Parce que il n’y a pas que la litterature postrevolutionnaire déprimante et monochrome, L’Iran n’est pas que la biographie des victimes des mullahs! L’Iran est une lumière aveuglante qui vient se brise...
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.