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3,08

sur 412 notes
J'adore les pavés. Mais là malgré un début alléchant j'ai arrêté la lecture de cet ouvrage.
il a quand même fallu quelques 200 pages pour me désintéresser...
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New-York et son atmosphère brûlante. Des punks, des fans de Patti Smith, des écrivains qui se cherchent, des couples qui se font et se défont, des amants, des prophètes… tous ces personnages vont être liés par un drame lors du réveillon de l'année 1976: une jeune fille se fait tirer dessus. La coupure d'électricité de 1977 (qui a vraiment eu lieu) les réunira de nouveau. Entre temps, l'auteur se charge de donner vie à ses personnages pour que l'on comprenne qui ils sont et comment en sont-ils venus à être eux-mêmes.

La particularité des personnages est qu'ils sont tous différents, aucun ne se ressemble et c'est ce qui m'a plu. J'avais l'impression d'avoir un panel d'hommes et de femmes avec leurs faiblesses, leurs forces et à chaque fois, un petit quelque chose qui les rendait profondément humain. J'ai aimé leur quête pour oublier leur passé et devenir autre. C'est un aspect que je retiendrai du livre. Construire des personnages aussi réels est une vraie prouesse!

J'ai adoré me plonger dans cette ambiance new-yorkaise foisonnante et inspirante, j'ai d'ailleurs plusieurs fois écouté Patti Smith pour être en totale symbiose avec le livre.

Mais je ne vais pas vous mentir, ce fut long et lent. Les premières pages m'ont semblé interminables. Arrivée au quart, je me suis sentie mieux et plus impliquée et ensuite, paf, on reprend cette lenteur du début pour repartir de plus belle vers les cent dernières pages. Vous l'aurez compris, cette lecture a été en dent de scie. Mais sur ce coup-là, l'auteur a été intelligent, il a divisé son livre en de très courts chapitres.
L'intrigue n'arrive que très tard et j'ai parfois eu du mal à comprendre où voulait en venir l'auteur. Ce point m'amène à mon dernier point négatif: je crois être passée à côté de certains messages du livre! Et je ne vais pas le relire pour les trouver!
Lien : https://pagesversicolores.wo..
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City on fire est le roman d'une marâtre, de cette ville qui rudoie ses enfants, et le récit choral de personnages qui ne parviennent pas à lui échapper. On l'aborde comme on entre dans New-York, un peu tremblant devant une telle densité, impressionné par cette mosaïque de quartiers et de visages ; on en sort comme on s'extrait de Big Apple : époustouflé et porté par une énergie électrisante. Un crime le soir du Nouvel An : ainsi débute la lente convergence de dix destins tourmentés, dépeints avec un sens de l'observation inouï. Garth Risk Hallberg a une ambition folle, à l'image de cette ville dont il écrit le roman : seul le plus haut bâtiment attire les regards et son roman tutoie les sommets.
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Quelle lecture laborieuse...même en refermant le livre, même avec du recul je ne sais toujours pas si j'ai adoré ou détesté cette tranche de vie...
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Quel ennui !
Comme d'autres lecteurs je me suis forcé à aller jusqu'au bout des 1000 pages, en espérant une épiphanie qui me révèlerait la profondeur cachée de cette tentative de roman.
Évidemment , le buzz autour de l'avance phénoménale accordée à ce jeune romancier pousse à la critique, mais j'étais pourtant plein de bonne volonté : peut-être un nouveau DeLillo... Las ! de l'auteur génial d'Outremonde il n'y a que l'entremêlement d'intrigues ou la petite histoire côtoie la grande. Mais les personnages sont fats, les mystères nous laissent de glace, les romances : à l'eau de rose. Mais surtout, il n'y a aucun style et pire, aucune vision.
Garth Risk (ha ha) Hallberg nous parle d'une époque et d'une ville fantasmée qu'il n'a jamais connue, et qu'il n'a apparemment pas comprises.
Le punk n'est qu'un prétexte à drogues et terrorisme (comment peut-on imaginer un terroriste punk ?!!?) , les "minorités" raciales, sociales ou sexuelles sont des clichés que même un auteur des années 40 n'auraient pas osées. Seule la middle class blanche et la bourgeoisie sont décrites assez finement, ce n'est sans doute pas un hasard.
Et l'insertion de documents "authentiques" sensés "animer" la lecture comme autant de pièces à conviction, est bien faible quand on a lu "La Maison Des Feuilles" par exemple, où la rupture de format porte la lecture.
Bref, un livre très dispensable, ne vous en encombrez pas.
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Bien, mais non terminé, trop long. À reprendre une autre fois peut-être...
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Ciel que cette lecture fut laborieuse et pourtant je n'ai pas réussi à l'abandonner, allez comprendre !!

Il y a quelque chose là-dedans d'addictif malgré le foisonnement de personnages, les changements d'époques, les multiples références littéraires, musicales, culturelles, le tout avec en fil rouge la ville de New York. Ca donne le tournis et cependant on s'accroche ; il y a le récit dont les sept livres sont entrecoupés d'interludes : une lettre, un reportage en 2 parties sur les artificiers, un magazine adolescent...

On se doute bien qu'à un moment donné, tous les fils tirés par l'auteur vont se rejoindre, mais ça ne s'offre pas sans peine, loin de là !! Je n'ai pas réussi à trancher pour savoir si c'est foutraquement brouillon ou magistralement agencé... L'auteur est prolixe, tourbillonnant à donner le tournis, nous livrant parfois des chapitres très ennuyeux, et j'ai eu plusieurs fois la tentation d'abandonner, je l'avoue, mais le livre VII m'a fait dire que j'ai bien fait de persévérer.

Bref, je vous laisse vous faire votre propre opinion, car je suis très mitigée.

Lien : http://la-clef-des-mots.e-mo..
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Un début trop poussif, je n'ai pas accroché et ai abandonné.
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Oeuvre chorale, ambiance crépusculaire, destins croisés d'âmes égarées... Ce roman est de ceux qui se lisent en immersion. Il faut s'accorder le temps de poser le livre parfois quelques secondes pour apprécier toute la beauté de certains extraits. Et pourtant, City on fire ne se résume pas à la forme. Il regorge de personnages chargés en émotion, des êtres dont on perçoit toutes les failles au fur et à mesure de la lecture. Et puis, il y a cette intrigue autour de laquelle chacun tente de vivre et de se mouvoir avec la force du désespoir. Il y a de l'ambition dans cette oeuvre, un souffle porteur. Magnifique.
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J'ai résisté 400 pages mais je ne peux plus... Malheureusement pour moi trop de longueur.. Même si je suis plongé dans big apple j'ai pas retrouvé l'étincelle de certains romans fleuves.
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