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Al Dorsey, le détective de Tahiti tome 1 sur 5
EAN : 9782757873564
384 pages
Points (03/09/2020)
3.68/5   39 notes
Résumé :
Ça décoiffe les soutanes au paradis des bons pères. On marche sur le corail pilé sans savoir où on met les pieds ! Normal, c’est Al Dorsey qui nous y emmène. Al « The » détective des tropiques. Les photos de trois jeunes gens prétendument disparus sur un voilier, un cahier d’écolier, deux gourmettes, un louis d’or, un opinel, des dettes par-dessus la tête et une valise qui aurait dû rester là où elle était. Voilà avec quoi Al Dorsey va plonger bien malgré lui dans ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (20) Voir plus Ajouter une critique
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J'ai découvert Patrice Guirao à travers les chansons qu'il écrivait pour Art Mengo. J'adore son univers particulier, ses images souvent alambiquées qu'il n'est pas simple de décortiquer.
Alors, je me suis tourné vers l'écrivain. Quelle surprise !
Voilà un polar de facture classique comme on en écrit plus beaucoup, avec suspense, retournement de situation, une intrigue originale et surtout une plume facile à lire.
Vraiment très bien.
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Ce roman est un vrai régal !

Ce polar tahitien vous permet de vous évader dans une autre culture, dans un autre Pays, très peu utilisé, avec un texte rythmé, qui a du mordant, un humour incommensurable et un suspens qui fonctionne.

Ici, nous faisons la connaissance d'al Dorsey, détective un peu désabusé de Tahiti, dans un bureau un peu miteux. Il attend une affaire et quand celle-ci se présente, sa vie va s'en trouver toute chamboulée. Nous suivons alors ce personnage peu conventionnel dans un périple où les embûches et les "emmerdes" s'accumulent, un vrai sac de noeuds qu'il aura bien du mal à défaire.

Je vous laisse découvrir par vous-même l'essence même de l'intrigue, son histoire palpitante et cette fin qui m'a littéralement mise sur les fesses, car il faut dire que je ne m'y attendais pas du tout !

Au fil des pages, de cette enquête policière qui prend des proportions gigantesque et sème le danger à chaque découverte, vous découvrirez une description de Tahiti, aussi drôle que réaliste, de ses personnages et de tout un paysage tout aussi beau que ragoutant.

J'ai beaucoup aimé les personnages construit par l'auteur, ils ont tous un petit quelque chose qui vous touche ou vous fait sourire. A travers leurs descriptions, nous découvrons des personnes humaines avec une identité propre. Des descriptions à la fois précises et abstraites qui impriment une réelle image dans notre cerveau, qui nous donnent l'impression d'être aux côtés d'al et de voir exactement ce que lui voit en chacun.
Le personnage de Toti est assez atypique. Il est intriguant, roublard, il est partout. Si au premier abord il parait fragile, rappe et un peu simple, vous verrez qu'il n'en est rien. Il m'a touchée à un certain passage. Je vous laisse vous en faire votre propre opinion.
Un personnage qui m'a complètement subjuguée et séduite, c'est Gyanie, la mère d'Al. Elle a toutes les caractéristiques d'une mère, et bien plus encore. Sa philosophie de vie est parfois comme un rêve, cependant, lors de ma lecture, je me suis laissée embarquer avec elle, bercée par ses mots, rêver à adapter sa vision à la mienne, que la sienne devienne mienne. Une personne exceptionnelle qui nous intrigue par ses connaissances autant spirituelles qu'amicales.
Lyao-ly, la compagne d'al Dorsey, que l'on voit très peu dans ce tome, bien que sa présence dans la tête d'al soit omniprésente, nous fait autant rire qu'elle nous surprend. Avec Baldwin, ils forment un sacré duo : à vous de la découvrir !
Ensuite, nous avons Sando, le meilleur ami d'al et policier. Un homme intelligent, malgré la non aide de ses collègues, compatissant et un peu lourd parfois. Car ce Monsieur adooooore faire des jeux de mots avec son ami Al.
Bref, tout un panel de personnages secondaires qui font partie intégrante du récit, l'enrichissent et le rendent tout en nuances.

La plume de l'auteur est maîtrisée, fluide, entraînante. Elle vous charme par ses envolées lyriques, qui arrivent comme ça, d'un coup, en plein milieu d'une situation comique. C'est ce mélange que j'ai énormément apprécié dans la plume de l'auteur, cet entremêlement de simplicité et de prose, un ensemble qui confère au texte une lecture agréable et vous procure des émotions. Car oui, j'en ai eu des émotions ! Des drôles, des tendres, des surprenantes.
Le respect de l'accent, avec les "r" roulés, est excellent et ajoute à la réalité.
Au fil des pages, l'auteur réussi à nous étonner avec son personnage principal. Ses facettes nous sont dévoilées petit à petit, ses sentiments profonds distillés avec soin et intelligence.

Ce roman policier est une vraie réussite pour ma part. Un texte original dans un lieu rare et peu connu qui nous ait montré dans sa vérité, dans son jus, tout comme les acteurs qui composent le récit.

La couverture est très belle et représente bien le texte. J'aime beaucoup.

En bref un récit addictif, passionnant, imprégné de l'ambiance de la Polynésie et de sa nonchalance caractéristique.
Le suspens est constant, les rebondissements permanents, les personnages attachants et bien décrits. al est une personne dont j'ai beaucoup apprécié le caractère et ses réflexions à la fois comiques et poétiques : une dualité dans la plume de l'auteur qui est juste un régal.
Mon petit plus personnel : j'ai voyagé en Polynésie et il fut très agréable de ne pas arriver en terre inconnue, de reconnaître certains endroits et de voir à quel point l'auteur décrit parfaitement cette île, aussi bien dans sa beauté que dans sa pauvreté.
Mon deuxième petit plus personnel : j'ai eu la chance de rencontrer l'auteur cette année à Livres Paris : il est génial et ce fut un réel plaisir que de discuter avec, ne serais-ce que quelques minutes...faut dire que le Monsieur était très demandé !
Lien : http://mateiva.blogspot.fr/2..
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Ayant découvert Patrice Guirao avec les enquêtes de Lilith, via le bûcher de Moorea et Les disparus de Pukatapu, je ne pouvais que me laisser tenter par ce nouveau héros policier de cet auteur que j'apprécie vraiment beaucoup.
Donc me voilà plonger à nouveau dans ce petit paradis sur terre qu'est Tahiti mais dans une ambiance, à la base, moins noire et tendue que dans ses romans lus précédemment. C'est sûrement dû à ce personnage al Dorsey, détective privé qui a changé son patronyme car Édouard Tudieu de la Valière, ça ne fait pas très détective privé... Il est drôle, un brin rêveur ou naïf pour ce métier, amoureux de Lyao-Li, ami de Sando, et aussi de Toti. Je ne décris pas les autres personnages car ils sont à découvrir au fil des pages de ce roman. Cependant, on suit al dans ses tribulations après qu'un faux prêtre soit venu lui rendre visite pour lui demander de trouver les propriétaires d'une petite valise dans laquelle se trouvent pêle-mêle des photos d'adolescents dont le prêtre dit qu'ils sont morts, une gourmette, un Louis d'or, et surtout, surtout, dans un double fond, 5 millions de dollars!
Al s'attache à la besogne et va de surprise ne surprise pour au fur et à mesure monter en intensité dans la poursuite de l'enquête.
C'est drôle, tendre, avec une enquête qui nous prend au jeu, très classique certes mais qui marche toujours aussi bien. Cerise sur le gâteau, dans un lieu dont l'auteur nous donne fait partager son amour via les couleurs, les odeurs, les mots et les coutumes.
Je vais lire la suite car évidemment, la fin nous y oblige si on veut aller jusqu'au bout de l'aventure (il y a 2 autres tomes derrière) et avec un réel plaisir!
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Après avoir découvert Patrice Guirao et la Polynésie avec le bûcher de Moorea, la première enquête de Lilith Tereia , cette fois, je me retrouve en tête à tête avec al Dorcey.
Oui, AL DORSEY, Détective privé – Filatures – Enquêtes -Surveillance – Recherches – Renseignements- Protection
La totale, quoi. La plupart du temps c'est plutôt : Surveillance et Filatures et pas trop : Recherches et Enquêtes, mais bon, bon an mal an, ça roule.
Son vrai nom c'est : Édouard Tudieu de la Valière mais, pour un privé, ça le fait pas. Alors il a pris un nom d'emprunt : al Dorsey, comme le Dorsey de l'orchestre de Sinatra dans les années 40. Ça sonne quand même plus américain que Tudieu de la Valière !! Faut ce qu'il faut.
Al Dorsey est un détective un peu désabusé, un brin mélancolique. C'est surtout un gentil garçon. Un humaniste qui aime ses contemporains. Un type pas vraiment fait pour ce métier, mais bon il faut bien faire quelques choses de sa vie. Avec lui nous allons mener l'enquête. Nous allons l'accompagner tout au long de ces trois cent soixante dix page qui se lisent à toute vitesse.
Édouard Tudieu de la Valière, « Doudou » pour les intimes ou plutôt al Dorsey c'est LE détective de l'île. le seul et l'unique. Et il a la chance de mener ses enquêtes dans un décor de paradis terrestre, là où il ne se passe jamais rien de grave. En tout cas, en apparence…
Car al Dorsey détective privé à Papeete, reçoit la visite d'un curé prétendant être le père Levret. Celui-ci lui demande de retrouver les propriétaires d'une mallette pêchée à Tatakoto, puis disparaît. Dans le double fond de la mallette : 5 millions de dollars. Quelques heures plus tard, un curé du nom de Levret est assassiné… Et le bureau d'Al, cambriolé.
Avec cette première enquête d'al Dorsey, Partrice Guiaro nous offre une intrigue policière non dénuée d'humour…
Il nous présente une galerie de personnages hauts en couleur. On retrouve là bien sur Al, un peu gauche, plutôt introverti, al qui a tout de l'antihéros, ce qui le rend très attachant, il y a Lyao-Ly, la jolie fiancée d'Al, spontanée, directe, pétillante et pleine d'énergie. Lyao Ly est une héroïne surprenante. On retrouve aussi autour d'al Dorsey, Mamie Gyani sa maman, vieille dame respectée à la sagesse reconnue. Et puis il y a Paul Arman Lying dit Toti, un excentrique milliardaire solitaire qui vit comme un SDF. Et bien sur il en fallait un, il y a Sando, Sando l'ami de toujours mais surtout commissaire de police, Sando et son insouciance et son amour immodéré des femmes.
A travers nos cinq protagonistes c'est toute la société et la culture polynésienne que nous allons découvrir. Car ce petit bout de terre, ce petit atoll est un vrai melting-pot des cultures des continents qui l'entoure. Ici vivent asiatiques, européens et autochtones. le tout mélangé à la sauce ultramarine. Une société multiculturelle je vous dis !
Et puis il y a aussi le beauté de ces territoires d'Outre-mer, connus pour leurs lagons, les plages de sable blanc ou noir, et leurs paysages magnifiques Et puis il y a aussi le passé de ses îles sous le vents, les grands explorateurs. La Polynésie française a ensorcelées des générations d'explorateurs, d'écrivains voyageurs et de peintres. Puis est venu le temps de la colonisation où les polynésiens vivaient au rythme imposé par les européens entre nucléaire et évangélisation. Et c'est effectivement toute cette mixité de la société polynésienne qui traversent les aventures d'al Dorsey.
Bref Patrice Guiaro nous en met plein les yeux et nous fait découvrir tous les aspects de ce paradis terrestre pas toujours aussi paradisiaque que cela finalement mais tellement fascinant, captivant et attrayant.
Lien : https://collectifpolar.com/
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Guirao Patrice – "Crois-le ! une aventure d'al Dorsey, tome I" – éd Au vent des îles / Points, 2016 (ISBN 978-2-7578-7356-4)

Comme il est devenu d'usage dans le commerce alimentaire, je m'en vais commencer par souligner l'un des mérites de ce roman en exposant de suite ce qu'il ne contient pas (contrairement aux antiennes ressassées dans la plupart des polars d'aujourd'hui) : pas de scène pornographique aussi scabreuse qu'indigeste, pas de scène d'horrribles tortures, pas d'hectolitre d'hémoglobine, pas d'exploit tarzanesque.
Et pourtant, ça se lit d'une traite.

Pour être bien certain de ne point égarer les ouailles de la grande prêtresse Sandrine Rousseau, je délimite immédiatement l'horribilissime cadre de ce roman : non seulement l'enquêteur principal est un homme, mais il se fait aider par son copain, le commissaire Sando, qui appartient lui aussi à ce "genre" maudit.
Pire encore, le héros est très épris de sa jolie compagne (il n'est même pas trans ni queer plus plus), et l'auteur nous narre une jolie bluette. Bref, il mérite l'anathème ou la fatwa, à tout le moins le bannissement de la "scène" littéraire bien-pensante. Et pourtant, ça se lit d'une traite, je bats ma coulpe.

Les gens affffreusement ordinaires – suppôts de la plus noire pensée dite judéo-chrétienne, patriarcale, arriérée, moyen-âgeuse –, trouveront là un roman bien plaisant, qui se lit et peut même se relire sans ennui.

L'auteur réussit le tour de force de situer l'action à Tahiti sans sombrer dans l'exotisme de pacotille ni l'ethnologisme de type EHESS. Il insère ça et là de bien jolis tableaux, comme ce jardin d'orchidées (p. 177) et la contemplation des voiliers (p. 213).
Les personnages sont bien campés, avec une prime pour Toti, cet époux qui "beaucoup aime Tchen, mo'te longtemps" (p. 75) et le père Duchalier, l'anarchiste enfant de la bande à Bonnot et de Victor Serge (p.220-225).

Un roman qui incite à lire la suite, il y a un tome deux...

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Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
Il est pas plus grand qu’un lavabo de pissotière, épais comme une armoire à pharmacie et jaune terreux. Je l’aime bien. Jaune pisseux. Il doit avoir cent vingt ans. Il les a même, peut-être, depuis cent vingt ans.
Debout, pieds nus dans ses savates1 d’un gris avancé, les ongles endeuillés d’une vénérable crasse chèrement acquise au terme de longues semaines d’abstinence d’eau savonneuse, il me regarde. Flottant dans son short colonial d’un sempiternel beige auréolé — c’est une couleur à lui, que je n’ai encore jamais vue ailleurs que sur ce short —, et sa chemisette bleu eau du port après les pluies. Il me sourit. Je ne l’ai pas entendu entrer.
Presque chauve. Six poils en tout. Mais longs.
Trois sous le menton, un sur chaque joue, et le dernier, qui voudrait se faire passer pour un cheveu, planté en plein milieu de la route, sur un crâne désertique fréquenté par un malheureux pou asthmatique. Certainement veuf.
C’est Lying, Paul-Arman-Lying dit Toti. Il me tend une main calleuse aux extrémités d’un beau marron soutenu qui fait naître en moi une soudaine angoisse.
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AL DORSEY

Détective privé – Filatures – Enquêtes

Surveillance – Recherches – Renseignements

Protection


La totale, quoi. La plupart du temps c’est plutôt : Surveillance et Filatures et pas trop : Recherches et Enquêtes, mais bon, bon an mal an, ça roule.

J’ai mis également une plaque à l’extérieur devant l’immeuble, mais ils ont posé un panneau de stationnement interdit juste devant. Comme ça, ça reste discret !

Mon vrai nom c’est : Édouard Tudieu de la Valière mais, pour un privé, ça le fait pas. Alors j’ai pris un nom d’emprunt : Al Dorsey, comme le Dorsey de l’orchestre de Sinatra dans les années 40. Ça sonne quand même plus américain que Tudieu de la Valière !! Faut ce qu’il faut.
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… la pluie s’est mise à tomber. Violente, chaude, lourde, épaisse, elle claque sur le sol et fume sur le macadam chauffé à blanc. Pas le temps de s’abriter. Tout le monde participe à l’instant. C’est un ballet sautillant de femmes, d’hommes et d’enfants, courant les pieds nus, les mains sur la tête et des éclats de rire qui roulent dans la gorge. Pas question de parapluies ou même d’imperméables. La pluie est un jeu qui se joue à mains nues. La pluie pétille. En force et sans élégance, elle défie les audacieux. Elle déferle sur la ville, tourne et tourbillonne, déborde des trottoirs, se cogne aux vitrines, bouscule les imprudents, revient chercher sous son abri à grands seaux d’eau claire celui qui croyait lui échapper, met la ville en fête. On ne s’entend plus pester, s’interpeller, rire, jurer, se moquer, crier à qui veut l’entendre que ça suffit et en demander encore. La pluie redonne à chacun son cœur d’enfant et c’est peut-être pour ça que j’aime ses grosses larmes tièdes et épaisses qu’elle verse sur la Terre. Tant qu’elle pleure de rire et pas de peine bien sûr.
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Le sourire est toujours large et vient par les commissures des lèvres rejoindre les fentes clignotantes de ses petits yeux furtifs. Il a récupéré sa main et j’avoue que je ne me suis pas fait prier pour la lui rendre, tout en gardant, par-devers moi, entre mes doigts délicats, comme un arrière-goût de moisi un peu aigre — je sais : ça n’existe pas, mais c’est juste pour donner une idée de l’impression que ça laisse quand t’as serré la main de Toti. Il s’empresse de me la tendre à nouveau avec, cette fois, un morceau de sac en papier sur lequel sont griffonnées des colonnes de chiffres, censées justifier la quittance de loyer.
– T’ente et un. Sichendouze f’ancs soichante t’ois, en plus les cha’ges aujou’d’hui.
Tiens !? Ce mois-ci, il me fait une augmentation de six cent douze francs et soixante-trois centimes pour les charges ! J’ai beau faire de terribles efforts pour essayer de comprendre quelles dépenses ont pu, ce mois-ci, engendrer une augmentation de charges, je ne vois pas.
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AL DORSEY
Détective privé – Filatures – Enquêtes
Surveillance – Recherches – Renseignements
Protection

La totale, quoi. La plupart du temps c’est plutôt : Surveillance et Filatures et pas trop : Recherches et Enquêtes, mais bon, bon an mal an, ça roule.
J’ai mis également une plaque à l’extérieur devant l’immeuble, mais ils ont posé un panneau de stationnement interdit juste devant. Comme ça, ça reste discret !
Mon vrai nom c’est : Édouard Tudieu de la Valière mais, pour un privé, ça le fait pas. Alors j’ai pris un nom d’emprunt : Al Dorsey, comme le Dorsey de l’orchestre de Sinatra dans les années 40. Ça sonne quand même plus américain que Tudieu de la Valière !! Faut ce qu’il faut.
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