Ce conte sous forme d'album est sous-titré "petit conte zen". On y est complètement :
- zen : parce qu'il y a la douceur japonaise, sa poésie. On a même une sorcière qui n'en est pas une en fait, et un malentendu à propos d'une supposée malédiction qui n'existe pas. Ça rend l'histoire originale mais cela lui enlève aussi le côté fantastique pour ne garder que le poétique. Ensuite, c'est une histoire d'amour : mignon. Pour le côté poétique enfin, j'ai adoré les dernières images avec les personnages vus de haut dont on ne devine les actions que par leurs silhouettes dessinées. Très beau !
- petit : oui, exact. Seulement, là, pas dans le bon sens du terme. Car malheureusement, j'ai trouvé la résolution du problème (qui n'en est pas un mais bref...) un peu rapide. On ne comprend pas, il manque clairement un morceau. Même si l'absence de parole est voulu, j'ai bien compris, mais c'est tout-de-même un peu trop vite expédié. Dommage...
~ Challenge féminin 23 : au moins 50% de rose ou rouge sur la couverture
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Voici une histoire courte, douce et qui redonne espoir.
De belles illustrations, de belles couleurs et ce noir magnifiquement utilisé.
Laissez vous bercer par l'histoire pleine d'espoir d'Akiko l'amoureuse.
Découvrez également une facette du monde d'Antoine Guillopé.
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Très bel album qui conte la rencontre d Akiko et deTakiji, qui a peur d'être transformé en pierre.
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