guérif).
Bien sûr, on pourra reprocher cette forme d'autopromotion et regretter que François Guérif oublie de préciser que le retour de Kenzie et Gennaro était loin d'être à la hauteur des précédents volumes de la série de Lehane, qu'il omette de parler de certains auteurs à notre avis marquants comme Charles Willeford ou Tim Dorsey (ben oui, quand même) et d'autres dont il doit avoir envie d'oublier qu'il les a édité (Helen Knode, bon sang…), mais le fait est que l'on se laisse emporter avec plaisir par la passion de Guérif, sa fidélité à ses auteurs (on pense notamment à Cesare Battisti) et à ses idées sur le polar, son opiniâtreté à défendre James Cain, Goodis, Thompson ou Siniac

Du polar se lit d'une traite, avec délectation et se révèle être un document de valeur pour tout amateur de roman noir, qu'il désire élargir le champ de ses lectures, s'interroger sur cette littérature (quitte à ne pas être toujours d'accord avec l'auteur dont on se dit qu'une discussion avec lui doit être en tout point passionnante), tout comme pour le néophyte qui trouvera là de quoi se constituer une bibliothèque idéale pour se familiariser avec le genre.

Lien : http://www.encoredunoir.com/..
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Il faut prendre François Guérif comme un "producteur" (il se définit d'ailleurs ainsi, ou un "publisher") , un passionné usant ses fonds de pantalon dans les cinés de quartier, s'évertuant à voir les films en VO (américaine) pour parfaire aussi son Anglais auquel il se croyait destiné comme enseignant : mais, last, but not least, l'homme est dévoré par sa passion.
Guérif c'est une tranche de vie spectaculaire, un aventurier mais aussi un justicier, redresseur de torts de la série Noire (par exemple) et de ses traductions amputées....
Insensible aux compliments, fidèle à ses auteurs qui lui rendent son acharnement amical et même paternel, il a construit lui-même et souvent seul sa maison au prestige inamovible (Rivages Noir et Thriller) ... a fait traduire les auteurs qui comptent dans la planisphère. 1000 livres à peu près à ce jour et au moins 100 auteurs contemporains importants ! On sort de ces entretiens avec le sentiment coupable de pas avoir assez lu, de devoir aller plus loin, hors de nos frontières habituelles ...
En France, Big François nous a fait découvrir Pagan, Oppel, Dessaint, Villard, et d'autres encore, tous enfants (malgré eux ?) de l'immense Jean Patrick Manchette.
Guérif est un cinéphile des plus accomplis, un biographe (impeccable sur Cain), un critique ( voir certaines de ses interventions sur des films DVD mal connues (hélas) que son regard éclaire. ... Qu'ajouter ? Sa magnifique fidélité à James Ellroy, à Bunker, à Cook (son ami), son acharnement à nous faire revivre les "oubliés" (temporaires) comme Léo Malet, Siniac, faire resurgir les alcoolos géniaux comme Goodis, ou encore revisiter Chester Himes, Charles Williams et autres... ou encore son admiration pour le déjanté de génie noir Jim Thompson à qui il rendra justice dans des traductions intégrales.... j'en passe : une chose est certaine : Guérif cherche à dénicher encore et encore une ou des perles rares : du style et encore du style ! ... avant l'intrigue dont il se fout un peu sans doute. C'est plus qu'une oeuvre que nous laisse cet homme à qui l'on souhaite au moins dix ans d'activité encore, à notre bonne santé. Guérif a restitué ses Lettres de Noblesse - longtemps mésestimées - à la Littérature Noire. Sa maison c'est déjà une Cathédrale !
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Polars en rafales.
Trônant sur un présentoir des éditions Rivages/Noir dans l'attachante librairie corrézienne « Vivre d'art », à Meymac, les entretiens, enregistrés en 2012, du pape du polar François Guérif avec le journaliste Philippe Blanchet, accroche le regard avec en couverture la belle photographie mangée d'ombres du très estimé directeur de collection chez Payot & Rivages.
Le livre est passionnant de bout en bout. François Guérif ouvre des portes qui débouchent sur des continents vierges. Ses éclairages de lecteur boulimique et d'éditeur averti sortent de l'oubli bien des oeuvres mises en parallèle des auteurs dont la vitalité réciproque se nourrit. Si François Guérif expose les premières lectures marquantes de sa jeunesse avec « L'île au trésor » de Stevenson, « le mystère de la chambre jaune » de Gaston Leroux ou encore les aventures de Sherlock Holmes, c'est à l'adolescence quand le polar se conjugue au cinéma américain qu'il est loisible pour lui de passer de l'image à l'écrit, du film à l'oeuvre qui l'a inspiré. En dévidant le fil des souvenirs, un auteur en appelle un autre, Conan Doyle créant une mythologie autour de Holmes, amenant à ses continuateurs comme Rex Stout et son détective en fauteuil Nero Wolfe. Dès le deuxième chapitre, François Guérif associe son travail de libraire et d'éditeur aux découvertes majeures que sont David Goodis (1917-1967) [« La nuit tombe » (1947), « Sans espoir de retour » (1954)], James Cain (1892-1977) [« le facteur sonne toujours deux fois » (1934)], Fredric Brown (1906-1972) [« La fille de nulle part » (1951)] ou encore Robert Bloch (1917-1994), l'auteur de « Psychose » (1959), fameux roman adapté au cinéma par Alfred Hitchcock en 1960 mais occultant par contrecoup toute une production littéraire pourtant remarquable [« La nuit de l'éventreur » (1984), « Autopsie d'un kidnapping » (1954)]. Les chapitres défilent et les auteurs jaillissent, comètes éblouissantes enrichies d'anecdotes éclairantes : Jim Thompson, Donald Westlake, Tony Hillerman, James Ellroy, nombre d'auteurs français avec Léo Malet, Paul Siniac, Frédéric Dard, Jean-Pierre Manchette, etc. Souvent, les traductions françaises ont été tronquées, fautives et il convient de revoir la copie en proposant de nouvelles traductions qui mettent en valeur les qualités littéraires. La rencontre entre Ellroy et Guérif est unique et se traduit par une confiance mutuelle inébranlable. A mesure que le catalogue chez Rivages Noirs s'étoffe, les auteurs retrouvent leur envergure à l'exemple de James Lee Burke, Edward Bunker, Dennis Lehane ou James Crumley. Robin Cook, écrivain de romans noirs anglais occupe tout un chapitre dans le panthéon de François Guérif. le polar nordique est esquissé. L'ouvrage se conclut sur une bibliographie sélective des polars marquants. Les entretiens constituent une mine inépuisable, un auteur en hélant un autre, déployant les livres dans un tourbillon enivrant.
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Guérif François – "Du polar : entretiens avec Philippe Blanchet" – Payot&Rivages/Rivages-noir, 2016 (ISBN 978-2-7436-3600-5) - Réédition en format poche de l'ouvrage paru en 2013 dans la collection "Manuels Payot" (ISBN 2-228-90882-7)

Un ouvrage incontestablement fort utile, si ce n'est incontournable, pour les amateurs du genre roman policier ou roman noir, et même pour l'histoire de l'apparition et du développement de ce type de littérature en France après 1945. Avant d'en détailler les mérites, il convient toutefois d'en préciser deux fondements.

Le premier, c'est que l'auteur base ses réflexions sur le postulat de la prééminence de l'apport états-unisien dans ce genre. Pour lui – comme pour de nombreux autres historiens de ce sujet – la littérature dite "noire" est apparue aux États-Unis : pendant longtemps, les auteurs francophones se frottant au sujet n'auraient fait que décalquer ce qui se faisait Outre-Atlantique. Pour ma part, bien que n'étant pas du tout spécialiste de ces questions mais uniquement lecteur relativement assidu, je me demande souvent dans quelle mesure ce postulat est fondé : je pense qu'il faudrait creuser la question de façon plus exhaustive, car Guérif lui-même admet qu'il y eut tout de même des précurseurs européens.

Le deuxième, c'est que François Guérif est né en 1944, qu'il fait donc partie de cette génération intellectuelle qui campe toujours sur ses positions plus ou moins soixante-huitardes de gauche radicale. Pour lui, le roman noir doit refléter la "société pourrie dans laquelle nous vivons", il doit servir à remuer et exhiber la corruption, les vices et tout et tout ce qui caractériserait spécifiquement notre époque. Ce point de vue a marqué toute une génération, et continue d'être prééminent dans la plupart des cercles cultureux : il constitue l'un des piliers de ce qui est devenu une bien-pensance obligatoire, quelque peu hypocrite (puisque ces mêmes dénonciateurs pourfendeurs sont le plus souvent pleinement intégrés dans ce système au point d'y faire fortune ou au moins d'en vivre fort correctement).
Pour conclure sur ce point, je tiens à souligner qu'ayant vécu les années de plomb dans l'Allemagne de la bande à Baader-Meinhof, je ne pourrai jamais être d'accord avec la position de François Guérif sur l'affaire Battisti.

Ces points étant éclaircis, il convient de souligner les grands mérites de ce livre de témoignage. A commencer par le fait que l'auteur fut lui-même un acteur clé de ce secteur éditorial, et qu'il sait en rendre compte (avec Philippe Blanchet) – d'une manière extrêmement vivante : c'est passionnant, ça se lit comme un (excellent) polar !!!
Autres mérites (liste non exhaustive) : les propos de Guérif fourmillent de précieuses remarques stylistiques, de précisions historiques, de citations des oeuvres visées, d'exemples concrets, de mises en relations avec le cinéma et les films tirés de ces romans : évidemment, c'est un témoignage subjectif, et c'est excellent précisément parce que cette subjectivité est délibérément assumée. L'ouvrage se termine d'ailleurs par une liste "les polars de ma vie" mentionnant ce que Guérif considère être à ses yeux les cent meilleurs polars.

Seul bémol : Blanchet et Guérif devraient maintenant s'atteler à un même témoignage, centré cette fois délibérément sur les polars et romans noirs européens...

Tout lecteur acharné de roman noir et/ou de polar ne peut que rendre hommage au travail effectué par François Guérif durant toutes ces décennies, sans ménager sa peine ni jamais renoncer à prendre des risques en tant que responsable, successivement, de diverses collections, dont la dernière "Rivages/Noir" ne publie quasiment que des bons titres.
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critiques presse (2)
Liberation
17 juin 2013
A 68 ans et malgré un catalogue royal au sommet duquel trône James Ellroy, Guérif ne fait pas la leçon en surplomb, il raconte une vie d’engouements pour des livres mais aussi leurs auteurs et c’est vivant comme un film.
Lire la critique sur le site : Liberation
LeFigaro
25 avril 2013
Guérif n'est pas un redresseur de torts. C'est un fou de littérature et de cinéma. Une encyclopédie sur pattes. Un homme qui a du flair.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
Et ça vaut le coup de le relire aujourd'hui Siniac ?
Ah c'est formidable, génial. Il faut absolument lire Femmes blafardes, un de ses plus beaux livres. Et La course du hanneton dans une ville détruite. Et Bon cauchemar les petits. Et Luj Inferman. Ce qui est drôle, c'est quand on a réédité Luj Inferman, Siniac m'a dit qu'il voulait revoir le texte. Quand il m'a rendu le manuscrit, je me suis aperçu qu'il avait enlevé les trucs les plus délirants. Alors, je lui ai dis : "Pierre, pourquoi as-tu fait ça ?" Et il me répond : "Oh ! tout de même, je trouve que je poussais le bouchon un peu loin" (rires) alors je lui ai conseillé de pousser le bouchon !
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Un jour (James Cain) il rend visite à un de ses amis, Vincent Lawrence, qui lui raconte qu'il attend un colis, mais qu'il saura quand le facteur sera là, parce que le facteur sonne toujours deux fois. Et soudain Cain s'exclame :"Vincent vous venez de me donner le titre de mon roman!"
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Au-delà de tout cela, tous ces polars constituent le meilleur reflet de la société, dans toute sa complexité. Je pense que si aujourd’hui on veut parler du monde, il faut entrer dans le monde du polar. Au moment où on a l’impression que le monde déraille complètement, le roman noir s’attache à décrire cet instant. Les adversaires du roman noir vont dire que ce succès tient au fait que c’est facile à lire – ce qui n’est bien sûr pas toujours le cas. En fait, ce qui fait la richesse inépuisable du roman policier, c’est qu’il s’est adapté à toutes les époques sans jamais faiblir. Corneau, dans la préface qu’il m’avait écrite pour un bouquin sur le film noir américain, disait : « Peu importe la sauce à laquelle on veut me le fourguer, SF, fantastique, épouvante, drame psychologique, au goût du jour, je ne dis jamais non. Le polar est un virus qui s’infiltre partout, même dans les citadelles apparemment les mieux protégées. » Je partage cette idée. En fin de compte, j’aurais tendance à faire la même remarque que Robin Cook : je me rends compte que, personnellement, 80 % de ce qui m’intéresse dans mes lectures, c’est du roman noir. Voilà…
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A la fin,la salle était bouleversée. Je n'oublierai jamais les mots de la fin. John Williams a dit : "Arrêtez, je vois que vous êtes bouleversés, il ne faut pas, la mort de Robin Cook n'a rien eu de triste. Elle s'est passée comme ceci : l'infirmière s'est penchée sur lui pour changer le goutte-à-goutte. C'était une très jolie femme. Il l'a regardée et il a dit : "My dear, your hunsband is a lucky bastard !" Et il est mort."
.
http://www.babelio.com/auteur/Robin-Cook-II/132764
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C'est là où le roman policier et le cinéma noir sont les genres qui reflètent le mieux leur époque : ça se gâte, parce que le crime, dans la réalité, a changé de visage. Terminé les petits voleurs des années cinquante, les petits pickpockets sympas. On tombe désormais sur de terribles serial killers, d'horribles violeurs, sur des crimes absolument abominables... Tout ça sur fond de misère sociale. Et au fur et à mesure que ces crimes s'aggravent, les policiers changent.
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Videos de François Guérif (37) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de François Guérif
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