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"Mör" signifie "tendre" en suédois... rapport à la viande... et quand on lit combien de victimes, toutes affublées d'un certain "défaut" aux yeux du tueur, vont y laisser leur peau (et un peu plus que ça d'ailleurs), autant dire que ce polar n'est pas pour les coeurs tendres !
Moi qui aime les thrillers sanglants, j'ai été servi mais j'ai tout autant (et surtout) apprécié les protagonistes féminins. Pour une fois que les femmes ont leur (dernier) mot à dire... on ne boude pas son plaisir, en enchaînant les courts chapitres au rythme trépidant... jusqu'au final insoupçonné.
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Après Block46 qui m'avait vraiment " bluffé" , je n'ai pas pu différer longtemps la lecture de ce second roman de Johana Gustawsson , une histoire indépendante de celle du premier volume mais ...pas complètement puisque , outre Emily la profileuse et Alexis , l'auteure de polars , personnages récurrents retrouvés avec grand plaisir , il sera tout de même fait allusion à quelques événements passés, et l'arrivée d'un éventuel " copy cat " puisque le coupable qui officiait 10 ans plus tôt, se trouve ....en prison .Alors , mon conseil est tout bête. Si vous voulez lire cet opus , " faites - vous d'abord les dents " ( !!!) sur Block46 .De deux choses l'une , soit vous adorez et la lecture du second deviendra une évidence, soit la brutalité vous rebutera et vous renoncerez à l'un ... et à l'autre car la Johana, c'est pas vraiment une " tendre " contrairement à ce qui se dit . Donc , voilà, âmes sensibles ....réfléchissez. Ceci dit , s'il y avait un championnat des auteurs de polar , nul doute que Johana Gustawsson jouerait " en première division " et viserait sans doute les toutes premières places .Vraiment , elle nous livre un second " page turner " sacrément travaillé , haletant , bien écrit et , une fois encore , elle insére , en parallèle un récit du passé pour expliquer le présent. Pas facile et , pourtant , ça fonctionne à plein et l'aiguillage qui relie les événements est parfaitement graissé . Lorsque le talent s'invite et inonde ainsi un texte , le résultat ne peut être que génial, et , pour moi , il l'est .Certes le nombre de protagonistes étant important , il faut se montrer attentif , mais n'est - ce pas là l'un des critères demandés au lecteur pour bien s'immerger dans l'intrigue ? Là encore , le fait d'avoir lu Block46 permet de " prendre quelques coups " d'avance " . L'action se partage entre la Suède et l'Angleterre , pays dont on sent que l'auteure est éprise et possède bonne connaissance . Alors , me direz vous , gore ? Ma réponse sera plus nuancée. Gore, non . Quelques scènes un peu " hot " , oui , certes , mais pas que .Une grande part réservée à l'enquête, un retour dans le Londres du XIX ème siècle intéressant sur la vie des " petites gens" et , aussi , des traits d'humour subtils . Alors , non , pas gore , il y a pire ( je sais bien , ce n'est pas une raison ) Personnellement , je n'aime pas me " vautrer " dans des scènes atroces , me " délecter " de tonnes d'hémoglobine et je vous l'assure , il y a bien autre chose à apprécier dans ce roman. Pour moi , désormais , Johana Gustawsson est " dans le fichier " .Avec un tel talent , nul doute que je ne serai pas son seul admirateur ..
Excusez - moi , mon épouse ....... " Mon entrecôte ? Saignante , ma chérie , comme d'hab..." Elle est si " tendre " . Qui ? Mon épouse ou mon entrecôte ? Oh , franchement , vous en avez de ces questions . Quoi que , maintenant que j'y pense...Ah , j'ai oublié un détail, " Mör " , ça veut dire......Mince , plus d'encre ....Allez , bon dimanche .
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En 2016 surgissait un diamant brut dans le monde du roman noir : Johana Gustawsson, avec son étonnant thriller Block 46. On l'avait traitée d'inconsciente à vouloir mélanger la thématique du tueur en série et celle des camps de concentration. Mais quelle belle et respectueuse réussite ce fût.

La marche du deuxième roman est souvent annoncée comme compliquée, surtout quand on décide de mettre en scène des personnages récurrents. Cette fois-ci, elle se lance dans un autre grand écart, faire le lien entre le Londres de Jack l'éventreur et un récit contemporain. Décidément, soit l'auteure française est totalement inconsciente, soit c'est une gymnaste de haute volée !

Ceux qui ont connu les personnages du premier roman seront enchantés de les retrouver ici. Les autres peuvent y aller sans hésiter, ce roman se lisant individuellement sans difficulté.

Pas la peine de tourner autour du pot. En tant que lecteur assidu de thrillers de très longue date (pas aussi loin que le Londres du XIXème siècle, mais pas loin), j'ai de quoi jouer au blasé. Et pourtant : Mör est un thriller absolument enthousiasmant de la première à la dernière ligne ! Une réussite magistrale. Je pèse mes mots.

La barre était haute pour l'athlète Gustawsson après Block 46, elle vient de la franchir avec une aisance et une grâce qui me laisse coi. Tout y est sublimé et on sent que l'obstacle du deuxième bébé l'a davantage stimulée que freinée.

C'est quoi un bon thriller, au juste ? Une histoire prenante, surprenante. Des personnages forts. Un rythme soutenu. Un style enlevé. Mör c'est tout ça, et plus encore.

L'auteure a clairement pris confiance en elle, je l'ai senti dès les premières pages. J'ai trouvé la caractérisation des personnages plus marquée, l'histoire admirablement construite et le style totalement maîtrisé (avec des pointes d'humour aussi étonnantes qu'irrésistibles comme cette scène où elle parle de l'accent du français qui parle en anglais !).

Je n'ai pas lu Mör, je l'ai dévoré. J'y ai planté mes crocs pour ne plus le lâcher, le mors aux dents. Une expérience de lecture aussi monstrueuse que jouissive.

Le récit est dur, éprouvant, sombre. Un vrai thriller qui marque.

Mais il est lumineux aussi, souvent même, par la bénédiction d'une plume qui donne littéralement vie aux protagonistes (y compris les nouveaux, tout aussi formidables que les « anciens »).

Il serait criminel d'en dire davantage, sauf à vous dire que le voyage vous emmènera à nouveau en Suède et en Angleterre. Parce que lire les romans de Gustawsson, c'est également se dépayser. Elle parle de ce qu'elle connaît, ça en rajoute dans l'authenticité. Tout comme son remarquable travail de recherches historiques, qui fait que les scènes sonnent juste.

Avec son premier roman, elle avait créé la surprise. Avec Mör, j'ose dire que Johana Gustawsson entre directement dans le cercle fermé des incontournables du genre. Sa série en cours possède à la fois la froideur des meilleurs romans scandinaves, un flegme parfois tout britannique et l'immense chaleur des gens du sud. Un mélange assez inédit qui fait d'elle une écrivaine vraiment singulière dans le paysage du thriller international.
Lien : https://gruznamur.wordpress...
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Je tiens à remercier @Neneve pour m'avoir pioché ce titre dans le cadre de Pioche dans ma PAL Avril.

2e tome qui suit les traces du premier. On retrouve beaucoup de choses du 1er tome : un rythme effréné, plusieurs temporalité qui mettent en avant l'ascension d'un tueur en série, des allers-retours entre la Suède et Londres et des passages glauques au possible.

Notre duo d'enquêtrices, Alexis et Emily, ainsi que leurs collègues, sont sur le coup d'une disparition d'une actrice qui n'est pas sans rappeler un tueur en série. Sauf que ce dernier est en HP et n'est rien de moins que celui qui a assassiné l'ex-fiancé d'Alexis. Erreur judiciaire? le véritable tueur en série est-il toujours en liberté? D'autant que d'autres cadavres avec la même signature apparaissent...

Ce tome 2 s'est avéré un véritable page turner, comme pour le premier. Très sensible, certains passages m'ont vraiment donné la nausée : cannibalisme, inceste, pédophilie... L'auteure a une narration très vivace. Autant le savoir pour se préparer.
Comme dans le premier, les origines du tueur en série se mêle avec L Histoire. Cette fois-ci, celle de Jack l'Eventreur bien que je sois quelque peu déçue. Je trouve que le fil est très très ténu. Il n'était pas forcément nécessaire de remonter aussi loin. Ou alors, ce n'est pas assez mis en avant à mon goût.
Pour ce qui est des personnages, il y en a une multitude. Emily et Alexis sont loin d'être les seules à mener l'enquête. Dans tout ce cocktail d'enquêteurs, la part belle est donnée aux femmes. Peut-être un peu trop, ça semble assez déséquilibré, surtout que parmi les quelques éléments masculins, la plupart sont en retrait voire même très lourds.
L'intrigue elle-même est intéressante et nous happe, même si là encore je trouve la fin un peu capillotractée. AU moins nous surprend-elle, on ne peut le nier.

En résumé quelques bémols, surtout du "too much", mais en définitive surtout une lecture divertissante, et c'est ce qui compte.

CL Avril : plumes féminines à l'honneur
Pioche dans ma PAL Avril 2021
Challenge Multi-défis 2021
Challenge Plumes féminines 2021
Challenge Féminin
Challenge cluedo littéraire V
Challenge Mauvais Genres 2021
Challenge Séries 2021

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Nouvelle LC en compagnie de Tinaju. La dernière lecture avec Amelia Peabody avait été plutôt mitigée, j'avais besoin de changement. le premier tome de cette série a été lu pendant le premier confinement, ça avait été un coup de coeur. J'ai ce tome dans ma pal ebook depuis une OP de Bragelonne (2017).

Ce nouveau tome alterne entre deux nouvelles périodes : l'une à Whitechapel en 1888 (époque où a sévit Jack the Ripper) et la seconde en Suède en 2015. Malgré le caractère gore de certaines scènes, un certain humour transparaît dans les dialogues. Nous retrouvons nos deux enquêtrices entre l'Angleterre et la Suède sur les traces d'un nouveau tueur en série aux habitudes plus que curieuses. Cette enquête prend les accents du passé car Alexis pensait qu'un chapitre de sa vie était clos depuis 10 ans. Entre passé et présent, nous alternons pour retrouver ce meurtrier hors norme. du fait du boulot et de la fatigue, j'ai eu du mal à me plonger complètement dans l'histoire et à retenir qui était qui. J'ai eu l'impression aussi que l'histoire était plus capillotractée que la précédente, la lecture du tome 1 avait été plus fluide malgré quelques passages gores. Finalement, l'histoire a été plus difficile à lâcher à 20 % de la fin. Par contre, le démêlage est un vrai sac de noeuds, j'ai dû relire plusieurs fois certains passages pour être sûre de ne rien oublier. Je pense que pour le tome 3, je me noterai les noms sur une feuille pour ne pas les confondre entre eux, j'ai eu un peu de mal avec les noms suédois. J'ai quand même l'impression que ce tome est encore plus tordu que le précédent. Ce coup-ci, je n'ai rien vu venir avant la fin et les explications.

Comme vous l'aurez compris, ce second tome est proche d'un coup de coeur à cause du début un peu longuet, mais ça reste malgré tout une excellente lecture. C'est encore un coup de maître car avec les alternances de périodes et de lieux, on ne suit que les enquêteurs du point de vue d'un narrateur extérieur, on n'a pas accès à leurs pensées. du coup, c'est difficile de détecter autre chose que ses propres déductions. Je vais maintenant passer à quelque chose de plus gai.

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Voilà un roman qui réconcilie avec les auteurs de polars français.
Deuxième volume mettant en scène deux femmes ayant de lourds passés : l'une étant profileuse et l'autre écrivant des ouvrages consacrés aux tueurs en série.
Pas besoin d'avoir lu « Block 46 » pour comprendre « Mör » mais une bonne partie de ce roman est un prolongement de la vie personnelle des deux héroïnes.
L'auteure reprend la même formule dans ses deux romans, à savoir écrire deux histoires en parallèle, une située dans le passé et une concernant un tueur en série, qui se déroule à notre époque et bien évidemment, tout comme dans les romans de Camilla Läckberg, les deux histoires se rejoignent pour nous asséner une révélation finale qui surprend.
La formule n'est pas inédite, mais ça fonctionne bien, d'autant que le suspense est régulier et que l'intrigue est haletante.
Par contre, le nombre de personnes impliquées dans l'histoire me semble trop important pour être véritablement crédible, mais bon, c'est une fiction, ne boudons pas notre plaisir !

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Ma compagne de LC me propose de lire la suite de cette trilogie que j'ai commencée le mois dernier. J'accepte avec joie puisque j'ai bien aimé le 1er tome.
Finalement, on retrouve exactement la même trame qui a fait le succès du tome 1. Deux histoires séparées dans le temps avec une enquête dans le présent, qui se rejoignent petit à petit. Les meurtres sont toujours éparpillés en Angleterre et en Suède. Et l'écriture est toujours aussi nerveuse avec des chapitres très courts.
Mais voilà, si j'avais apprécié le 1er tome parce que j'étais dans la surprise et la découverte, là j'ai eu l'impression d'avoir du réchauffé. du coup, le plaisir s'émousse... Et le final ne m'a pas trop déstabilisée non plus.
Bref, j'ai bien aimé malgré tout mais j'ai aussi été déçue. J'espère que le tome 3 sera différent, un peu innovant.

LC de février 2021 avec Witchblade
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Contrairement à ce que son nom pourrait laisser penser, Johana Gustawwson n'est pas suédoise. Elle est journaliste et d'origine française, mariée à un Suédois et vivant à Londres. Son roman est le deuxième après le mémorable "Block 46", qui évoquait les camps de concentration.
L'histoire ici se déroule en Angleterre et en Suède. Deux endroits et deux époques: celle de Jack l'Eventreur à la fin du 19ème siècle, et l'époque actuelle. Des crimes atroces avec mutilations et découpages de chair humaine qui ne sont pas sans rappeler des crimes commis dans le passé par Richard Hemfield, serial killer enfermé depuis 10 ans. Crimes commis à la fois en Suède et en Angleterre. L'enquête va se dérouler dans ces deux pays.
Une profileuse de choc va intervenir: Emily Roy, assistée de l'écrivain Alexis Castells, que nous avions déjà rencontrées dans "Block 46". Une cryptologue autiste, Alienor Lindbergh, va aussi intervenir très efficacement.
Il va falloir remonter aux racines du mal, qui sont lointaines et diffuses et impliquent de nombreuses personnes...
Un roman d'un rythme haletant, qui vous tient éveillé tout e la nuit. Johana Gustawson utilise très bien la culture et les mythes de son pays d'adoption, la Suède. L'ensemble est captivant!
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Quelle claque ce livre !
La 4ème de couverture nous met tout de suite dans l'ambiance: de la viande tendre, des corps dépecés, un serial killer, des scènes de crime en Suède et à Londres.
Notre équipe de choc du Block 46, le 1er roman de Johana Gustawsson, est de retour et renforcée. Pour ceux qui ne l'ont pas lu, pas de souci, Mör peut se lire sans, il pourra simplement vous manquer quelques subtilités par rapport aux personnages.
On retrouve également la signature de l'auteure avec une construction mêlant présent et fait historique, ici Jack l'Éventreur. Ce mix avec L Histoire peut surprendre au premier abord mais c'est habilement mené.

Un thriller saignant, des personnages fouillés, un rythme soutenu avec une pointe d'humour. Une vraie réussite. Ne passez pas à coté !

Avec Môr, Johana Gustawson s'est affirmée comme une auteure du genre incontournable pour moi.

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Après avoir apprécié « Block 46 » de l'auteure, j'ai eu envie de découvrir « Mör », qui est une suite des enquêtes du tandem Emily / Alexis. Lire à la folie avait apprécié cet ouvrage (n'hésitez pas à découvrir sa critique) et m'avait donné encore plus le désir de me lancer ! Ajoutons à cette envie le fait que les livres de Johana Gustawsson vont être portés à l'écran par Alexandra Lamy et le groupe Banijay et qu'un troisième opus intitulé « Sång » sortira le 16 octobre… J'ai donc décidé de me lancer dans cet ouvrage qui, d'après la quatrième de couverture, avait pour particularité de proposer des personnages malsains et intelligents nés « dans l'ombre de Jack l'Éventreur ». J'avoue que j'avais quelques attentes, car j'apprécie lorsque les fictions tournent autour de cet assassin de renom… Or, je n'ai pas été déçue ! L'auteure a très bien su exploiter cette idée, m'arrachant ainsi quelques grimaces de dégoût lors de certaines descriptions. Une fois encore, je tiens à alerter les âmes sensibles : on est sur des femmes aux membres tranchés, de l'inceste et du cannibalisme. Si vous avez un problème avec ces trois thématiques, mieux vaut passer votre chemin !

Cet ouvrage n'est pas le polar de l'année toutefois, je l'ai trouvé vraiment prenant et intéressant. L'avancée de l'enquête est constante, les chapitres courts, tandis que les nombreux points de vue dans le présent et dans le passé permettent de donner du rythme. Je me suis régalée en l'enchaînant d'une traite. Certes, je reconnais avoir été un peu perdue au début avec les six narrations cependant, on finit par s'y faire, d'autant que les personnages principaux se rencontrent rapidement. En revanche, je ne peux pas dire que je me sois attachée aux nouvelles narratrices, car le scénario prend beaucoup de place et aux dépens de développement de chacune. Si l'on n'a pas lu « Block 46 », je me demande même si l'on peut s'attacher à Emily ou Alexis tant on en sait peu sur elles… En revanche, en ayant lu ce premier volet, je reconnais que j'étais satisfaite de voir l'évolution de ces deux femmes qui, malgré l'horreur de ce qu'elles ont vécu, ont réussi à se relever.

Une fois encore, Johana Gustawsson va mettre en scène plusieurs protagonistes de sexe féminin et ayant chacune une particularité. J'ai aimé le fait qu'on ne rentre pas dans la facilité ou dans le manichéisme. Les enquêtrices ont des failles, voire leur côté décalé comme Aliénor qui est Asperger, tandis que les civiles ou les victimes ont leur part d'ombre et de lumière… le destin de Freda et ses descendants m'a particulièrement bouleversée. de plus, même si j'avais deviné plusieurs choses et avais fait le parallèle avec le premier tome, j'avais hâte d'arriver au moment où l'auteure allait unir les deux époques… Les hommes ont un rôle plus secondaire cependant, ils ne sont pas oubliés pour autant.

Ce sombre polar a été rempli de fausses pistes, de personnages douteux et d'Histoire. L'ensemble fut très plaisant jusqu'au bout. Johana Gustawsson est une bonne écrivaine qui sait tenir son lecteur en haleine ! Je suis curieuse de lire « Sång » lorsqu'il sera publié…
Lien : https://lespagesquitournent...
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