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EAN : 9782290335444
128 pages
J'ai lu (19/11/2003)
  Existe en édition audio
3.69/5   3111 notes
Résumé :
Maupassant
Pierre et jean

Pierre, médecin, ne comprend pas pourquoi un ami de sa famille a légué sa fortune à Jean, son frère cadet. Au terme d'une véritable enquête policière, il mettra au jour un terrible secret. Le quatrième roman de Maupassant (1850-1893), publié en 1888, est sans doute le meilleur. Le récit, qui tient à la fois de l'étude naturaliste et de l'analyse psychologique, s'appuie sur une intrigue, simple et forte. Dans sa célèbre... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (217) Voir plus Ajouter une critique
3,69

sur 3111 notes
Je ne me lasse pas de lire cet auteur que je trouve très moderne. Pierre et Jean raconte l'histoire de deux frères qui n'ont rien en commun, tant sur le plan physique – l'un est brun, l'autre blond – que moral. L'entente n'est déjà pas à son paroxysme et voilà qu'une visite du notaire va faire basculer les valeurs fraternelles : Jean, le cadet, hérite de tous les biens d'un ami de la famille. Pourquoi ? Pierre va se sentir lésé, à juste titre, et va essayer de comprendre la raison de ce legs. Et si le donateur, blond comme Jean, était en fait le père de ce dernier ?

Maupassant n'a pas son pareil pour décrire la vie et ses affres. de plus, il a un style qui ne vieillit pas. Pierre et Jean pourraient être deux personnes du XXIe siècle puisque rien n'a changé. On remarque que les ressorts dramatiques qui cassent les liens, qui désunissent les familles, sont les mêmes qu'aujourd'hui.
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1888, c'est l'année où Zola publie « le rêve »… Zola, pour beaucoup la référence de cette époque. Mais c'est également l'année où Guy de Maupassant publie « Pierre et Jean », son quatrième roman ; un petit roman écrit d'une traite durant l'été 1887…
Quel rapport, me direz-vous ? A part l'amitié qui lie les deux hommes, rien sans doute… Quoique… Si Zola place l'essentiel de ses « Rougon Macquart » dans le sud et à Paris, Maupassant place ses romans mais aussi ses nombreuses nouvelles en Haute Normandie, à l'époque, en Seine Inférieure ; mais la préoccupation est bien la même : décrire le monde qui les entoure avec un certain réalisme.
Dans « Pierre et Jean », nous sommes au Havre, à la fin du XIX ème siècle chez les Roland, père, mère, fils, fils… Les deux fils embrasseront, l'un la carrière d'avocat, Jean, le blond, le posé, et l'autre, Pierre, le brun, l'exalté, celle de médecin.
Tout irait pour le mieux si un ancien client de la bijouterie familiale, Léon Maréchal, ne décédait brusquement en léguant sa fortune à Jean. Une sourde rivalité s'installe entre les deux frères, puis le doute…

« Pierre et Jean », une oeuvre naturaliste, non seulement par l'intrigue sur fond d'hérédité légitime ou adultérine et les problèmes d'argent de la petite bourgeoisie provinciale, mais aussi et surtout par le cadre du roman : la Normandie portuaire : ses jetées, ses cafés... Ses marins…

Un superbe roman précédé d'une préface où l'auteur définit à son idée le roman, le roman réaliste, et le romancier…Un superbe roman, et probablement un de mes préférés de cette époque si riche par ailleurs.
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Longue nouvelle ou court roman ? Qu'elle qu'en soit la forme pour moi, soit dit en passant, à soixante-cinq ans, c'est mon premier Maupassant.
Et c'est de la BAL… Comprenez que je l'ai trouvé dans une Boite A Livres.
C'est « de la balle », ça ne se dit plus depuis 2000. Et Maupassant se lit-il encore en 2021 ?
Si vous aimez les histoires toujours contemporaines avec des mots d'autrefois, pourquoi pas !
Je me suis remémoré avec nostalgie les demandes de ma grand-mère à serrer le pain dans la huche alors qu'aujourd'hui on se contente de le remettre dans le sachet…Ce pain a-t-il le même gout du coup ?
Et que dire de ces idées misogynes étalées à longueur de pages, dépassées comme une trottinette électrique dépasserait une charrette asthmatique, ont-elles raison d'être aujourd'hui ?
Et pourtant, les non-dits et les faux-semblants, c'est ce que fait exploser Maupassant avec des mots galants et pour cela il fera s'affronter Pierre et Jean. Par contre, les faits sont bien d'actualité, on ne peut le nier. Pourquoi un seul héritier ?
Je suis tout de même resté scotché par la fluidité des phrases et la facilité déconcertante à énoncer des pensées complexes et les faire paraitre aussi claires et pétillantes que des bulles de champagne.
Pardonnez-moi, mais pour conclure, je pense que les idées reçues ont la peau dure.
Lorsque j'étais adolescent, Maupassant c'était pour les filles à la vanille comme Jules Verne l'était pour les garçons.
Je les ai presque tous englouti, ce qui m'a ravi mais foin de « Bel-ami ».
Moralité, il n'y a que le vécu qui élargit les idées et la vieillesse qui rend la peau molle.

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Pierre et Jean sont deux frères qui ont grandi dans une famille de la bourgeoisie normande. Ils habitent désormais au Havre.
Le père, M. Roland, ancien bijoutier parisien, voue un amour inconditionnel pour la mer, la pêche en bateau et c'est cette passion qui a amené la famille a déménager pour s'établir sur ces côtes normandes si belles et si apaisantes.
Pierre et Jean, ce sont deux prénoms qui sonnent comme l'enfance insouciante, désinvolte, une fratrie qui a grandi au sein d'une famille aimante et protectrice.
Le temps s'écoule ainsi, dans une sorte de joie affable, un peu innocente, protégée des tracas du monde.
Le bonheur est là dans l'amour naissant entre Jean le cadet et Mme Rosémilly jeune veuve de vingt-trois ans, voisine des Roland.
Guy de Maupassant n'a pas son pareil pour décrire de belles scènes familiales et champêtres dans une manière réaliste, des repas qui s'éternisent, une partie de pêche en mer, au loin les paquebots qui frôlent l'horizon tandis que des bateaux de pêche longent la jetée, regagnent le port, les soutes pleines de poissons. Tel un peintre impressionniste, l'auteur procède par petites touches savamment dosées et nous enchante dans un récit qui démarre comme la légèreté bucolique d'un pique-nique en pleine campagne.
La mère est heureuse, riante, sensible aux attentions les plus simples, appréciant à sa juste valeur ce bonheur potache qui ne fait de mal à personne et qui dégringole comme un soleil venu du ciel sur une clairière…
Qu'importe si le père n'a pas inventé le fil à couper le beurre, est un peu balourd surtout à la fin des repas, le digestif aidant…
C'est ainsi que nous nous attachons à ces personnages ordinaires, posés dans ce paysage qui habille désormais leur univers.
Deux frères, c'est la complicité, la différence et l'altérité… Ici Pierre et Jean sont différents autant que peut l'être le jour et la nuit. Jean est blond, tandis que Pierre est brun, mais la différence ne se limite pas aux frontières du physique. Leurs caractères également sont différents et peut-être aussi ce qui sommeille dans le tréfonds de leur âme. Ils ont cependant en commun l'ambition d'avoir réussi leur rêve professionnel. Pierre est médecin et Jean s'apprête à se lancer dans une carrière d'avocat…
Guy de Maupassant en veut-il au bonheur des familles heureuses ? Voici que dans sa palette de couleurs il vient jeter une petite ombre, comme cela, presque insignifiante. Elle pourrait d'ailleurs prendre la couleur du bonheur, prolonger cette joie qui existe déjà et qui coule comme un long fleuve tranquille… Un jour, la famille Roland reçoit la visite du notaire pour les informer d'une bonne nouvelle : Léon Maréchal, un très bon ami de la famille perdu de vue depuis leur départ au Havre, vient de décéder et lègue tout son argent à … Jean. Jean oui, le cadet… Pourquoi Jean et pourquoi pas Pierre l'ainé, celui que Léon Maréchal, l'ami de la famille prenait sur ses genoux avant la naissance de Jean ? Pourquoi Jean et pourquoi pas les deux frères tant qu'à faire ?
Pourtant, les parents ne voient le mal nulle part et au contraire, accueille l'événement comme un signe supplémentaire qui vient se conjuguer à leur bonheur. Pour eux, toutes les planètes semblent alignées et la perspective d'un mariage à venir s'invite alors sous les meilleures auspices.
Sous les aspects anodins d'une bonne nouvelle, cette annonce va se transformer pourtant peu à peu en élément perturbateur… Je vous laisse imaginer tout ce qui passe par la tête du frère ainé et forcément la différence physique, la blondeur de Jean devient suspecte…
La rivalité fraternelle qui couvait sans doute, insidieusement, se découvre petit à petit entre les deux frères, comme une évidence…
Peintre des paysages et des personnages, cet héritage, cet argent qui tombe du ciel, va révéler bien des choses dans les caractères bon enfants des membres de cette famille unie, bien sous tous rapports. C'est comme si brusquement la mer s'était mise à s'agiter, la terre peut-être a alors tremblé, le trou normand fait des vagues. Les familles heureuses ont-elles aussi des secrets de famille qu'il serait honteux de révéler ?
C'est un roman en trompe-l'oeil, à chaque page je me demandais où l'auteur m'entraînait. Il faut toujours se méfier de l'eau paisible, de la Normandie sereine où Emma Bovary imagina elle aussi la courbe fugitive d'un bonheur éperdu que le destin infâme transforma en cauchemar fatal. La force du roman tient à son ambiguïté sans cesse renouvelée comme la vague qui se jette sur le rivage. Il n'est sans doute pas anodin de voir dans le paysage océanique qui berce, qui tangue, qui bouscule aussi ce roman, un élément majeur dans la dramaturgie du récit qui va, grandissante. Cependant, il est traversé aussi par la lumière éblouissante d'un fils pour sa mère.
J'ai été admiratif de l'écriture De Maupassant, qui, sans effet, vient tranquillement déployer pas à pas son histoire de manière magistrale, dans le dédale des encombrements du hasard et de la futilité des jours lisses. C'est grandiose.
La violence enfouie d'un drame familial se dessine alors, creusant ses chemins comme des galeries souterraines.
C'est un récit réaliste de la métamorphose, comme un paysage qui se transforme sous nos yeux, en nous laissant à chaque page le soin d'être apprivoisé par un doute léger, qui grandit, tremble en nous, qu'on efface de temps en temps d'un revers de main.
C'est fin, c'est cruel, c'est du grand art, c'est l'abîme qui s'ouvre, égratignant au passage l'image de la sacrosainte famille et il n'y a sans doute pas de hasard si Maupassant figure dans mon panthéon littéraire parmi mes écrivains préférés du XIXème siècle.
XIXème siècle, certes mais Maupassant est intemporel dans sa manière de nous offrir ce texte si moderne par bien des aspects. Famille, je vous aime !
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Quelle merveille inattendue! Pierre et Jean était destinée à être une courte lecture entre deux monstres, mais ça a finalement été une très bonne découverte.
L'intrigue, assez simple, nous amène dans les méandres psychologiques de Pierre, jeune homme diplômé de médecine, qui voit son frère cadet hériter d'une grosse fortune suite à la mort d'un vieil ami de ses parents.
Pourquoi Jean est-il l'unique héritier de cet homme célibataire endurci? Pourquoi lui, Pierre, le premier que cet homme a connu et aimé, ne lui a t-il rien légué? Et pourquoi ses parents et Jean semblent-ils trouver cet héritage normal alors qu'il est suspect pour ses amis? Quel atroce secret de famille cache cet héritage?

Comme toujours, l'écriture est incisive et belle. On suit les tourments du pauvre Pierre, jeune homme sanguin si différent de son frère, plus sensible et doux. Les descriptions du port du Havre et de la mer sont magnifiques de retenue, on entend le bruit des vagues contre la coque des bateaux, on aperçoit la lumière brumeuse du phare dans la nuit silencieuse.
Je n'ai jamais autant aimé Maupassant.
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Citations et extraits (235) Voir plus Ajouter une citation
Mais lorsque Pierre eut quitté son collègue et se retrouva dans la rue, une tristesse nouvelle s'abattit sur lui, et l'enveloppa comme ces brumes qui courent sur la mer, venues du bout du monde, et qui portent dans leur épaisseur insaisissable quelque chose de mystérieux et d'impur comme le souffle pestilentiel de terres malfaisantes et lointaines.
En ses heures de plus grande souffrance il ne s'était jamais senti plongé ainsi dans un cloaque de misère. C'est que la dernière déchirure était faite; il ne tenait plus à rien. En arrachant de son coeur les racines de toutes ses tendresses, il n'avait pas éprouvé encore cette détresse de chien perdu qui venait soudain de le saisir.
Ce n'était plus une douleur morale et torturante, mais l'affolement de la bête sans abri, une angoisse matérielle d'être errant qui n'a plus de toit et que la pluie, le vent, l'orage, toutes les forces brutales du monde vont assaillir. En mettant le pied sur ce paquebot la chair d l'homme s'était révoltée contre l'insécurité de tous les lendemains futurs.(...)
Et il se trouvait condamné à cette vie de forçat vagabond, uniquement parce que sa mère s'était livrée aux caresses d'un homme.
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Écrit durant l'été 1887, Pierre et Jean est un roman naturaliste par le biais duquel Guy de Maupassant partage ses points de vue sur la société de l'époque, ainsi que ses craintes et ses peurs de l'Au-delà.
Cette histoire est plutôt banale puisqu'il s'agit de péripéties construites autour de la problématique qui relève d'un héritage. En effet, Pierre, l'aîné et médecin et Jean, avocat, sont les deux frères rivaux de la famille Roland qui vit au Havre pour un amour partagé de la mer. Mais un jour, Léon Maréchal, un ami des Roland, décède et l'héritage revient alors à Jean. Ce fait augmente alors la rivalité des frères et amène des soupçons dans les interactions des Roland.
Si cette histoire n'a rien d'extraordinaire, ce sont les sous-entendus qu'il faut étudier. Car, tel un philosophe, Maupassant tente de desseller ce qu'on peut appeler le voyage éternel, ici en référence avec l'exil de Pierre. Puisque Maupassant a écrit ce livre lorsqu'il n'allait pas bien, on peut analyser cet fin du roman comme sa propre recherche entre le paradis et les enfers, et le petit lit marin qui pourrait être son cercueil.
Ce livre ne m'a pas émerveillée puisque je considère la lecture comme un moyen de s'échapper de la réalité, mais je dois avouer que sa chute m'a beaucoup plu car elle confirme le fait que nous considérons pratiquement tous que la mort est une délivrance quant à l'obligation de souffrir.
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Illusion du beau qui est une convention humaine !
Illusion du laid qui est une opinion changeante !
Illusion du vrai jamais immuable !
Illusion de l'ignoble qui attire tant d'êtres !
Les grands artistes sont ceux qui imposent à l'humanité leur illusion particulière.

Extrait de la Préface
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L'édition que j'ai reçue (livre d'occasion "comme neuf" ) m'a ennuyée par son côté "étude littéraire" : plusieurs notes par page, qui finalement n'apportent pas grand chose à la compréhension du récit, la plupart d'entre elles soulignant des évidences. Je fais une exception pour les premiers jets qui nous sont exposés, nous permettant de voir l'écrivain "à l'oeuvre".
Cela mis à part, j'ai dévoré le livre en deux jours, ce qui n'est pas du tout dans mes habitudes. Sans doute parce que Maupassant est un merveilleux conteur, qu'il emploie une langue que j'ai grand plaisir à lire, et que les sujets de ses livres ne sont jamais très éloignés de la vie de tout un chacun. Avec toujours le doigt pointé "là où ça fait mal". Certainement aussi parce que c'est un court récit, et qu'il se situe en Normandie, patrie de Maupassant, région que je connais plutôt bien et que l'écrivain décrit longuement. Par contre, l'histoire en elle-même, le "squelette" du livre, ne m'a pas enthousiasmée, et le dénouement serre le coeur. Pas de morale là-dedans, au contraire, pas d'affection non plus. Une "famille " qui s'en croyait une se découvre n'être qu'une réunion d'égoïsmes, et s'en accommode.
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Elle avait été jeune, avec toutes les défaillances poétiques qui troublent le coeur des jeunes êtres! Enfermée, emprisonnée dans une boutique à côté d'un mari vulgaire et parlant toujours commerce, elle avait rêvée de clair de lune, de voyages, de baisers donnés dans l'ombre des soirs. Et puis un homme, un jour, était entré comme entrent les amoureux dans les livres, et il avait parlé comme eux.
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