AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782850766800
357 pages
Dervy (01/06/1995)
3.38/5   4 notes
Résumé :
- 25 avril 1849 : naissance d'Anthelme, Nizier, Philippe en Savoie. Alors qu'elle était enceinte, sa mère fait une visite au curé d'Ars qui lui révèle que son fils sera un être très élevé.- 1874-75 : Il est inscrit comme officier de santé à Lyon. Mais ses dons exceptionnels lui causèrent quelques inimitiés après avoir guéri mystérieusement des malades à l'Hôtel-Dieu.
- 1895 : Il ouvre à Lyon une Ecole de Magnétisme spécial: "Pour traiter par le magnétisme ord... >Voir plus
Que lire après Vie et paroles du Maître PhilippeVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (2) Ajouter une critique
Philippe NIZIER ou Maître Philippe fait partie de ces hommes peu connus dont on ne parle plus. Et pourtant ce guérisseur qui a officié jusqu'en 1904 à LYON a laissé des paroles édifiantes et visionnaires. Il faut le replacer dans son contexte historique, mais on retrouve des explications qui font penser à la théorie du big bang et son paragraphe "les clichés" parle bien de mondes parallèles...
Commenter  J’apprécie          20
Pourquoi souffre t'on ? Un des mystères que ce livre tente de résoudre !
Car en effet, Maître Philippe, guérisseur français de la fin du 19ème/début du 20ème, nous explique l'intérêt de la souffrance dans des paroles simples. Pas de terme technique ni de notion philosophique mais un message simple dit avec vérité.
Pour autant, n'étant pas fan de mythisme, je n'ai pas plus adhéré que ça.
Commenter  J’apprécie          00

Citations et extraits (11) Voir plus Ajouter une citation
Il était, dit le docteur Lalande, tellement grand en connaissance, si libre, que nulle de nos mesures ne s'adaptaient à lui. Logique, morale, sentiment de la famille, tout cela n'était pas pour lui ce que c'est pour nous, puisque la vie entière se présentait à lui avec le passé et l’avenir liés ensemble en un seul tout spirituel, dont il savait la nature, l'essence, les raisons, les lois, dont il possédait les rouages... Et il donnait par ses bienfaits, cures morales et physiques, actes de science ou de miracle (c'est-à-dire sur-science pour nous), des preuves que son enseignement était vrai.
Commenter  J’apprécie          10
Aux questions posées sur des souffrances, des difficultés, il répondit avec bienveillance et une autorité qui en imposait, car on comprenait qu’il lisait sans peine dans les esprits et les coeurs. Des malades tendaient les mains vers lui, il les encourageait et ils étaient soulagés ou guéris. Il dit à une personne ; " Ton mari va mieux, remercie le Ciel ". A une autre : " Ton enfant est guéri, il te faut payer. Ce n’est pas de l’argent que je demande, mais que tu ne dises pas de mal de ton prochain pendant une journée ". Puis, désignant un estropié : "Voulez-vous prier pour cet infirme et me promettre de ne dire du mal de personne pendant deux heures ? "
Tout le monde répondit : Oui. Après un instant de recueillement il ordonna au malheureux de faire le tour de la salle. Celui-ci se leva et, à la stupéfaction de tous, il marcha sans béquilles et sans aide. Des exclamations, des cris de joie exprimèrent l’émotion et la gratitude de l'assistance ; des larmes coulaient sur les visages.
Commenter  J’apprécie          00
Un jour M. Philippe accosta devant moi un pauvre homme assis sur ses talons, qui mendiait à une extrémité de la passerelle du Collège. Ses jambes, écrasées par une voiture, étaient paralysées. On l’amenait là et on le rentrait le soir avec une petite voiture. M. Philippe lui dit : " Je connais quelqu'un qui pourrait te guérir. Il faut bien demander à Dieu et tes jambes marcheront de nouveau. Tu promets de demander à Dieu ? - Oui ", répondit-il. Et le Maître me dit en partant : " Il ne demandera rien du tout ; c'est déjà la deuxième existence qu’il passe ainsi estropié. Il ne veut pas travailler ".
Commenter  J’apprécie          00
Il y avait à L’Arbresle un homme qui enlevait les brûlures. Il eut quelques insuccès ; il accusa M. Philippe d'en être la cause et répandit sur son compte des bruits calomnieux. M. Philippe le fit appeler. Plongeant alors deux doigts de la main droite dans de l'acide sulfurique, il pria son hôte de guérir la brûlure. Pendant plus de deux heures celui-ci fit tous ses efforts, tandis que l'acide brûlait la peau et entamait les chairs. Comme il avouait humblement son impuissance : " C'est bien, lui dit M. Philippe, à l’avenir tu auras plus de facilités pour guérir les brûlures ".
Commenter  J’apprécie          00
Toutefois un volume comme celui-ci ne pouvant contenir tout ce qu'il m'a été donné de connaître sur M. Philippe, force m’a été de faire un choix, et j'ai groupé de mon mieux les textes retenus, suivant un plan aussi logique que possible. Le lecteur aura ainsi une vue d'ensemble sur les sujets abordés, mais il ne devra jamais perdre de vue que les paroles prononcées par le Maître s’appliquaient souvent à des cas particuliers. D’ailleurs il disait lui même : " A la séance chacun entend ce qu’il doit entendre ".
Commenter  J’apprécie          00

autres livres classés : guérisonVoir plus

Lecteurs (16) Voir plus




{* *}