Ce livre est vraiment intéressant ,pour moi c'est un vrai témoignage d'un père ainsi que du fils .Sa nous permet aussi a nous même d'avoir des point de vue différent des clicher et des préjuger que l'on peut avoir sur les personne qui se drogue .
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Années 70. Didier, deuxième enfant sur quatre d'une famille chrétienne passe un cap difficile à l'adolescence. Il fugue, pour la première fois, à quinze ans. le couple se serre les coudes mais face à la drogue, que faire ?
Un témoignage poignant d'un père qui apprend les tourments d'être parent. Sans partir dans le pathos et avec un style net, précis il raconte en à peine 150 pages comment il essaye de récupérer ce fils parti à la dérive.
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Comme le dit le résumé, ce récit traitant sur la drogue n'a rien d'un discours moralisateur. C'est juste le témoignage d'un père dont le fils est drogué. L'auteur, le père, ne prétend pas connaître la réponse de 'pourquoi se drogue-t-on' et refuse de dénigrer son fils. Tout au long du récit, c'est la lutte d'un père qui essaie de comprendre son enfant : il accueille et rencontre ses amis, il le laisse vagabonder et parfois l'accompagne...
A ce livre était censée avoir une suite du fils, Didier Guillon : "Ce paire si straight, c'est le mien" mais qui ne semble pas être parue.
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Livre poignant et émouvant lu en une après-midi losque que je navais qu'une quizaine d'année durant les vacances d'été. Il aborde un sujet difficile et toujours d'actualité : la toxicomanie chez les jeunes. L'auteur raconte l'histoire de son fils qui sombre dans la drogue et la manière dont il a essayé de l'aider. L'écriture est simple, mais efficace, permettant au lecteur de s'identifier aux personnages et de comprendre les enjeux de la situation. Ce livre est un témoignage sincère et courageux qui peut aider les parents et les proches confrontés à ce fléau.
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On ne peut pas sauver quelqu'un qui ne veut pas être sauvé, mais on peut être là pour lui, le soutenir, l'accompagner dans son combat contre la drogue.
Le sentiment paternel se construit au fil des années de cohabitation avec les enfants. Un homme ne devient pas père le jour même où la femme devient mère : il accède à la paternité au cours d’un long (et parfois difficultueux) apprentissage.
Les enfants représentent un tel investissement affectif et même métaphysique que tout ce que l’on veut leur transmettre passe forcément par l’unité du couple.
[…] Je suis né dans le coton
D’une cheminée d’usine
Mes pieds en grandissant
Ont connu l’asphalte craquelé
De l’éducation […]