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Quelle surprise pour moi de constater qu'il ait fallu attendre le XXème siècle (et même sa seconde moitié) pour réellement commencer à traiter ce point d'hygiène ! Et cela par seule pudibonderies bourgeoise et religieuse bien sûr... |
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Quelle surprise pour moi de constater qu'il ait fallu attendre le XXème siècle (et même sa seconde moitié) pour réellement commencer à traiter ce point d'hygiène ! Et cela par seule pudibonderies bourgeoise et religieuse bien sûr... |
![]() | rkhettaoui 24 février 2014
Le pot de chambre continue sa carrière avec cependant la substitution de la faïence et de la porcelaine au métal qui finissait par sentir. On en trouve en Chine, en Saxe, en Delft et les diverses manufactures royales fabriquent de belles séries de ces objets, trop rarement visibles aujourd’hui : ils figurent parmi les cadeaux les plus appréciés.
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![]() | rkhettaoui 24 février 2014
Ces considérations pudibondes auraient bien amusé l’écrivain Henry Miller : il a été le thuriféraire le plus exalté des vespasiennes qu’il adorait avant de les avoir utilisées : « Comme ça doit être charmant, s’exclamait-il, d’uriner en pleine rue en regardant passer les jolies femmes ! »
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![]() | rkhettaoui 24 février 2014
La chasse d’eau, qui emporte tout, et les exigences nouvelles de l’hygiène corporelle, combinées avec le développement de l’industrie papetière, devaient fatalement provoquer la naissance du papier désigné par la lettre Q dans le catalogue des normes françaises.
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![]() | rkhettaoui 24 février 2014
Il est très incivil de laisser sortir des vents de son corps, soit par haut, soit par bas, quand même ce serait sans faire aucun bruit, lorsqu’on est en compagnie. Il est honteux et indécent de le faire d’une manière qu’on puisse être entendu des autres.
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![]() | rkhettaoui 24 février 2014
Les lieux qui sont naturellement les plus dégoûtants sont ceux où l’art a fait le plus d’efforts pour en éloigner toute espèce de désagrément ; et l’une des plus jolies statues décernées par la République est celle qu’on aperçoit, dans toutes les maisons, au-dessus de la porte d’un petit cabinet charmant, pour éterniser le nom d’une femme inventeur d’un procédé pour chasser les odeurs fétides.
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Autant en emporte le vent, de Margaret Mitchell