Je crois que la vérité essentielle, dit-il lentement, c'est que nous tous — les médecins, l'hôpital, la technique médicale — n’existons que pour une grande chose : pour les patients, pour la guérison des malades. Je crois qu’il nous arrive parfois de l’oublier. Je crois que nous nous laissons absorber par la médecine, par la science, par de meilleurs hôpitaux, et que nous oublions que tout cela n'a qu’une raison d’être : les gens, la guérison des gens. Les gens qui ont besoin de nous.
La médecine n’a qu’un seul problème véritable. Il a toujours été le même. Il sera toujours le même. C’est le problème de la survivance humaine individuelle. Et survivre est la plus vieille loi de la nature.
Pendant des années, l'équilibre normal de la nature a maintenu les populations dans une favorable, stabilité. Quand la médecine s'en est mêlée et que le taux des naissances est devenu trop élevé, la famine est intervenue.
Comme quiconque de naturellement brillant, il avait été tout d’abord considéré avec quelque suspicion par ses condisciples. Puis, parce qu’il ne prenait pas la peine de voiler sa certitude de supériorité mentale, la suspicion était devenue antipathie, l’antipathie était devenue haine.
Certains hommes se faisaient au changement, à la promotion d’hommes plus jeunes qui les surclassaient et prenaient le commandement.
Bande Annonce du Film - VO avec Burt lancaster et Dean Martin - 1970