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Critique de lecassin
Après quelques romans et documentaires portés par la mer, autre passion de l'auteur, "Les cousins de la constance", "L'empire des mers" et "Le mauvais temps", Paul Guimard revient une dernière fois sur le thème qui aura sous-tendu toute son oeuvre romanesque : le hasard, la rencontre fortuite, un concours de circonstances... appelons ça comme on voudra.
Georges Pompidou, Karine, une danseuse Russe en exil, un flic, une adolescente, un prêtre, une femme de ménage désoeuvrée, un agent du KGB... On comprend bien qu'il faudra au moins un concours de circonstance pour relier tout ce beau monde. Et si c'était Karine, la danseuse ?
J'ai lu ce petit ouvrage à sa sortie en 1990 et je dois dire que j'ai dû me replonger avec détermination dans le texte pour me le remémorer, alors que lus il y a plus de trente ans, "Rue du Havre" ou "L'ironie du sort" me son encore très présents à l'esprit. Doit-on en déduire que celui-ci, sur un thème voisin est moins bon ? Sans doute, mais il reste le style incomparable de Paul Guimard.
Georges Pompidou, Karine, une danseuse Russe en exil, un flic, une adolescente, un prêtre, une femme de ménage désoeuvrée, un agent du KGB... On comprend bien qu'il faudra au moins un concours de circonstance pour relier tout ce beau monde. Et si c'était Karine, la danseuse ?
J'ai lu ce petit ouvrage à sa sortie en 1990 et je dois dire que j'ai dû me replonger avec détermination dans le texte pour me le remémorer, alors que lus il y a plus de trente ans, "Rue du Havre" ou "L'ironie du sort" me son encore très présents à l'esprit. Doit-on en déduire que celui-ci, sur un thème voisin est moins bon ? Sans doute, mais il reste le style incomparable de Paul Guimard.
