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3,08

sur 412 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
J'étais très emballée à l'idée de lire ce livre que j'attendais impatiemment parce que j'adore New York, le rock et que j'ai la chance d'avoir connu la ville avant sa "stérilisation" soit dans les années 80. Ben, j'ai rapidement déchanté.

Je suis allée au bout, oui oui oui, vaille que vaille et je n'ai pas compris l'engouement pour ce bouquin, si ce n'est son poids, colossal, qui m'a empêché de le traîner avec moi dans le métro sous peine de fracture du poignet.

Bon, c'est un premier roman avec toutes ses imperfections : trop de choses, très désordonnées, sans véritable intérêt, on se noie, on se perd. La traduction que dire ? J'espère que c'est en partie à cause d'elle que ça parait si mal écrit, sinon...

Bref, vous pouvez passer votre chemin et attendre tranquillement en bibliothèque ou qu'il sorte en poche, pas de quoi fouetter un chat même New yorkais.
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Hum... quel ennui et quelle déception... les ingrédients étaient là pour me captiver : New-York, les années 70 avec des hippies et des punks, la musique...
Hélas, c'est très répétitif, le rythme est lent et, franchement, on a du mal à retrouver ses bébés dans ce récit chorale qui pour moi n'est qu'un brouillon.
Suis allée jusqu'au bout mais uniquement parce que je suis bonne fille :-)
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Sentiment mitigé en refermant ce pavé de presque 1000 pages.Je le finis en ayant l'impression d'avoir assez péniblement franchi une montagne...
Oui, NY dans les années 70 y est très bien décrite et reconstituée, les personnages sont pour certains extrêmement intéressants mais que de longueurs, notamment les passages relatifs au PPH, Nicky Chaos, Charlie etc..
La multitude de protagonistes qui est dépeinte n'aide pas non plus : j'ai passé les 300 premières pages à me perdre régulièrement entre eux. Dommage que l'auteur ait multiplié les portraits alors que j'aurais aimé que l'accent soit mis sur certains de ses personnages bien plus intéressants (Samantha, William, Merce, notamment) et pas assez exploités à mon goût.
Heureusement les 200 dernières pages qui se déroulent au moment du black out de juillet 1977 et constituent le dénouement de toutes les histoires enchevêtrées sont bien plus passionnantes mais je pense que de nombreux lecteurs auront abandonné avant !
Dommage, l'intrigue aurait vraiment gagné à être resserrée et centrée sur quelques personnages.
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Ce livre s'annonçait comme un somptueux repas dans un restaurant 3*
Et comme dans un grand restaurant le plat de trop, la faute de service et le repas est terni.
Pour City on Fire , c'est le trop plein qui nous emmène au bord de la nausée et nous empêche même de prendre le dessert et le café.
Pourtant le menu était sublime et les mises en bouche originales mais trop c'est trop et les retours incessants entre le salé et le sucré sont finalement lassants.
Un grand repas n'est pas seulement un foisonnement de grands plats mais comme un grand vin il doit être structuré, rond, onctueux, long en bouche ..........
Pourtant ce jeune cuisinier écrivain est prometteur et on doit lui laisser le temps de l'apprentissage.
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Lu il y a déjà quelques temps, donc mes souvenirs sont imprécis.
Voici ce qui m'est resté en mémoire :
très bon démarrage, bonne intrigue, la psychologie des personnages est bien structurée et intéressante mais la longueur du récit a eu raison de moi (j'ai sauté quantité de pages).
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Ce titre m'a été chaudement recommandé par des amis, il est donc remonté en position prioritaire dans ma liste « à lire » et je me suis tapé ses presque 1000 pages.

Ce livre est un phénomène car son auteur a touché 2 millions de dollars d'à-valoir. Phénomène financier et non littéraire car il a les défauts d'une certaine littérature qui ne sait pas couper les passages inutiles, littérature commise au kilomètre par des romanciers nombrilistes qui se regardent écrire et qui se complaisent dans le vide.

Ce roman commence le 31 décembre 1976 et se poursuit jusqu'en juillet 1979 avec le grand black out de New York. On y croise un bande de punks avec un simili gourou qui attire des ados un peu paumés sous prétexte de post humanisme ; une famille de bourgeois qui explose ; un peintre qui se drogue ; un journaliste revenu de tout ; un flic handicapé qui doit prendre sa retraite… rien que du réjouissant. Et le tout se déroule dans un New York sordide, ruiné, envahi par les drogués et les laissés pour compte.

Je n'ai pas du tout accroché, il y a pourtant une histoire de complot et un « Frère Démon » qui auraient pu sauver ce livre : les rockers et punks sont effrayants et leur verbiage rébarbatif ; les fanzines évoqués sont d'un ennui mortel ; les affres du golden boy ne sont que larmes de crocodile…. Il faut atteindre les pages évoquant la panne de courant pour que ce roman soit crédible, la cinquantaine pourrait faire une excellente nouvelle autour de l'évocation du bordel ambiant et la description de la violence.
Lien : http://jimpee.free.fr/index...
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Mercer est un prof noir, venu du Sud des Etats-Unis vivre à New York, avec William, riche grâce à l'héritage de sa défunte mère. Ce dernier est un artiste-peintre héroïnomane, auparavant leader du groupe punk ExPostFacto. La soeur de William, qu'il n'a pas revu depuis longtemps, est une jeune mère divorcée de Keith. Charlie est un ado assez mal dans sa peau, fou amoureux de Samantha qui l'attire donc dans l'univers punk de la métropole. le père de Samantha est un artificier à propos duquel le journaliste Richard Groskoph veut écrire une histoire. Lorsque Samantha est retrouvée comme morte le soir du nouvel an 1977, l'inspecteur de police Pulaski sera chargé de l'enquête.

Un pavé d'un peu moins de mille pages, aux chapitres assez courts, rythmés par des pages graphiques. Mais cela est insuffisant à rendre la lecture fluide et captivante. L'auteur m'a perdue. Je suis cependant allée jusqu'à la lecture de la dernière ligne, du dernier chapitre qui m'a d'ailleurs beaucoup plu, mais globalement, je reproche à ce roman d'être trop touffu, et de m'avoir laissée sur ma faim quant à l'introspection et l'accompagnement dans la durée pour certains personnages intéressants, notamment Mercer, le Noir homosexuel aux grandes ambitions littéraires et à l'amour contrarié, ou encore Samantha, la jeune fille tourmentée qu'on a retrouvé laissée pour morte. Au lieu de mieux les côtoyer et les découvrir, je me suis sentie ballotée de personnage secondaire en personnage secondaire, de digression culturelle des années 70's en détail rockologique. Difficile de comprendre toute la presse quasi dithyrambique autour de ce roman à l'ambition d'épopée et de fresque générationnelle.

(.....................)
Lien : http://chezlorraine.blogspot..
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je me suis ennuyé de début à l'abandon en fait au bout de 300 pages je suis allé directement au dernier chapitre histoire de ne pas regretter la lecture de ce livre conseillé par ma libraire. Mais non impossible je n'ai pas trouvé l'intérêt de continuer et pourtant j'étais bloquée au Urgences mais j'ai malgré tout abandonné le livre. Trop long,trop long il faut 200 pages pour connaitre l'identité de la victime et après,après je n'ai pas eu envie d'aller plus loin....
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Premier roman ambitieux de Garth Risk Hallberg, il n'en ai pas moins sujet aux critiques. Et par critiques, je parle bien entendu de positives et de négatives et croyez-moi il y a de quoi dire. Oui, c'est vrai tous les éléments sont réunis pour en faire un livre magistral, documenté, soit une immersion punk du New-York des années 70 où se croise des golden boys, des marginaux, des adultes et des ados. Portrait croisé d'une ville en continuel essor et mutation, les personnages servent le personnage principal du roman, à savoir la ville elle même mais aussi une certaine génération où tout est permis, où le possible se conjugue dans un présent bouillonnant. Oui mais voilà, la plume exigeante de l'auteur à oublié que description ne rime pas avec complication.

A New-York la ville qui ne dort jamais Samantha Cicciero, dix huit ans, flaire l'émergence d'une ambiance tout en y cherchant sa place. Alors qu'en 1976 l'humeur est au punk et à la profusion de drogues en tout genre, Sam intègre une bande de musiciens junkies des bas fond de New-York en attendant d'entrer à l'université à la rentrée prochaine. Plutôt mystérieuse et mutique elle représente, dans le roman, le déclencheur et fil conducteur de l'intrigue. Car au soir du nouvel an, des coups de feu retentissent dans Central Park laissant Sam pour presque morte. Qui? Quoi? Pourquoi? Vous voilà embarquer pour 1200 pages au confinement d'une ville et de ses habitants.

Évidemment une pléiade de personnages gravitent autour de cette tentative de meurtre pour expliquer le contexte et sonder l'atmosphère. Il y a tout d'abord William Hamilton-Sweeney, fondateur du groupe punk Ex Post Facto en froid avec sa richissime famille. En couple avec Mercer Goodman, un noir venu de la petite ville d'Altena pour enseigner dans un prestigieux collège du centre, Will semble en proie avec ses démons: sa famille et l'héroïne. D'un autre côté Regan, soeur de William en pleine procédure de divorce de son mari Keith, semble se débattre entre ses aspirations et sa place au sein groupe Hamilton-Sweeney. Keith lui-même a son portrait dressé au vitriol après avoir trompé sa femme. Rendu père célibataire, il doit affronter quelques complications professionnelles... Mais on peut également compter Amory Gould nouveau directeur du groupe et membre de la famille, Richard et Pulaski qui forment le duo flic/journaliste et Charlie, secrètement amoureux de Sam. Et des personnages, il y en encore et là est le problème.

Entre le trop de personnages, des descriptions à profusion et une ambiance chaotique, le roman donne une impression d'un gros bordel rock'n'roll. La ville, insatiable, gobe ses personnages et leur convictions, retourne leur certitudes et en créée de nouvelles pour mieux détruire. Malgré une intrigue donnée, le roman tourne autour des protagonistes et révèle un caléidoscope de vies bien différentes au sein de la ville mais qui, finalement, sont toutes liées. Par un style pointu, l'écriture de l'auteur est aussi complexe que la mégalopole ce qui peut parfois déstabilisé le lecteur et en desservir la lecture. Toutefois on ne peut que saluer son incroyable documentation, ses références musicales et urbaines. Voilà d'où vient le succès éditorial de ce roman: la retranscription d'une atmosphère délétère. Une lecture mitigée donc, partagée entre le sentiment d'un livre beaucoup trop long et complexe mais où le lecteur sait que des vies et une histoire se jouent. Pour faire passer tout ça, un muffin marbré et une tasse de café, sinon un thermos pour en découdre avec les 1200 pages.
Lien : http://bookncook.over-blog.c..
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Moi qui déteste ne pas aller au bout d'un livre, j'ai abandonné au bout de 600 pages.
J'avais été emballée par tout le tapage autour de ce livre, la déception n'a été que plus grande. Moi qui aime les histoires entremêlées, j'ai été servie... Mais un peu trop à mon goût !
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