Son premier recueil, Veines, composé en 1962, l’année ses vingt ans, publié deux ans plus tard et repris peu après dans Alyscamps (Mercure de France, 1966), lui vaut d’emblée l’admiration des plus grands : André Pieyre de Mandiargues, Yves Bonnefoy, Gaétan Picon lequel décèle en lui « la voix la plus personnelle et la plus persuasive qui ait surgi depuis des années » (1963).
La présente réédition reprend le corpus de l’OEuvre poétique de Guibbert rassemblé en... >Voir plus