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Ce livre nous emmène sur des terres inconnues lorsqu'on s'intéresse aux grandes découvertes.
J'ai aimé ce livre pour une belle peinture du monde du XVème siècle, un héros attachant, et des descriptions des pays traversés qui m'ont fait rêver, et aussi la description des différentes sociétés rencontrées par le héros.
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Jon l'Islandais est le récit d'un dernier « viking », valeureux marins et découvreurs de terres.

Jon est né au Groenland mais emmené par sa mère en Islande pour fuir la misère des communautés norrois. Malheureusement, Jon est enlevé à sa mère pas les Anglais, pour une raison qui ne sera jamais précisé et vivra ses premières années à Bristol. Voilà le décor est planté par Bruno D'Halluin.

Si je n'ai pas vraiment pu m'accrocher aux personnages, j'ai suivi facilement Jon dans ses voyages pour retrouver sa mère. Pour cela, il retourne en Islande. L'auteur y décrit avec précision l'organisation de ce pays isolé et refermé sur lui-même à la fin du XVème siècle alors que commence les grandes découvertes et l'imprimerie. Vivant dans un système approchant le féodalisme, la vie islandaise est loin d'être une « ballade ».

Jon l'Islandais, c'est le rappel de la conquête du Nord par les Vikings qui touchèrent les premiers l'Amérique alors que les autres européens ont l'impression d'être des découvreurs de ces terres.

C'est un livre agréable sur une page intéressante de l'Histoire du monde et de l'histoire maritime, mais comme je l'ai écrit plus haut, il est dommage que les personnages ne soient pas plus attachants.
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Ce premier roman de Bruno d'Haluin, navigateur et voyageur, relate la vie de Jon, Islandais vivant à la fin du XVème siècle. Jon a huit quand il est enlevé par un navire anglais qui l'arrache à sa vie en Islande pour le conduire à Bristol. Il est placé au service d'un riche notable et exerce plusieurs métiers. Il apprend la vie rude des tanneurs et la condition de quasi-esclave, méprisé car Islandais. Il n'a qu'une idée en tête, retourner en Islande, pays dont il essaie de garder le souvenir et la langue, et y retrouver sa mère. Il parvient à prendre la fuite avec des marins écossais et islandais et navigue vers l'Islande). Commence alors une autre vie, au service d'un propriétaire terrien. Jon travaille aux prés mais sa passion c'est la mer. Excellent navigateur et marin, il devient renommé pour ses connaissances. Il s'intéresse au Groënland (où il est né), aux colons Vikings, aux terres qu'ils furent les premiers à découvrir. Après des années difficiles en Islande pendant lesquelles il connut la famine et la peste, il décide de partir pour les Açores retrouver une partie de sa famille, et s'embarquer sur un navire allant explorer le nouveau monde.


J'ai trouvé ce roman extrèmement intéressant et très bien documenté. L'époque des grandes découvertes maritilimes est passionnante. L'auteur confronte admirablement bien l'essor des grnades puissances que sont l'Espagne et le Portugal et bientôt l'Angleterre dans la course à la route des Indes, lorsque qu'au même moment décline la civilisation des Vikings, avec l'abandon des colonies du Groënland et l'oubli des anciennes routes menant au Vinland. La vie quotidienne en Islande est également très bien décrite. Seul bémol, j'ai trouvé justement le style trop documentaire pour ressentir de l'empathie pour les personnages.
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Pour ceux qui ne craignent pas de s'embarquer sur des coques de noix, ceux qui aiment les mots comme "ressac", "estran", "timonier", ceux surtout qui ont dévoré dans leur jeunesse les romans de piraterie, de navigations périlleuses, d'explorateurs des mers, ceux dont les narines palpitent quand une bonne brise iodée fait moutonner les vagues, ceux-là peuvent monter à bord avec ce chenapan de Jon.
Moi qui avait gardé le souvenir de "L'aventure viking" et des exploits d'Eric le Rouge et de Leif Turlusson, qui raconte la traversée de l'Atlantique nord au Xè siècle, et la découverte du Canada par les Scandinaves, je me suis sentie en milieu connu dans ce récit, bien que l'histoire se déroule quelques siècles plus tard.
L'Islande, comme chacun sait, est la terre natale des Sagas, interminables poèmes épiques en prose rapportant des exploits guerriers, des faits surnaturels, des histoires de familles et de dynasties héroïques. L'équivalent de nos chansons de geste.
Dans Jon l'Islandais, il est bien question d'exploits et de voyages, de quête personnelle, de retour aux sources et aux origines, dans une société médiévale où l'individu ne compte pas. Comme il n'a pas lu "L'Alchimiste", il ne se doute pas qu'il cherche à "accomplir son destin", à réaliser sa "légende personnelle". Il tente de survivre en milieu hostile, et tient peut-être de ses ancêtres le goût de la liberté. Sans famille, sans instruction, sans aucun soutien, il n'a que sa force de résilience pour affronter les coups de tabac et la fortune de mer.
Est-ce que ça finit bien? Je ne suis pas encore arrivée au dernier chapitre, mais je soupçonne l'auteur de s'être identifié à son personnage et d'avoir lui-même un peu de sang viking. Il ne peut donc y avoir de fin malheureuse!
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Un roman historique extrêmement bien documenté dans lequel j'ai appris des tas de choses passionnantes, telle la découverte du continent américain par les Vikings 5 siècles avant Colomb !
Je rejoins l'avis de Pascale : le fond est passionnant mais la forme est parfois un peu trop documentaire/scolaire pour vraiment happer le lecteur.
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Jon l'Islandais est le dernier héritier des Vikings du Groenland. Dans le monde du XVe siècle qui est le sien, ce pays est désormais oublié de tous.

A l'âge de 7 ans, Jon est enlevé par des Anglais, et vendu comme domestique à Bristol. Courageux et débrouillard, il finira par s'évader pour retourner sur les pas de ses ancêtres, et de son père en particulier … Sur sa route, il croisera Christophe Colomb et Vasco de Gama, à l'aube des grandes découvertes …

Si vous avez besoin de vous évader, si vous aimez l'aventure, la mer, et l'Histoire, alors ce roman est fait pour vous ! Grâce à la plume alerte de Bruno d'Halluin, nous embarquons aux côtés de Jon pour des aventures trépidantes. Nous le suivons pas à pas alors qu'il grandit, tentant de ne pas oublier son passé en se rappelant son pays, sa langue.

Pour ma part, j'ai trouvé fascinant le fait que le Groenland ait été découvert par les Islandais puis oublié, tout comme les routes qui y mènent … Cette fameuse terre couverte de brume, qui était un site de pêche pourtant fréquenté, est devenue petit à petit un mythe, dont Jon, personnage inventé, s'efforce de prouver la réalité !

Par la même occasion, nous découvrons ce pays mystérieux qu'est l'Islande, dont la littérature est une des plus riches d'Europe, et l'une des plus fournie si l'on fait le ratio avec le nombre d'habitants …

Si vous êtes curieux comme moi, découvrez comment les Vikings ont découvert l'Amérique en premiers !

Ou sinon, vous pouvez retrouver des légendes du Groenland dans les textes de Jorn Riel, comme le garçon qui voulait devenir un être humain (Inuit = être humain !).
Lien : http://missbouquinaix.wordpr..
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Une belle découverte, à la fois d'un auteur, Bruno d'Halluin, et d'un récit palpitant, celui de la vie de "jon l'islandais" !
Certes le héros de ce livre est un personnage de fiction, mais il est remarquablement bien intégré dans le contexte historique des grandes conquêtes maritimes du XVème siècle.
Par ailleurs, en racontant l'histoire d'un homme né en 1469 au Groenland dans une famille d'origine islandaise, Bruno d'Halluin rappelle à juste titre que la découverte de l'Amérique dans sa partie nord, est antérieure de 5 siècles à l'époque des grandes caravelles qui parcouraient les océans, et que la "saga des groenlandais" et " la sage d'Erikur le Rouge" méritent d'être incluses dans la Grande Histoire des conquêtes maritimes.
Jon est un personnage romanesque, bien en phase avec l'esprit de son temps; sa vie tumultueuse est façonnée, dès son plus jeune âge, par le goût de l'aventure et de la découverte du "toujours plus loin". C'est aussi celui qui pourtant va retourner à son point de départ, ainsi que le suggère l'épilogue du livre que l'auteur situé beaucoup plus tard.
Ce foisonnant roman est émaillé de connaissances géographiques et historiques évidentes, ce qui en fait un ouvrage bien documenté, notamment sur les lieux qui ont marqué la jeunesse du héros, successivement Bristol en Angleterre où Jon séjourna 7 ans après avoir été enlevé par un bateau anglais sur une plage d'Islande, ensuite le Breidafjord sur la côte occidentale de l'Islande où il resta 13 années, et enfin Terceira dans l'archipel des Açores où Jon partit retrouver sa mère.
L'écriture est alerte, plaisante quand elle dépeint l'animation des ports à la fin du Moyen Age, poétique lorsqu'elle évoque les austères et fascinants paysages d'Islande ou encore les couleurs chatoyantes et les parfums exotiques des îles portugaises. Elle peut être également émouvante lorsqu'elle parle de la joie des retrouvailles et du chagrin des départs.
La lecture de ce livre est recommandée à ceux qui aiment les récits d'aventure sur fond historique, ou les voyages dans la géographie du monde.

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Aujourd'hui, je vous entraîne de nouveau vers l'Islande. A la fin du 15e siècle. Ca vous branche ? Alors suivez-moi, d'autant qu'il fait tellement chaud qu'un peu de fraîcheur ne peut pas faire de mal ! :)

Jón est un enfant islandais de sept ans. Un jour il est enlevé par des Anglais qui l'emmène à Bristol pour en faire un domestique, chose apparemment assez courante au 15e siècle, paraît-il ! Jón se fait la promesse de retrouver sa mère, une Islandaise du Groeland.
Le temps passe, Jón est souvent envoyé par ses maîtres faire des commissions sur le port. A force, il finit par lier connaissance et devient l'ami d'un Gallois qui lui apprend le métier de tanneur. Jón multiplie les connaissances, rencontre des Irlandais, des Ecossais des Hébrides (!) et un autre jeune Islandais, de quelques années son aîné, lui aussi-kidnappé par les Anglais. Ce nouvel ami rêve de revoir son île natale. L'occasion fait le larron, voilà tout ce petit monde qui s'évade sur un rafiot, direction l'Islande. Mais un rafiot qui prend l'eau... N'empêche, l'équipage échoue au sud de l'île de glace de de feu. Jón découvre sa terre natale dont il ne se souvient pas en traversant le pays du sud vers les fjords de l'Ouest. Il s'établit pour un temps à Skard, dans le Breidafjord, puis se rend sur les îles qu'abrite ce fjord : Flatey et les Bjarneyjar. Jón s'émerveille de la puissance et de la beauté de la nature; il est surpris de ce que mangent les Islandais ; il s'intéresse au folklore et à l'histoire, il apprend le métier de pêcheur, faute de pouvoir devenir fermier. Il cherche sa mère, se renseigne et fini par devoir reprendre la route, direction les Açores via le Portugal ! Vous parlez d'un périple !

Nous sommes à la fin du 15e siècle... ça ne vous rappelle rien ? Vous savez, il y a un type qui est censé avoir découvert l'Amérique même si dans sa tête c'était les Indes... Oui, c'est bien de Christophe Colomb dont il est question, à la même époque que celle de Jón !
Bruno d'Halluin en profite pour faire le parallèle entre le Génois et les voyages des Vikings... 5 siècles avant Christophe Colomb. Ainsi, les Vikings venus de Scandinavie, sous la houlette de Erik le Rouge ont débarqué au Groenland vers l'an 1000 et s'y sont installés pendant 5 siècles, après avoir colonisé l'Islande. Ils s'appelaient les Groenlandais, d'où a été tiré la saga du même nom et celle d'Erik le Rouge. Ils ont bien essayé également de s'installer au-delà du Groenland, dans ce qu'ils appelaient le Vinland et le Markland (aujourd'hui c'est sans doute le Labrador et Terre-Neuve (et aussi Helluland qui est la Terre de Baffin), mais se sont heurtés aux indigènes, à savoir les Amérindiens. Donc ils n'ont pas pu y rester. En revanche, au Groenland, ils ont cohabité à peu près pacifiquement avec les Inuits. Cinq siècles plus tard, Jón apprendra de la bouche de sa mère la fascination de son père pour ce peuple qui du temps de Jón étaient appelés "Skrælings" (terme péjoratif, néanmoins).
Et puis, on ne sait pas vraiment pourquoi, les Vikings du Groenland ont disparu. La Scandinavie avaient d'autres problèmes pour s'occuper d'eux, les puissances européennes aussi. Bref, à l'instar de l'Islande, cette île à la marge du monde, on les a relégué aux oubliettes. On pense que les conditions de vie étaient devenues trop difficiles (il y a eu un mini âge glaciaire au 15e siècle). Mais peut-être ont-ils été également affaibli par les épidémies (la peste frappe deux fois l'Islande au 15e siècle). Mais la cause réelle scientifiquement prouvée reste non élucidée.
Bruno d'Halluin rend un formidable hommage à ces Islandais du Goenland. A ce titre, la fin du roman est émouvante !

Ce roman est aussi l'occasion pour l'auteur de nous montrer la suprématie des grands propriétaires fermiers sur les pêcheurs. Il n'y avait pas de villages en Islande, mais des fermes dont les riches propriétaires faisaient la loi. Etre pêcheur était un travail de pauvre.

On tâte aussi la rudesse de la vie dans les îles du Breidafjord : une vie encore plus difficile que pour les Islandais de la "Grande Terre". Pas d'arbres ou si peu en Islande. Donc, le bois flotté était le bienvenu pour construire barques ou autres bricoles. Les Islandais récupéraient ce qu'ils pouvaient des épaves qui s'échouaient (comme dans les îles Blasket en Irlande, d'ailleurs). Pas de moutons, pas de laine, pas de métier tisser dans les îles. Les gens sont habillés comme des gueux, avec des loques !Mais là, Jón a une sublime idée qui fera enrager le fermier du coin...

Enfin, Bruno d'Halluin vous immergera brièvement dans le folklore islandais, le petit peuple qui se cache derrière les magnifiques paysages de l'île.

Si vous aimez vous évader en lecture et apprendre au passage une foule de choses, ce roman est pour vous ! Je me suis régalée !
Un roman dense, avec beaucoup de personnages et de peuplades mais qui se lit très facilement. On est happé par l'histoire, très bien écrite, et documentée. Ca m'a passionné !

Bruno d'Halluin est français, écrivain-voyageur. Dans la vie, il est informaticien et prend souvent des congés sabbatiques pour voyager, par les mers à bord de son bateau, si j'ai bien compris.
Lien : http://milleetunelecturesdem..
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Enlevé par un navire anglais en Islande, Jon grandit comme domestique dans une famille de Bristol. Au cours des années suivantes, il n'a qu'une idée en tête : tenir la promesse qu'il a faite à sa mère, la retrouver. Attaché à sa culture, le jeune homme garde en mémoire le souvenir des paysages et de sa langue maternelle. Une opportunité se présente de retourner en Islande, un pays qu'il connait peu, rude et passionnant.
Mais l'appel du grand large est plus fort que tout, à l'image de ses ancêtres découvreurs, il veut savoir ce qui se cache à l'ouest, là où ses aïeux sont partis un beau jour sans jamais revenir.
Jon l'Islandais est un petit roman historique dont le thème principal est la paternité de la découverte des terres de l'ouest : Groenland, Amérique du Nord…que l'on attribue généralement aux grands navigateurs espagnols ou portugais. Autour de cette réalité historique, s'articule la vie de notre personnage dont l'histoire n'aura de cesse que de démontrer l'installation viking dans ces nouvelles contrées par la quête qu'il entreprend.
Même si l'on constate la bonne documentation sur les faits évoqués et la civilisation islandaise, les anecdotes tombent souvent comme des cheveux sur la soupe : je prends en exemple la croyance dans les elfes très présente dans le quotidien, qui est mentionnée durant une veillée, mais qui n'apporte rien au reste du récit et que l'on ne retrouve plus ensuite dans l'univers islandais présenté. Cette information n'est pas exploitée davantage et alourdit le tout.
Voilà qui s'ajoute à la lenteur du rythme, très monotone et rend la lecture assez ennuyeuse. Les personnages manquent de caractères, de traits distincts et sont peu attachants. Certains passages sont tronqués : comme les retrouvailles entre Jon et sa mère, que l'on attend depuis le début de l'histoire et qui tient à peine sur une demi-page ! L'auteur n'a pas trouvé son ton, son écriture parait artificielle.
Dommage, le fil conducteur était bon, le thème bien amené, les faits bien renseignés, mais la mise en forme m'a vraiment déçue !
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Au commencement il y avait un titre : Jòn l'Islandais à prononcer Yon. Mais bien avant cela il y a une petite librairie à l'île de Ré au phare des Baleines qui a mis en rayonnage des livres, des romans, classés par catégories "piraterie", "romans d'expédition et de découvertes", "livres écrits par des marins"... c'est là que j'ai acquis Jòn l'Islandais.

Comment ne pas encenser un tel ouvrage? Si ce n'est les quelques défauts que je lui trouve : je n'ai accroché qu'à la page 177 pour une raison pure et simple, même si l'auteur s'appuie sur des faits historiques vraisemblables, l'histoire du début est racontée sans donner l'intérêt ni l'étoffe aux personnages. Il en sera ainsi pendant tout le roman. Moi qui raffole des romans d'aventures, de marins, d'expédition... le foisonnement et la profusion de détails m'enchantent mais le manque de psychologie des personnages, les amis de Jòn qui meurent autour de lui comme un cheveu sur la soupe, les scènes de fin de chapitre qui s'arrêtent brutalement sans amener d'émotions autres que cette envie d'en savoir plus sur l'Islande et le Groenland à l'époque des découvertes de Christophe Colomb.

Une réussite pour ce roman d'aventures qui rétablit l'histoire de l'Islande mais échoue à nous faire apprécier les personnages. On a aussi le sentiment que l'auteur a voulu mettre le maximum d'informations historiques dans un seul roman. Mais cela n'en gâche pas trop la lecture car le côté historique faits réels est ce qu'il y a de plus ambitieux dans ce roman.
A lire tout de même pour le côté roman islandais (écrit par un français! ) et roman de marins.
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