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Critique de Acidus
Milieu des années années 70, Joe Haldeman avait marqué de nombreux lecteurs avec sa « Guerre éternelle », roman anti-militariste, lauréat des prix Hugo, Locus et Nebula. Vingt ans plus tard, ce n'est plus avec un contexte de guerre sans fin mais bien celui d'une paix éternelle qui motive le romancier américain.
Le discours reste le même : celui de conflits absurdes, de manipulations politiques et j'en passe. L'intrigue et l'univers général est toutefois moins inspiré que « La Guerre éternelle ». Moins bien rythmé et prenant aussi sans non plus être assommant. le style de l'auteur est bien présent, les différents thèmes traités avec intelligence mais l'ensemble est un chouilla trop long et perd de l'intérêt dans sa dernière partie.
Un bon roman de SF mais largement percutant que « La guerre éternelle ».
Le discours reste le même : celui de conflits absurdes, de manipulations politiques et j'en passe. L'intrigue et l'univers général est toutefois moins inspiré que « La Guerre éternelle ». Moins bien rythmé et prenant aussi sans non plus être assommant. le style de l'auteur est bien présent, les différents thèmes traités avec intelligence mais l'ensemble est un chouilla trop long et perd de l'intérêt dans sa dernière partie.
Un bon roman de SF mais largement percutant que « La guerre éternelle ».
