Après avoir lu le livre d'Eugène Saccomano Bandits à Marseille, j'ai poursuivi avec ce texte au positionnement flou entre témoignage, biographie et autobiographie puisque qu'il reprend les propos de
Marie Christine Guérini, fille de Barthélémy alias Mémé.
C'est probablement à cause de ce point de vue que je n'ai pas réussi à me passionner pour cette lecture qui manque à mon sens de distance critique pour être intéressante. Difficile de trouver le juste ton pour évoquer des histoires de famille aussi atypiques.
Les grands épisodes de
la saga Guérini, qui ont marqué le banditisme marseillais, sont surtout survolés, peut être par délicatesse pour éviter de mettre en cause les personnages qui restent la famille proche de l'autrice.