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J'abandonne.
J'en suis à la page 141 (plus de la moitié du livre), et de deux choses l'une : soit je n'ai toujours pas compris où l'auteur veut en venir, ni quel est exactement le sujet du livre, soit c'est tellement simple et bateau que c'en est navrant de platitude... Dans les deux cas, c'est un gros loupé en ce qui me concerne...

Le style, qui se veut poétique, m'est totalement hermétique, à la limite du non-sens parfois, de mon point de vue. Trop de "or", de "néanmoins" mal placés, surnuméraires souvent. Bref, plutôt maladroit...

Je n'arrive pas à m'attacher à l'héroïne falote, d'une superficialité trop pénible pour moi, alors qu'elle se veut profonde... Tout se répète sans arrêt au fil des pages, sans que rien n'avance.
Et l'exercice de style pour l'exercice de style, très franchement, j'en ai rien à braire. Que les auteurs se fassent plaisir, soit, mais s'il n'y a même pas une véritable histoire prenante à laquelle se raccrocher, ce n'est pas pour moi...
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A l'aube de l'été 1210 une jeune orpheline rêve devant la beauté de la nature. Dans l'ombre de la forêt, elle rencontre ...
Lien : http://autrecotedumiroir.net..
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J'ai choisi ce livre pour deux raisons : la première qui est la plus évidente, celle qui saute aux yeux c'est-à-dire la couverture ; je la trouve très belle, je ne suis pas une fan du jaune pourtant, elle colle parfaitement avec le résumé et encore davantage à l'histoire, une couverture aux couleurs de l'automne, cette mort progressive de la nature. La seconde raison en est le résumé : j'aime le côté légende bretonne, l'allusion au Moyen Âge littéraire.

J'ai eu un peu de mal à me plonger dans l'histoire au début, toujours dû à mon planning de fou, mais très vite et du moment où je me suis accordée du temps pour le lire, j'ai eu énormément de mal à m'arrêter ou à passer à mes autres lectures en cours.
Dans les premières pages, la plume de l'auteur m'a interpelée mais je n'étais pas certaine d'aimer son style, les choses ont changé en avançant dans ma lecture : ses mots prennent de l'ampleur à mesure que son personnage grandit et m'ont envoûtée.
J'ai beaucoup aimé Enora, elle oscille entre ses rêves, ses espoirs, ses visions et la cruelle réalité qui l'entoure et finit par avoir raison d'elle. L'auteure est parvenue à décrire un personnage complexe et complet, à instiller ses émotions, ses sentiments au lecteur sans pour autant tomber dans le pathos, et ce, dans un univers médiéval dans lequel on se serait cru ; je l'ai trouvée très juste dans les ressentis décrits par Enora.
Pourtant, ce n'est pas le genre de personnage auquel je m'attache habituellement : elle subit un peu trop à mon goût et n'est pas suffisamment active de sa propre vie, mais à l'époque, le rôle des femmes n'était pas différent. Je n'ai qu'un regret : elle n'est pas devenu la guérisseuse émérite que son enseignement aurait dû produire et la sortir de la servitude dans laquelle sa condition l'a menée, mais ce n'est qu'un détail, ça ne change nullement le plaisir que j'ai ressenti à suivre cette orpheline que ce soit dans le bien-être que lui procurait ses fuites à travers les bois ou dans l'horreur dans laquelle sa situation l'a conduite.

C'est un coup de coeur pour ce roman, je suis ravie de l'avoir découvert.
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Entrez dans le monde d'Enora, ses aventures se déroulent au Moyen-Age, c'est une jeune femme qui a un coeur balancé par des amours compexes mais beaux, elle fait de merveilleuse rencontre et est partagée par ses craintes et ses peurs ...
A lire pour en savoir plus !
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Une belle réussite.

Acheté sur le SDL Paris 2018, ce livre m'avait tapé dans l'oeil pour sa couverture, tandis que le vendeur finissait de me convaincre en me vendant habillement l'histoire.

J'ai acheté les 3 livres de la collection en même temps ("Réminiscence" et "Jusqu'à la fin des temps") et je dois dire que ce dernier est clairement mon préféré...

Il souffre pourtant des mêmes bémols que les précédents, avec des passages descriptifs trop long, et une écriture plus narrative qu'active. Mais ces défauts n'ont pas entaché ma lecture, tant l'histoire m'a happée. En effet, ce livre est le plus sombre de la collection et j'ai adoré.

Nous retrouvons là encore du mystique, du magique et du mystérieux, mais le tout saupoudré de famille et de péché ! Bien que le secret soit rapidement deviné, je n'ai pu lâcher ma lecture afin de voir jusqu'où l'auteur allait nous mener. Et autant vous dire que la fin est une vraie réussite !

En bref, à mon sens, le meilleur livre de la collection, mais âme sensible s'abstenir !

Bonne lecture à tous.
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Nous sommes en 1210. Enora est une orpheline élevée par une villageoise rude et violente. Sans passé, sans avenir, elle s'émerveille de la contemplation de la nature et de ses beautés. Un jour, au cours d'un orage, voici que le monde autour d'elle s'estompe et qu'un univers nouveau lui apparaît: une dryade, magnifique créature vivant dans un cerisier, la prend sous sa réconfortante protection. Pour celle qui se demande à quoi bon vivre dans la misère, souffrir, n'avoir aucune joie dans la vie, quel bonheur d'envisager qu'une telle créature puisse venir la chercher et l'emmener avec elle! Mais sa destinée est tout autre. La guérisseuse du village voit une marque inhabituelle au creux de ses reins, qui lui rappelle une terrible prophétie. Les choses se précipitent lorsque le seigneur Josselin de Kerjean l'embauche comme nouvelle chambrière. On dit qu'il a fait jeter la précédente du haut de la falaise…

Au risque de spoiler, j'ai pris le parti de faire un résumé un peu plus complet que ce que l'on trouve habituellement sur ce roman, car même si la seule plume de Céline Guillaume me promettait un bon moment de lecture, j'ai été un peu frustrée par la quatrième de couverture qui m'a empêchée de savoir de quoi parlait il parlait. Oui, je suis pragmatique, j'aime quand il y a une histoire à suivre. Et l'histoire de cette héroïne a de quoi surprendre. Tout commence comme dans un conte de fée, avec une héroïne à la Cendrillon sur laquelle la vie semble s'acharner et qui voit surgir une bonne fée en la personne de cette dryade lumineuse et radieuse. On s'attend bien sûr à ce que tout tourne en sa faveur, et pourtant… La langue onirique, soignée, ciselée de Céline Guillaume nous fait la surprise de plonger son héroïne dans un univers cruel, violent, sanglant, sadique. Car le Moyen Age de Céline Guillaume n'est pas seulement féérique. Certes, on y croise des prophéties, des créatures issues d'un autre monde, des guérisseuses obscures, toute faisant de la femme un être aussi beau que mystérieux. Mais c'est aussi la période des guerres sans pitié, des terres conquises au prix de massacres sans scrupules, de la domination et des tortures. le seigneur de Kerjean, dont on parle longtemps, que l'on redoute longtemps avant de le voir apparaître, cristallise ces deux aspects, par son passé obscur et sa réputation terrifiante. le trajet d'Enora ne cesse d'osciller entre émerveillement mystique et violence prosaïque, et en refermant le livre, j'en ai été ébranlée profondément. Et je le dis tout net avec toute ma subjectivité de lectrice: la fin m'a déplu! Elle est parfaitement réussie, mais de manière purement affective, j'aurais vraiment aimé que le livre se termine autrement.
Ce qui m'a par contre un peu gênée, ce sont les coquilles que j'ai vues se glisser dans le livre et sur lesquelles j'ai buté. Les Editions du Riez gagneraient à proposer à ce livre une relecture supplémentaire.
Lien : http://mabouquinerie.canalbl..
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Le Ballet des Âmes commençait plutôt bien, sous la plume fantastique de son auteure, à la fois simple, élégante et poétique, qui, dès les premières pages, nous charme et nous emmène aux côtés d'Enora, à travers des paysages sublimes. Allergiques au paysagisme littéraire, passez votre chemin, car ici, des descriptions de paysage, il y en aura beaucoup; ils constituent même environ la moitié du roman. le passage des saisons, la beauté de la lande bretonne, l'onirisme de chaque rencontre avec (), Céline Guillaume possède un indéniable talent, celui de faire de son texte une merveilleuse ode à la nature.
Malheureusement, c'est bien la seule et unique chose qu'il y a à retenir de ce roman...

Passé l'introduction, plutôt intéressante, où Enora échappe de justesse au massacre pour se retrouver directement... dans l'antre du responsable, le récit s'embourbe de plus en plus dans le cliché, avec de plus en plus de maladresse. Les histoires de légendes et de prophéties, c'est bien gentil, mais mal géré, ça peut très vite ruiner une histoire et ici, ça n'a pas loupé.
A partir du moment où Urielle raconte certaines choses à Enora, le lecteur devine d'emblée à peu près tous les éléments de l'intrigue. Mais Enora, elle, en bonne simplette, ne pige absolument rien, alors même que le personnage n'est pourtant pas une sotte, et même assez portée sur la réflexion et la rêverie. Illogique donc, mais ce n'est pas le pire...
Puisque Enora n'a rien compris, et que tout, dans cette histoire, n'est pas le fruit du hasard mais bien du destin, elle encaissera sans réagir tout ce qu'il lui tombera dessus, avec une combativité et un désir de vivre à peu près équivalents à celui d'une bernique (et encore, la bernique, elle, essaie de se protéger en se gluant à son rocher, ce qui n'est pas le cas d'Enora). le problème, c'est qu'à force de s'enchaîner, ses malheurs en deviennent involontairement cocasses tant cette accumulation paraît forcée ().
En outre, la jeune fille a la fort pratique faculté de toujours être en vadrouille dans les bois pour échapper aux évènements fâcheux, et de toujours revenir pile au bon moment (). Une fois ou deux, passe encore, mais quatre ou cinq fois, ça sent l'ellipse mal déguisée. Tout comme le fait de lui octroyer une vision d'un certain personnage, dont on se doute forcément qu'il apparaîtra un peu plus loin dans le récit, et qu'il aura son importance, gâchant ainsi tout effet de surprise (sauf pour Enora bien entendu, qui comme d'habitude ne comprend rien à rien). Et quid de lui rendre sa voix au moment le plus opportun, c'est à dire juste après que cela ne serve plus à rien?

Bref, contrairement à ce qu'annonçait le résumé, Enora ne tient pas les fils de l'histoire: elle y est plutôt engluée comme un vulgaire moucheron sur la toile d'une araignée, empêtrée dedans, n'ayant pas la moindre idée de comment s'en sortir et n'essayant de toutes façons même pas. On a envie de la baffer, de la secouer, de lui faire réaliser les quelques chances qu'elle a à côté de sa certes très incroyable poisse (), et la relative empathie que l'on pouvait ressentir pour elle au départ se transforme finalement en consternation totale. A vouloir trop en faire, Céline Guillaume a hélas rendu Enora totalement horripilante. Et ce n'est pas la conclusion qui rendra le récit moins "WTF"!

C'est dommage, car à côté de ça, il y avait aussi d'excellentes idées: la place occupée par la nature dans le texte est tout sauf anodine et le passage des saisons est une allégorie flagrante de la vie elle-même, où le printemps représente le début et le recommencement, et l'hiver, la fin. Quel dommage que l'auteure ait cru indispensable de ruiner la subtilité et la poésie de son propos en l'exposant, pour les deux distraits du fond qui à ce moment de l'histoire n'auraient pas encore percuté, en toutes lettres dans la bouche fataliste de son héroïne.

Un gâchis, à l'image de l'ensemble du roman au final, ruiné par des évidences là où l'ombre aurait été préférable, de l'exagération là où la modération aurait été plus efficace, et que ses merveilleux paysages ne suffisent malheureusement pas à sauver.
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Enora est une jeune fille orpheline qui n'a pas une vie très facile. le jour où elle va rencontrer une dryade dans un magnifique cerisier, sa vie va en être boulversée et son destin changé. Quand des évènements vont l'ammener à rencontrer de nouvelles personnes, le secret de sa marque mystérieuse va lui être dévoilé.


L'histoire qui se déroule au 13ème siècle m'a tout de suite plus car j'aime beaucoup ce côté médiéval. le petit plus est ce côté fantastique qui rajoute une touche de magie à ce roman sans parler de la couverture qui est vraiment jolie. Certains passages sont assez sombres et sanglants, quand les massacres nous sont décris. La fin est triste et belle à la fois.


Côté personnages j'ai immédiatement été conquise pas Enora, une jeune fille qui s'accroche à la vie malgré ce qui lui arrive. Au fil des pages, Enora évolue est devient une femme bien trop tôt pour elle. Nous fesons la connaissance de nombreux personnages qui sont plus ou moins important dans l'histoire et à Enora.


Le style de l'auteur est tout simplement magique et très poétique. Dès le début de ma lecture, je me suis laissée transporter en Bretagne. Je vous conseille vraiment de lire ce livre et de l'apprécier autant que moi je l'ai étais. Les pages ont défilé bien trop vite à mon goût et dur de refermé le livre une fois lu.
Lien : http://rever-en-lisant.blogs..
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C'est plutôt mitigée que je sors de cette lecture estivale. Pourtant j'avais été emballée par les commentaires lus sur la toile et par le résumé sur la quatrième de couverture! Si j'ai aimé la plume de Céline Guillaume, j'ai toutefois moins apprécié l'histoire qu'elle nous livre ici.

Le roman met en scène une héroïne Enora. L'histoire est racontée de son point de vue. Enora est une jeune fille, orpheline, recueillie par une tenancière d'auberge la Gerbaude, qui n'hésite pas à maltraiter la fillette. Aussi, Enora se sent comme une moins que rien. Elle nous livre ses pensées et nous fait part de son mal-être. Elle se trouve laide, maigrichonne et pense que personne ne s'intéressera à elle. Seules ses virées dans la forêt l'apaise. Un jour, elle y rencontre une sorte de dryade qui lui confie un secret. Enora n'est pas une fille comme les autres: elle a une mission et possède quelque chose en plus.

Si j'ai aimé l'introduction du récit qui nous présente Enora, ses conditions de vie, j'ai cependant décroché à partir du moment où elle rencontre cette fameuse dryade. D'abord la révélation de la nature extraordinaire d'Enora ne prend que quelques phrases. de plus, Enora accepte son destin sans broncher comme si tout était naturel. C'est cela qui m'a le plus dérangée. J'ai trouvé les dialogues trop superficiels, trop simples. Les choses se déroulent tout naturellement alors qu'Enora aurait pu protester ou se poser des questions. Tous les personnages agissent de la même manière et c'est très étrange: ils acceptent la réalité d'emblée comme une évidence. J'ai trouvé ça dommage car l'histoire paraît un peu bâclée.

De plus, j'ai trouvé que l'emploi de la focalisation interne était un mauvais choix. Enora se pose sans cesse des questions par rapport à sa condition d'humaine. Quelquefois, ces interrogations apparaissent comme mièvres. Un narateur externe aurait donné plus de profondeur au récit.

Outre cette rapidité dans le déroulement des événements et cette narration à la première personne, je n'ai pas aimé non plus l'intrigue ou en tout cas le semblant d'intrigue. En effet, on nous révèle qu'Enora a une mission sur terre. Je ne sais pas si c'est moi qui n'ai pas compris mais à aucun moment je n'ai vu Enora s'impliquer dans quoi que ce soit. du coup, le reste de l'histoire apparaît comme déséquilibré. On attend quelque chose qui ne vient pas. On suit juste la vie d'Enora dans son quotidien au service du seigneur de Kerjean. Les jours se ressemblent et ils ne se passent pas grand chose. Quand un élément est suceptible d'apporter un renouveau au récit, il retombe comme un soufflé.

J'ai cependant bravement continué ma lecture car j'ai beaucoup aimé la plume de l'auteur. Elle a un petit côté désuet qui n'est pas pour me déplaire. Ses descriptions sont très belles, presque romantiques. Elle emploie un langage riche et assez complexe fait d'images poétiques. J'ai beaucoup apprécié cette balade lexicale.

C'est donc raté pour moi! Je n'ai pas aimé l'intrigue du roman trop superficielle et trop monotone à mon goût. La langue de l'auteur permet tout de même de savourer cette histoire jusqu'au bout!
Lien : https://carolivre.wordpress...
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"Voilà une fresque pleine de souffle et d'émotion, en cette aube du XIIIème siècle, celui d'un parcours extraordinaire, celui d'Enora, une simple paysanne orpheline, qui depuis son enfance, porte le poids d'une terrible prophétie. Comme des enluminures: la pourpre et l'acier des chevaliers, l'envoûtante et mystérieuse Bretagne des Légendes, le ferraillement des tournois et des guerres féodales… suivez ces destins enchevêtrés dont Enora tient les fils." C'est la quatrième de couverture. Elle m'intriguait légèrement, et je m'attendais à être emportée par l'histoire, mais je n'ai fait en fait que suivre mollement l'histoire d'Enora. J'ai regretté que les personnages ne soient pas plus fouillés. Tous semblent sans intérêt, je ne savais pas sur lequel m'attarder. Je pensais que leurs relations allaient s'éclairer davantage à la fin (notamment par rapport à Urielle et Linus), mais il n'en fut rien. La prophétie, révélée après quelques dizaines de pages, donne déjà la clef de la naissance d'Enora, question qui est donc devenue vide d'intérêt à mes yeux. Les événements qui ont suivi ont même pu me déranger fortement de ce fait, car je voyais venir la "révélation" qui n'en était pas une. L'écriture est agréable, et j'ai beaucoup apprécié certains passages poétiques, doux. Mais quel dommage que cette plume ne serve pas à décrire davantage, et à réellement nous plonger dans cette Bretagne médiévale ! J'espérais un véritable contexte historique, mais il était remplacé exclusivement par les croyances païennes mêlées au christianisme. Il y avait bien de-ci de-là des indications sur ce que pouvait être la vie à cette époque, mais rien de suffisant pour vraiment m'intéresser. Je crois donc qu'il aurait vraiment fallu étoffer l'histoire, le contexte et les personnages.

J'ai également beaucoup crissé des dents à ma lecture à cause des trop nombreuses coquilles qui s'y sont glissées. Il me semblait que le passage d'un correcteur était obligatoire avant impression, mais ici ce ne fut manifestement pas le cas. Pire, il y a également des fautes, d'orthographe, de conjugaison. Les coquilles, je peux comprendre, mais les fautes m'insupportent. Je suis dure, je m'en rends bien compte, mais je ne pouvais m'empêcher de comparer avec Côté face, qui n'a même pas bénéficié d'un éditeur, et qui ne comporte pas tant de faiblesses pourtant faciles à déceler et réparer ! Certains éléments on réussit à me surprendre, comme le sort de Padrig, et la toute fin. Il y a de bonnes choses dans ce roman, mais pas assez pour que je le recommande chaudement.
Lien : http://sans-grand-interet.co..
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